Paru dans un supplément de juillet 1955 aux Nouvelles du Conseil de l’Europe, l’article explique la procédure d’élaboration et d’adoption des conventions européennes par l’action combinée du Comité des ministres et de l’Assemblée consultative, ainsi que la procédure de mise en vigueur menée par autorités nationales des États membres.
Schéma du fonctionnement du Conseil de l'Europe en 1950, lorsque l'organisation comptait quatorze États membres suite à l'adhésion de la République fédérale d'Allemagne en juillet 1950, et après la création d'un comité mixte en août 1950.
L'extrait de ce message spécial du Comité de ministres, du 20 mai 1954, transmettant à l'Assemblée consultative le programme d'action du Conseil de l'Europe, porte sur les rôles respectifs de l'Assemblée et du Comité et sur les relations entre ces deux organes dans le cadre de l'organisation.
Le 4 mai 1992, à l'occasion de la cérémonie de pose de la première pierre du Palais des Droits de l'Homme à Strasbourg, François Mitterrand prononce un discours devant l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. Le président de la République française lance l'idée d'organiser des sommets des chefs d'État et de gouvernement des États membres du Conseil de l'Europe.
Extrait du compte rendu de la Conférence sur la création d’un Conseil de l’Europe, tenue au Palais de Saint-James à Londres du 3 au 5 mai 1949, portant sur la question du vote au sein du Comité des ministres.
En août 1949, le Comte Carlo Sforza préside la délégation italienne lors de la première réunion du Comité des ministres du Conseil de l'Europe à la Mairie de Strasbourg.
Le 15 mai 1954, le chancelier allemand Konrad Adenauer, assis entre Walter Hallstein, Secrétaire d'État aux Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (à sa droite), et Léon Marshal, Secrétaire général du Conseil de l'Europe, préside une réunion du Comité des ministres du Conseil de l'Europe.
Règlement intérieur du Comité des ministres du Conseil de l'Europe, adopté par le Comité des ministres en août 1951 lors de sa 9ème session, et amendé en dernier lieu en juillet 1964 lors de la 133ème réunion des délégués des ministres.
Le 20 novembre 1974, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe décide d'instituer l'adoption d'un plan à moyen terme définissant les secteurs et les objectifs de son action.
Dans le cadre de son pouvoir d'organisation interne et en particulier de son pouvoir de constituer des comités à caractère consultatif ou technique, le Comité des ministres adopte le 18 février 1976 une résolution concernant les structures, les mandats et les méthodes de travail desdits comités.
Le 21 novembre 1984, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe adopte la résolution (84) 21 sur l'action de l'organisation dans le domaine politique dans le but de renforcer la continuité et l'efficacité des échanges de vues sur les aspects politiques de la coopération européenne notamment lors des sessions du Comité des ministres, des réunions informelles des ministres, des réunions des délégués des ministres et des réunions des directeurs politiques.
Le 14 mai 1993, dans le but de renforcer la capacité d'action de l'organisation, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe adopte une résolution statutaire réduisant le nombre de cas où l'unanimité est requise pour ses décisions.
Vue de la salle du Comité des ministres du Conseil de l'Europe, dans le Palais de l'Europe à Strasbourg, où siègent les ministres des affaires étrangères des États membres de l'organisation, ou leurs délégués.
Présidente de l'Assemblé parlementaire du Conseil de l'Europe de 1996 à 1998, Leni Fischer souligne les progrès accomplis par l'Assemblée en matière de "monitoring", et insiste sur l'importance de son renforcement au niveau du Comité des ministres.
Établi en 1998 par l'Unité de "monitoring" du Secrétaire général du Conseil de l'Europe, ce document d'information analyse l'évolution de la procédure de suivi du Comité des ministres visant à assurer le respect des engagements pris par les États membres.
Règlement intérieur du Comité des ministres du Conseil de l'Europe, adopté par le Comité des ministres en août 1951 lors de sa 9ème session, et amendé en dernier lieu en juillet 2005 lors de la 934ème réunion des délégués des ministres.
Le 10 août 1949, date de la première session de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, le quotidien français Le Figaro souligne la valeur symbolique de l'institution tout en constatant ses limites politiques.
La première séance de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe a lieu le 10 août 1949 en présence notamment de Paul-Henri Spaak, de Carlo Sforza, d'Edouard Herriot, d'Ernest Bevin et de Robert Schuman.
La première séance de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe se tient le 10 août 1949 dans l'aula de l'Université de Strasbourg sous la présidence provisoire d'Edouard Herriot.
Le 10 août 1949, après avoir présidé la première séance de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, Edouard Herriot, doyen d'âge et président d'honneur, transmet la présidence à Paul-Henri Spaak suite à son élection.
Le 10 août 1949, lors de la première séance de l'Assemblée consultative du Conseil de l’Europe, Paul-Henri Spaak est élu premier président de l’Assemblée.
Au sein de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, les parlementaires siègent par ordre alphabétique afin d'éviter la formation de groupes nationaux. Le 11 août 1949, dans l'aula de l'Université de Strasbourg, le Britannique Winston Churchill est assis entre le Belge Frans van Cauwelaert et l'Italien Mario Cingolani.
L’exposé des motifs de ce projet de recommandation, présenté en 1950, reflète la position de faiblesse de l’Assemblée consultative vis-à-vis du Comité des ministres et les revendications des parlementaires pour accroître l’influence de l’institution. La définition et la consolidation de la fonction consultative de l’Assemblée s'avèrent prioritaires par rapport à la prétention de l’institution d’obtenir un pouvoir de décision.
Dans cette interview, Paul Collowald, alors journaliste au quotidien Le Nouvel Alsacien, met en évidence comment les parlementaires de l'Assemblée du Conseil de l'Europe, malgré le fait que le statut de l'organisation n'accorde aucun pouvoir significatif à l'institution qui les rassemble, plaident dès la première séance en août 1950 pour assumer un rôle de conscience politique de l'Europe.
Le 6 juillet 1955, le banc des ministres suit attentivement les débats de la 7ème session de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe. De gauche à droite: le Britannique Harold Macmillan, l'Allemand Heinrich von Brentano, le Belge Paul-Henri Spaak et le Néerlandais Jan Willem Beyen.
Note du Secrétariat de l’Assemblée du Conseil de l’Europe sur l’historique de la proposition visant à modifier la dénomination de l’Assemblée consultative, ainsi que sur les conséquences pratiques de sa décision de prendre la dénomination d’Assemblée parlementaire.
Extraits de deux discours, recueillis par Le magazine électronique de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe à l'occasion du 50ème anniversaire de l'institution: celui d'Edouard Herriot, président d'honneur de l'Assemblée, prononcé le 10 août 1949 lors de la première séance, et celui de Lord Russell Johnston, président de l'Assemblée, du 25 janvier 1999.
Dans un entretien accordé au quotidien Luxemburger Wort peu après sa prise de fonction le 21 janvier 2002, le nouveau président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, Peter Schieder, plaide pour l’élargissement des pouvoirs de son institution et rappelle plus généralement les objectifs du Conseil de l’Europe dans les domaines de la démocratisation, de l’harmonisation législative et du respect des droits de l'homme.
Règlement de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, adopté par la Commission permanente, agissant au nom de l'Assemblée, le 4 novembre 1999 et amendé en dernier lieu en 2001.
Règlement de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, adopté par la Commission permanente, agissant au nom de l'Assemblée, le 4 novembre 1999 et amendé en dernier lieu en 2011.
Le 21 juin 2005, les représentants de l'Association des parlements asiatiques pour la paix (APAP), en visite à Strasbourg, informent la commission des questions politiques de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) de la décision de transformer l’APAP en Assemblée parlementaire asiatique, sur le modèle de l’APCE. La réunion se déroule en présence notamment de Luzius Wildhaber, président de la Cour européenne des droits de l'homme (deuxième à p. de la dr.).
Karl Czernetz, président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe de 1975 à 1978 (à droite). La photo est prise le 22 septembre 1976 à l'occasion de la cérémonie d'adhésion du Portugal au Conseil de l'Europe (à gauche: José Manuel de Medeiros Ferreira).
David Russell-Johnston, président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe de 1999 à 2001. Photo prise le 5 mai 1999 à Strasbourg à l'occasion du 50ème anniversaire de l'organisation.
L'hémicycle du Palais de l'Europe à Strasbourg, siège de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe et du Congrès des Pouvoirs Locaux et Régionaux de l'Europe.
Organigramme des services du Secrétariat général du Conseil de l'Europe, tel que détaillé dans le recueil des mandats du Secrétariat présenté le 3 décembre 2003 par le Secrétaire général de l'organisation.
Règlement du 6 décembre 1956 sur la procédure de nomination aux postes de Secrétaire général, Secrétaire général adjoint et Greffier de l'Assemblée ayant rang de Secrétaire général adjoint, tel qu'amendé le 20 mars 1962.
En décembre 1957, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe confie la tâche au Secrétaire général d'établir un rapport annuel sur la coopération européenne pour la session de printemps de l'Assemblée.
Ouverte à la signature des États membres du Conseil de l'Europe à Rome le 4 novembre 1950, la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales est entrée en vigueur le 3 septembre 1953.
En août 1954, à l’occasion de la première réunion de la Commission européenne des Droits de l’homme le 12 juillet 1954 à Strasbourg, le mensuel Nouvelles du Conseil de l’Europe publie, dans un supplément consacré à l’installation de la Commission, le message de Konrad Adenauer, président en exercice du Comité des ministres, le message de la commission permanente de l’Assemblée consultative, et le discours inaugural de Léon Marchal, Secrétaire général du Conseil de l’Europe.
Le droit de recours individuel, accordé aux personnes qui se prétendent victimes d’une violation de la Convention européenne des droits de l’homme par un État partie, est facultatif. Pour qu’il soit applicable il faut que l’État mis en cause ait déclaré reconnaître la compétence de la Commission européenne des droits de l’homme d’être saisie d’une requête individuelle. Voici, à titre illustratif, une déclaration du gouvernement de la Norvège du 4 décembre 1957 souscrivant pour une durée déterminée à la clause de l’article 25 de la Convention.
Protocole n° 2 à la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales, attribuant à la Cour européenne des Droits de l'Homme la compétence de donner des avis consultatifs. Ouvert à la signature des États membres du Conseil de l'Europe signataires de la Convention, le 6 mai 1963 à Strasbourg, il est entré en vigueur le 21 septembre 1970.
Commission et Cour européennes des droits de l'homme (1954-1998)
Protocole n° 3 à la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales, modifiant les articles 29, 30 et 34 de la Convention. Ouvert à la signature des États membres du Conseil de l'Europe signataires de la Convention, le 6 mai 1963 à Strasbourg, il est entré en vigueur le 21 septembre 1970.
Protocole n° 5 à la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales, modifiant les articles 22 et 40 de la Convention. Ouvert à la signature des États membres du Conseil de l'Europe signataires de la Convention, le 20 janvier 1966 à Strasbourg, il est entré en vigueur le 20 décembre 1971.
Ouvert à la signature des États membres du Conseil de l'Europe signataires de la Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, le 19 mars 1985 à Vienne, le Protocole n° 8 à la Convention est entré en vigueur le 1er janvier 1990.
Liste des présidents de la Commission européenne des droits de l'homme de 1954 à 1999 et des présidents et de la Cour européenne des droits de l'homme de 1959 à 1998.
Cour européenne des droits de l'homme (Après 1998)
Protocole n° 11 à la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales, remplaçant la Commission et la Cour européenne des Droits de l'Homme par une Cour unique et permanente. Ouvert à la signature des États membres du Conseil de l'Europe à Strasbourg le 11 mai 1994, le protocole est entré en vigueur le 11 novembre 1998.
Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales du 4 novembre 1950, telle qu'amendée en dernier lieu par le Protocole n° 11 du 11 mai 1994, entré en vigueur le 1er novembre 1998.
Schéma sur le mécanisme de contrôle de la Convention européenne des droits de l'homme de 1998 à 2009. Depuis son adoption, le mécanisme de contrôle des droits prévus dans la convention a été modifié à plusieurs reprises. Il a, en particulier, fait l’objet d’une profonde réforme par le protocole n° 11, adopté en 1994 et entré en vigueur le 1er novembre 1998 ; puis par le protocole n° 14 adopté en 2004 et entré en vigueur le 1er juin 2010. Toutefois, le protocole n° 14 n’ayant pas pu entrer en vigueur suffisamment tôt, les États parties à la convention sont donc convenus d’adopter, en tant que mesure intérimaire et provisoire, un protocole n° 14 bis, limité à certaines des mesures d’ordre procédural contenues dans le protocole n° 14. Le protocole n° 14 bis, adopté en mai 2009, entre en vigueur le 1er octobre 2009 et cesse d’être en vigueur ou d’être appliqué à titre provisoire le 1er juin 2010.
Article paru le 3 novembre 1998 dans le quotidien français Le Figaro à l’occasion de l’inauguration à Strasbourg de la nouvelle Cour européenne des droits de l’homme.
Contribution de Luzius Wildhaber, premier président de la Cour européenne des droits de l'homme après sa réforme de 1998, publiée à l'occasion du 50ème anniversaire de la Convention européenne des droits de l'homme. Wildhaber identifie les défis auxquels fait face le mécanisme de protection des droits de l'homme institué par la Convention à l'aube du nouveau millénaire.
Présentation du système de protection juridictionnel établi par la Convention européenne des droits de l’homme: le rôle de la Cour de Strasbourg, son siège, sa composition, son fonctionnement, l’étendue de la protection, les conditions de recevabilité des requêtes, les effets des arrêts et le contrôle de leur exécution. En particulier, la vidéo montre des exemples concrets de griefs soumis à la Cour ainsi que l’influence de sa jurisprudence dans les différents États ayant ratifié la Convention.
Lors de la conférence de presse annuelle du 27 janvier 2004, Luzius Wildhaber, Président de la Cour européenne des Droits de l’Homme, met en évidence les difficultés que la Cour, victime de son propre succès, rencontre pour faire face à un encombrement croissant, et signale la nécessité d’achever la réforme du mécanisme de contrôle de la Convention européenne des Droits de l’Homme.
Protocole n° 14 à la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales, amendant le système de contrôle de la Convention. Ouvert à la signature des États membres du Conseil de l'Europe signataires de la Convention à Strasbourg le 13 mai 2004, il est entré en vigueur le 1er juin 2010.
Le 13 mai 2004, le quotidien belge Le Soir commente la réforme de la Cour européenne des droits l’homme, adoptée la veille à Strasbourg, portant notamment sur le durcissement des critères de recevabilité des recours individuels.
Dans un discours prononcé le 16 mai 2005, à l’occasion du troisième sommet du Conseil de l’Europe à Varsovie, Luzius Wildhaber, président de la Cour européenne des droits de l’homme, fait le point sur le rôle joué par la Cour de Strasbourg depuis sa création et lance un appel aux chefs d’État ou de gouvernement pour qu’ils élaborent une stratégie de préservation de son efficacité à long terme.
Le 12 mai 2009, en attendant l’entrée en vigueur du Protocole n° 14 amendant le système de contrôle de la Convention, le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe, lors de sa session ministérielle à Madrid, adopte le Protocole n° 14bis à la Convention européenne des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Ce dernier a pour but d’augmenter au plus vite la capacité de traitement des requêtes par la Cour. Le Protocole n°14bis, ouvert à signature le 27 mai 2009 à Strasbourg, entre en vigueur le 1er octobre 2009. Il cesse d’être en vigueur ou d’être appliqué à titre provisoire le 1er juin 2010, date d’entrée en vigueur du Protocole n° 14 à la Convention.
Luzius Wildhaber (Suisse), élu premier président de la nouvelle Cour unique des Droits de l'Homme le 24 juillet 1998. Président de la Cour européenne des Droits de l'Homme du 1er novembre 1998 au 18 janvier 2007.
Dans un discours prononcé le 26 janvier 2004 à l’occasion de la présentation de son 3ème rapport annuel devant l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, Álvaro Gil-Robles, Commissaire aux droits de l’homme, présente les développements institutionnels de son mandat ainsi que ses principaux domaines d’activité pendant les quatre années d’exercice de son poste.
Le 19 octobre 2005, Álvaro Gil-Robles, commissaire aux droits de l'homme au Conseil de l'Europe, accorde au quotidien espagnol El País un entretien au cours duquel il dresse le bilan des changements opérés en Europe dans les politiques relatives aux droits de l'homme au cours de son mandat (1999-2005).
Le 13 septembre 1961, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe constitue, par Résolution (61) 20, la Conférence européenne des pouvoirs locaux dans le cadre des dispositions de l'article 17 du Statut de l'organisation et adopte la Charte de la conférence.
Le 19 février 1975, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe, par Résolution (75) 4, décide d'amender la charte de la Conférence européenne des pouvoirs locaux et celle-ci est rebaptisée Conférence des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe.
Résolution statutaire du Comité des ministres du Conseil de l'Europe, du 14 janvier 1994, instituant le Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe (CPLRE).
Le 30 mai 1995, Claude Haegi, Président de la Chambre des régions du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe (CPLRE) prononce l'allocution d'ouverture de la deuxième session de la Chambre.
Le 15 mars 2000, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe adopte une résolution statutaire révisée relative au Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe (CPLRE).
Le 15 mars 2000, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe adopte, en annexe à la résolution statutaire (2000) 1, une Charte révisée du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe (CPLRE).
Le 2 mai 2007, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe adopte une résolution statutaire révisée relative au Congrès des pouvoirs locaux et régionaux (CPLRE).
Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe
Le 19 janvier 2011, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe adopte une résolution statutaire révisée relative au Congrès des pouvoirs locaux et régionaux (CPLRE).
R. Laan (Pays-Bas), président de la Conférence européenne des pouvoirs locaux, rebaptisée Conférence des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe au cours de son mandat, du 16 septembre 1974 au 25 avril 1976.
Bengt Mollstedt (Suède), président de la Conférence permanente des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe du 17 mars 1992 au 30 mai 1994, année où cette institution devient le Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe (CPLRE).
Yavuz Mildon (Turquie), président de la Chambre des régions du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe (CPLRE) de 2004 à 2008 et président du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe du 27 mai 2008 au 26 octobre 2010.
Ian Micallef (Malte), président de la Chambre des pouvoirs locaux du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe (CPLRE) de juin 2006 à octobre 2010. Il assure l’intérim de la présidence du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de janvier 2009 à octobre 2010.