Le 11 août 1950, l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe adopte une motion introduite par Winston Churchill qui appelle à la création immédiate d'une armée européenne pour faire barrage au communisme.
Le 4 avril 1949, Joseph Bech, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, prononce à Washington un discours à l'occasion de la signature de l'accord instituant l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Lors de "l'appel de l'OTAN" en 1965, le général de Gaulle souligne clairement le rôle à part que la France entend jouer au sein de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
"Adenauer joue le rôle de médiateur: Charlie, nous devons montrer notre bonne volonté. Donnons à Mac aussi un bout lorsque nous nous partageons le taureau ..." Le 20 janvier 1963, le quotidien socialiste autrichien Arbeiter-Zeitung illustre l'attitude peu généreuse du général de Gaulle, président de la République française, et du chancelier allemand Konrad Adenauer face à l'éventuelle adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 24 février 1965, le quotidien français Le Figaro représente le général de Gaulle en posture de chef de l'Europe qui ne montre guère d'enthousiasme face à la délégation britannique venue négocier les conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 22 janvier 1972, Walter Hallstein, Joseph Bech, Paul-Henri Spaak, Jean Monnet, Jean-Charles Snoy et d'Oppuers et Jean Duvieusart, notamment, assistent à la cérémonie de signature du traité d'adhésion du Danemark, de l'Irlande, de la Norvège et du Royaume-Uni aux Communautés européennes.