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LA GUERRE D'INDOCHINE 1945-1954 Par Guillaume Elmoznino Simon Hamel-Rhéaume Présenté à Valérie Blanc Collège Édouard-Montpetit Guerre et paix au XXe siècle Cours 330-333-EM, groupe 1010 Le 1 décembre 2008 Table Des Matières Introduction 3 Analyse des enjeux 4 Contexte 5 Les relations entre les différents acteurs durant le conflit d'Indochine 7 Conclusion 10 Bibliographie 11 ANNEXES 12 Introduction La région de l'Asie du Sud-Est, comprenant l'archipel indonésien, s'élargie au cours des années, et fut la cause de plusieurs guerres d'indépendance et civiles, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Au lendemain de l'évacuation japonaise, le Laos et le Cambodge parviennent à faire reconnaître leur souveraineté en douceur. Il n'en va pas de même au Viêt Nam, enjeu stratégique et économique d'une tout autre importance. Le Viêt Minh et d'autres groupes indépendantistes cherchent à établir leur autorité sur le pays. En effet, les relations, entre les Japonais et les Français, ont commencé à devenir de plus en plus tendus. De plus, les Vietnamiens prirent connaissance des faiblesses de leur colonisateur, dû à l'occupation japonaise, durant la Seconde Guerre mondiale. Par ailleurs, l'isolement des Français face aux japonais ainsi que l'instabilité des forces française en place, vont mener à une prise de décision de la part des Français. Soit il négocie, soit il plonge dans un affrontement. Ceci dit, dans le début de l'année 1940, Paris est préoccupé par les allemands, et Tokyo lance un ultimatum aux français, qui consiste à l'arrêt des importations et la mise en place d'un organisme de contrôle aux postes frontières. Celui-ci est signé à Catroux, le 19 juin 1940 (Muelle,2004,p.215). Deux jours plus tard, le gouvernement français accepte les termes de l'ultimatum. Le 10 juillet, les japonais ont de nouvelles réclamations. Ils demandent l'accès à l'utilisation de certains ports, de certains aérodromes, bases militaires ainsi que le libre passage de leurs troupes sur la totalité du territoire. C'est ce contexte tendu, qui mènera vers la guerre d'Indochine. Cette guerre s'est déroulée de 1946 à 1954 en Indochine française et a opposé les forces du Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient (CEFEO) français, soutenu à partir de 1949 par les États-Unis, aux forces Viêt Minh (Front de l'indépendance du Vietnam) nationaliste et communiste, soutenu par la chine (à partir de 1949) et l'Union soviétique (Devillers,1960, p.410). La guerre s'est conclue par la victoire du Viêt Minh, sous la conduite d'Hô Chi Minh. Dans le cadre du cours « Guerre et paix au XXe siècle », l'objet d'étude en question, consistera à étudier les relations internationales entre les principaux acteurs (pays) durant le conflit de la guerre d'Indochine. De plus, il sera question d'un approfondissement plus complet sur les événements qui sont déroulés entre 1945 à 1954 face à ce conflit d'échelle mondiale. Analyse des enjeux Même si la France est vue comme un pays vaincu aux yeux des États-Unis et de l'URSS, elle ne colonisait pas uniquement pour regagner du prestige sur la scène politique internationale, mais pour des raisons économiques (Indochine,Wikipedia). Tout d'abord, l'impérialisme culturel était une motivation puissante. L'idée de rétablir la grandeur de la France faisait l'unanimité parmi les dirigeants, et ce, même s'il fallait passer par la guerre. Une telle grandeur passait par un empire colonial et un rayonnement culturel. Les intérêts économiques portés à l'Indochine étaient extrêmement importants, car il était question des terres, industries, et possessions de riches Français de métropole, influant auprès du Parlement. La France voyait un potentiel économique dans cette colonie, et donc était une colonie d'exploitation et non de peuplement. Le Viêt-Nam était une colonie qui rapportait beaucoup de dividendes aux Français, car cette région recelait du zinc, du charbon et aussi de l'étain qui étaient envoyés en France. De plus, en raison de sa population, elle fournissait aux Français un très bon marché pour la vente des produits manufacturiers de la métropole. En effet, à partir de 1938, au moins 57% des exportations vietnamiennes étaient contrôlées par des compagnies françaises (Muelle,2004,p.215). Étant dans une position de domination économique, la France peut s'imposer sur le marché du caoutchouc par ses exportations et aussi de l'écoulement de cette matière en France, ce qui permettait de s'enrichir outrageusement lorsque l'automobile occupait la vie des Occidentaux qui vivaient dans une économie capitaliste. Grâce au chemin de fer du Yunnan, l'Indochine était une voie d'accès très prometteuse vers les marchés de la Chine du Sud. La guerre d'Indochine marque pour la France une double défaite, à la fois comme puissance coloniale cherchant à sauvegarder son Empire et comme membre du bloc occidental capitaliste tentant d'endiguer l'expansion du communisme. Cette défaite refléta l'affaiblissement du statut international de la France dans le monde d'après 1945. D'ailleurs, pendant la même période, des insurrections communistes sont étouffées par les Américains aux Philippines et par les Britanniques en Malaisie (Doyle,1981,p.220). Mais, dans ces deux pays, la guérilla communiste n'avait qu'une base populaire insuffisante et ne disposait pas, comme le Viet-Minh par la frontière chinoise, d'une voie de ravitaillement régulier. De plus, dans ces deux cas, les métropoles ont su se préparer à l'indépendance par une entente de longue date avec les élites locales. Contexte Suite à la création de l'État français de Vichy et l'Armistice, le général Catroux fut remplacé par l'amiral Decoux, le 17 août 1940, des accords sont signés, donc le ministre des affaires étrangères, Paul Baudon, se plie aux exigences japonaises (Muelle,2004,p.215). Les accords stipulent : le gouvernement japonais reconnaît la souveraineté française en Indochine et s'engage à respecter l'intégrité territoriale de la colonie ; la France admet la situation prééminente du Japon en Extrême-Orient et accorde aux forces Nippones certaines facilités militaires au Tonkin à fin de liquider le conflit avec la Chine ; une convention militaire sera conclue sans délai à Hanoi pour définir les modalités d'application de cette arrangement politique. Entre 1941 et 1945, l'Indochine va vivre en marge de la guerre. Les membres de la révolution nationale et de la Résistance font bloc contre l'occupation japonaise. Pendant son mandat, Decoux parvient à maintenir la souveraineté française mais avec le temps, sa position se radicalise envers les agents de « l'extérieur » pour ne pas fournir aux Nippons le prétexte d'une main-mise totale (Dalloz,1987,p.309). Puisque Decoux est complètement coupé de la France, avec des forces militaires insuffisantes pour assurer un conflit sur l'ensemble de la région, il finit peu à peu par céder aux Japonais. Les armées japonaises furent autorisées à circuler librement de la frontière de Chine jusqu'au Siam. À la suite des évènements, sous la pression des japonais, le 11 mars 1945, le Cambodge et le Laos font reconnaître leurs indépendances et Bao-Dai prononce celle du Viet-nam (Indochine,Wikipedia). Les deux bombes nucléaires larguées sur Hiroshima et Nagasaki accélérèrent la capitulation du Japon. Le 15 août 1945, Hô Chi Minh donne l'ordre de l'insurrection générale. Le lendemain, l'amiral Decoux est remercié de ses fonctions, et l'amiral d'Argenlieu est nommé haut-commissaire et le général Leclerc est nommé commandant en chef. Le 2 septembre suivant, Hô Chi Minh proclama l'indépendance du pays, mais cette fois, en tant que République démocratique du Viet Nam, à Hanoi. La France tente alors de rétablir son autorité sur l'Indochine française, et le 6 mars 1945, une convention fut signée et reconnu le Viet Nam comme un « état libre avec son gouvernement, faisant partie de la Fédération Indochinoise et de l'Union française » ainsi que l'unification des Trois Ky (Doyle,1981,p.200). Afin de conserver la Cochinchine sous sa souveraineté, l'amiral d'Argenlieu a proclamé la république pour empêcher Hô Chi Minh de réaliser l'unité du Viet Nam. Le début de la guerre se marque par deux événements spécifiques. Premièrement, il y a eu le bombardement des français du port d'Haiphong, le 23 novembre 1946. Deuxièmement, le 19 décembre suivant, les milices du général Giàp attaquèrent les quartiers européens d'Hanoï. C'est suite à ces événements que Hô Chi Minh appelé le peuple vietnamien à la guerre. Même si l'armée vietnamienne est moins armée, elle est soutenue par sa population et parvint à imposer sa stratégie par la guérilla (Dalloz,1987,p.309). Entre la fin de 1946 et 1949, les combats entre les français et les vietnamiens étaient abondants. À partir de 1949, avec l'intensification de la guerre froide, la guerre d'Indochine prit une dimension internationale. Puisque les communistes chinois l'avaient emporté en Chine, ils apportèrent leur soutient militaire au Viêt-Minh, tandis que sous la pression, le général de Lattre de Tassigny, demanda de l'aide aux américains. Au début des années 1950, les américains décident d'apporter leurs soutient à la France, puisque qu'ils considèrent l'intervention comme un moyen de contrer l'expansion du communisme international. Les États-Unis ont contribué au soutien financier de la France durant la guerre, en assumant en 1954, plus de 80% des dépenses de Paris (Indochine,Wikipedia). C'est alors que suite à l'offensive lancée par Vô Nguyen Giàp en octobre 1952 au Tonkin, les français plaçaient leurs derniers espoirs dans les mains du général Navarre. Malgré un soutient américain de près de deux cent mille militaires français, la tentative française fut un échec. Son plan consistait à concentrer des forces françaises dans la fortification de Diên Biên Phu afin d'attirer l'armée du Viêt-Minh dans un piège. L'attaque française est lancée le 13 mars 1954, et, le 7 mai, les français capitulèrent. À la suite de la défaite des troupes françaises, la France se voit obligé d'entreprendre des négociations pour le cessez-le-feu. C'est en 1954 à Genève, qu'ils mirent fin à cette guerre et coupèrent le Viêt Nam en deux : la RDVN au nord du 17e parallèle et le régime de Bao Dai au sud. Des élections étaient prévues en juillet 1956 pour résoudre le problème de la réunification des deux Viêt Nam. Depuis 1955, le Viêt Nam du sud était désormais sous la présidence de Ngô Dinh Diêm refusa la proposition des élections et reçut le soutien américain. Un nouveau conflit allait alors débuter : La guerre du Viêt Nam. Les relations entre les différents acteurs durant le conflit d'Indochine À l'intérieur de cette section, il sera question des relations, politiques entre la France, les États-Unis ainsi que la Chine pendant ce conflit, ainsi que le point de vue de la France, et des États-Unis. Lors de la guerre d'Indochine, la vision de la métropole française est caractérisée par un manque d'enthousiasme, face à cette guerre. À cet égard, l'opinion publique Française n'était pas totalement en accord, envers cette guerre, dût au coût élevé en argent ainsi qu'en soldats, et ce, afin d'aider des gens si lointain. De plus, on dénombre des manifestations de propagande pacifiste ainsi que des blocages de trains de munitions, effectuée par des communistes, qui devaient se rendre en Indochine (Doyle,1981,p.220). La vision négative de la guerre d'Indochine, chez les français entrainent des répercutions importantes. On dénote qu'il y eu un manque de mobilisation de la part de la population pour cette guerre, et les volontaires étaient peu nombreux. De plus, L'État-major ainsi que le gouvernement ne purent jamais engager le contingent. Cette dernière conséquence représente un des acteurs décisif dans la décision de l'État-major de fonder une armée vietnamienne et celle du gouvernement d'entamer des négociations. Après la victoire de Mao Tse-Tung en Chine, L'attitude de l'Union Soviétique envers Ho Chi Minh était encore plus froide que celle des Etats-Unis ainsi que celle de la France. De plus, Staline à émit un conseil à Ho Chi Minh qui concordait avec le conseil qu'il à précédemment dit à Mao. Selon Staline il ne doit empêcher le communisme de s'étendre en Asie, car il n'en est tout simplement pas le temps. Cependant, ni Ho ni Mao n'a suivit son conseil. Ceci résultat, par le fait que Staline n'offre aucun support militaire et s'abstient de reconnaître le gouvernement de Ho. Tout ceci est appelé à changer en 1949. La victoire de Mao à certainement stimulé les Français à effectuer un arrangement avec Bao Dai tout en établissant un gouvernement Vietnamien indépendant afin de compétitionner celui d'Ho (Doyle,1981,p.220). Par ailleurs, l'entente avec Bao Dai ainsi que les américains à facilité l'accès pour la prise de décision pour la Chine et l'Union Soviétique (Doyle,1981,p.220). De plus en janvier 1950, le DRV fût reconnu internationalement de la part de gens vivant dans la République de Chine. L'Union Soviétique avait la crainte que la Chine désirait augmenter sa superficie dans le tier monde. Peu après, le DRV fût reconnu par la totalité du boc Soviétique. De l'équipement provenant de l'union soviétique, de la Tchécoslovaquie ainsi que de la Chine furent transportés jusqu'aux lignes. De là, des paysans vietnamiens les transportaient jusqu'à l'armée de Giap. La plupart des équipements des soldats de Minh furent fabriquée par les Américain. Ces équipements furent capturés des français, ou encore, acheté sur le marché libre. Cependant, il est clair que l'aide Chinoise vers les Vietnamiens n'est aucunement comparable au niveau d'assistance offerte de la part des Etats-Unis au français. Au début de 1950, la France n'a plus l'argent nécessaire pour soutenir le fardeau de la guerre d'Indochine. Lorsqu'elle demande de l'aide aux États-Unis le 16 février suivant, les américains ne tardèrent pas à agir en finançant le matériel militaire. À la fin de cette année, l'aide financière américaine est d'environ 31 millions de dollars. À la fin de 1951, le plan Marshall prit fin et les besoins des français augmentent. Au rythme auquel la guerre se déroule en Indochine, la France ne sera plus en mesure de tenir la cadence (GAILLARD,200,p.21-22). Le président Truman décide donc d'augmenter l'aide américaine car il craint que la France abandonne. À la suite de l'arrivée au pouvoir du président Eisenhower, une aide supplémentaire de 385 millions s'ajoute au 400 millions de dollars déjà prévus. En exemple, en 1951, les Etats-Unis envoyaient, aux français, à chaque mois, environ 7200 tonnes d'équipements militaires. En comparaison, les chinois envoyaient seulement 10 à 20 tonnes, par mois, aux vietnamiens. L'aide chinoise va augmenter, vers la fin 1953, de 500 à 600 tonnes d'équipements, par mois. Comparativement à cela, les États-Unis envoyaient 10 000 tonnes par mois (STAVRIDÈS, 2004, p.10-25). Par ailleurs, l'armée vietnamienne possédait des armes moins lourdes ainsi que moins sophistiquées que celles de la France, tout en ne possédant aucune armée aérienne. Des négociations franco-vietnamiennes accordent l'indépendance au Vietnam, le 8 mars 1954. Le 13 mars, les divisions de Giap sont parties à l'assaut du camp retranché. Certain espèrent l'engagement des Américains dans cette guerre, d'autres souhaiteraient l'appui des Soviétiques ou encore, verraient l'émergence d'une négociation de la part de la Chine Communiste. Aux États-Unis, l'opinion publique est également partagée. En exemple, l'amiral Radford ainsi que Foster Dulles sont favorables à un appui direct des Français en Indochine. De son côté le président Eisenhower, n'est plus du tout partant pour s'engager dans un conflit aussi lointain (Dalloz,1987,p.309). Il résulte que les États-Unis sont près à aider les Français en Indochine, sous condition que les anglais soient également prêts à faire de même. M. Mendès était prit dans un ensemble de contradictions, car durant la conférence de Genève, il s'était engagé à respecter l'indépendance totale du Viet Nam, en considérant comme légitime le gouvernement de Bao Dai. Ceci l'engageait à ne plus intervenir dans les forces politiques dont se composait le Viet Nam baodaiste (Dalloz,1987,p.309). Il avait cependant conclu avec le gouvernement de la république du Viet Nam, un accord militaire laissant à la France l'administration de la zone militaire jusqu'aux élections de 1956. Il avait aussi secrètement prit l'engagement envers les Anglo-américains à ne rien promettre qui puisse constituer pour le Sud, un risque de tomber un jour sous une emprise communiste. Avec tout ces engagements de liés à Mendès, il était difficile pour lui de respecter tout ces engagements (Dalloz,1987,p.309). Malgré tout, les américains étaient d'accord sur le fait qu'un gouvernement nationaliste solide devait être formé au Sud du Viet Nam. Conclusion Pour terminer, dans ce travail, nous avons prit conscience et expliquer l'évolution des relations internationales entre la France et les États-Unis, l'Union Soviétique ainsi que la Chine. Au cours du conflit de l'Indochine entre 1945 à 1956. Il a été important de mentionner que la Seconde Guerre mondiale a été un facteur majeur dans le contexte de la guerre d'Indochine, puisque les tensions entre les français et les japonais commençaient à être de plus en plus tendus. Les événements de premier plan dans cette guerre sont : l'ultimatum japonais ; le changement du général Catroux pour l'amiral Decoux ; la victoire des japonais ; la déclaration de Hô Chi Minh ; le bombardement des français du port d'Haiphong et finalement, la défaite des français suite à l'offensive contre Diên Biên. Il a également été question du point de vue de la métropole française, face à cette guerre, qui était plutôt peu enthousiaste, dût aux coûts ainsi qu'à la mobilisation d'hommes qu'elle requiert. Le manque d'enthousiasme entraina une faible mobilisation de guerre. Du côté de l'Union Soviétique, Staline n'a pas reconnu le gouvernement de Hô Chi Minh, tout en ne lui offrant aucun support militaire. Suite à la victoire de Bao Dai, les français créa un gouvernement vietnamien indépendant dans le but de compétitioner celui de Hô Chi Minh. Pour les États-Unis, ils ont effectué une assistance bien plus massive à la France, que ce qu'on eu les vietnamiens de la part des chinois. Le 8 mars 1954, des négociations franco-vietnamien accorde l'indépendance au Viet Nam. Cependant, lors de la conférence de Genève, puisque la France désirait respecter l'indépendance intégrale du Viet Nam, plusieurs exigences envers les différents pays impliqués devaient être respectées malgré les difficultés de Mendès à respecter ces engagements. Ce conflit qui aura simplement débutée par une demande d'indépendance de la part du Viet Nam aura prit une envergure internationale et suite à la défaite des français, il sera intéressant de voir comment les américains vont s'impliquer dans la deuxième guerre d'Indochine : La guerre du Viet Nam. Bibliographie DALLOZ, Jacques. La guerre d'Indochine. Paris : Seuil, 1987. 309 p. DEVILLERS, Philippe. Viet Nam, de la guerre française à la guerre américaine. Paris : Seuil, 1960. 410 p. DE FOLIN, Jacques. Indochine 1940-1955 La Fin d'un rêve. Vérités et Légendes, Collection. Paris, 1993. 358 p. DOYLE Edward, LIPSMAN Samuel et Weiss Stephan. The Vietnam Experience (Passing the torch). Boston, MA. Boston Publishing Company, 1981. 220 p. GAILLARD, Jean-Michel. « La France en Indochine : une guerre perdue d'avance ». Histoire. no248 (Novembre 2000), p.21 -22. MUELLE, Raymond. Guerre d'Indochine 1945-1954. Trésor du patrimoine. Paris, 2004. 215 p. STAVRIDÈS, Yves. « De l'Indochine au Vietnam ». Express. no2756 (Avril 2004), p.10 -25. « Indochine » Dans Wikipedia [En Ligne] http://en.wikipedia.org/wiki/French_Indochina (Page consultée le 28 novembre 2008) ANNEXES (Seulement en version papier)