En juillet 1961, le bulletin bimestriel Actualités industrielles lorraines, édité par le Centre d'information des industries lorraines, analyse les répercussions du traité instituant une Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) sur les industries sidérurgiques et charbonnières nationales.
Le 31 mars 1951, le président du Parti social-démocrate ouest-allemand, Kurt Schumacher, critique avec force le plan Schuman et détaille les risques encourus par la République fédérale d'Allemagne.
En 1951, l'attaché de presse de l'Ambassade néerlandaise à Paris rédige une note sur les réactions de l'opinion publique et de la presse française sur les défis du plan Schuman.
Le 3 février 1951, la mission néerlandaise en Allemagne rédige une note qui décrit l'état de l'opinion publique et de la presse ouest-allemandes à l'égard des négociations en cours à Paris sur le plan Schuman.
Le 28 avril 1951, lors d'un exposé tenu au sein de l'université Johann Wolfgang Goethe de Francfort, Walter Hallstein, secrétaire d'État au ministère allemand des Affaires étrangères, détaille les nombreux enjeux économiques, politiques et institutionnels du plan Schuman.
En 1951, Albert R. Métral, président du Syndicat général des industries mécaniques et transformatrices de métaux examine les principes et les règles fondamentales prévues par le traité instituant la CECA et appelle au rejet du texte par le Parlement français.
Le 22 juin 1951, lors des négociations intergouvernementales pour la création d'une Communauté européenne du charbon et de l'acier, le journal allemand Süddeutsche Zeitung énumère les problèmes économiques et sociaux auxquels les Six devront faire face.
En octobre 1951, les partis socialistes des pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier adressent à leur gouvernement respectif un questionnaire sur les objectifs économiques et sociaux de la nouvelle communauté.