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GP_BROUILLARD_BOILY

Introduction Pendant la Guerre Froide, l'Europe décide de s'unifier. Cette unification est causée par l'insécurité que les pays occidentaux de l'Europe de l'Ouest ont des soviétiques. Cependant, cette soudure est très fragile dans les années 50. Celle-ci traverse une période de stagnation et de morosité. La crise économique mondiale relancée par le deuxième choc pétrolier et la politique monétarisme du président Reagan est une première cause de cette difficulté dans laquelle traverse l'Europe. La CEE avance plus lentement depuis que quatre nouveaux pays sont venus s'unifier. La vie communautaire est affectée par de nombreux problèmes tels que les ressources financières qui sont insuffisantes, que la politique commune ne progresse guère et qu'ils se demandent s'ils ne devraient pas admettre une contribution britannique. L'entrée de l'armée soviétique en Afghanistan, en décembre 1979, et l'état de siège instauré en Pologne, en décembre 1981 durcit la confrontation entre l'Est et l'Ouest. En effet, de 1979 à 1985, il y a une « nouvelle guerre froide ». La communauté se plaigne des sanctions économiques qui sont demandées par les américains, mais il condamne la politique des soviétiques. Dans plusieurs pays européens de l'OTAN, il y a une vague de pacifiste. Il y a des négociations monstres contre le déploiement des euromissiles. Plusieurs gouvernements sont divisés sur l'attitude à prendre. Les difficultés internes ainsi que les pressions extérieures incitent ces dirigeants à trouver un nouveau souffle pour la communauté. Cette idée est la rentrée de L'Espagne ainsi que du Portugal dans la commune. Ce choix aura un double objectif, le premier est de mettre en place une réforme institutionnelle et le deuxième d'avancer le développement des actions communes. Le moyen le plus efficace de présenter et d'alimenter le sujet est d'emprunter une visée explicative de la recherche, c'est un moyen qui sert à faire des liens avec les causes et les conséquences d'une certaine situation fragile du pays. Je me questionne au sujet de l'impact du déplacement vers le sud à eu sur l'économie du Portugal et le domaine de l'agriculture. L'économie du Portugal a probablement pris du mieux à la suite de l'introduction à l'Union Européenne et le domaine de l'agriculture commune a emprunter une pente montante parce que j'imagine que le prix des produits a baissé pour être au niveau de ceux des autres pays membre. Le développement du travail est séparé en trois enjeux pour le Portugal, agricoles, financiers, soucis institutionnels et de plus une partie complète dédiée aux causes et conséquences de l'introduction à l'Union Européenne. L'hypothèse sur cette question qui est quels sont les conséquences de cette entrée dans l'Union Européenne, les conséquences économiques comme politiques est que cette union a permis à l'Espagne d'une part de parvenir à un niveau de vie économique et politique beaucoup plus enrichissant. Cette adhésion ont permis au niveau économique de développer et de moderniser le marché ainsi que les structures qui encadrent cette économie. Ensuite de niveau politique, cette ouverture vers l'Union Européenne a permis aussi une ouverture au reste du monde, de niveau international. Le Portugal et l'Espagne avant leur adhésion à l'Union Européenne Le Portugal et l'Espagne ont attendu sept ans avant de pouvoir être acceptée dans l'Union Européenne. Au départ, la Grèce, le Portugal et l'Espagne ont voulu ensemble faire partie de la Communauté. Celle-ci a décidé de traiter le projet séparément avec chacun des candidats. C'est pour cette raison que la Grèce adhère cinq ans plutôt. Pour les deux pays restants, ceux-ci avance progressivement vers cette union. Ces deux pays deviennent tous deux des pays démocratiques. Cette élargissement présente des avantages politiques à la Communauté, comme par exemple, cela pourrait stabiliser les régimes démocratiques établis de 1974 à 1975 et cela mènerait à un rééquilibre entre le nord et le sud. Cependant, le Portugal et l'Espagne ont beaucoup de chemin à faire avant de pouvoir adhérer aux conformités de l'Union Européenne. En effet, ces pays sont très pauvres, le taux de chômage ainsi que l'inflation sont nettement élevés que les taux moyens de la CEE. Un autre de leurs problèmes est que les salaires sont plus faibles. C'est pourquoi la CEE permet des financements pour la politique agricole ainsi que régionale des nouveaux membres. Malgré tout, ces deux pays ont parvenu à une adhésion. Ces deux pays ont déjà des relations commerciales importantes avec les neuf. Pour ce qui est du Portugal, il y a des traités de libre échange depuis 1972 ainsi qu'une ouverture de la CEE envers ses produits et l'autorise à maintenir des droits sur certains des articles achetés au neuf. L'Espagne, de son côté, a établit un accord depuis 1970 qui réduit davantage les droits de douane à l'entrée de la CEE qu'en sens inverse. « Cette situation douanière asymétrique permet aux deux pays d'avoir une balance commerciale légèrement excédentaire au début des années 80. » (BITSCH, 2004, p.223) Cependant, il y a des doutes chez les Dix, ils ont peur de plusieurs aspects de leur entrée. Le premier est qu'ils redoutent la concurrence surtout pour du aux textile portugais, aux produits sidérurgiques et appareils ménagers espagnols. Le deuxième est aussi au niveau d'une forme de concurrence, mais ici, cette fois dans le domaine de la nourriture, ils ont peur que cela menace le marché des produits méditerranéens tels que le vin, les agrumes, les fruits, les légumes et l'huile d'olive. Cette concurrence menace surtout l'Italie, le Midi et la France, ceux-ci réagissent violemment par exemple en s'en prenant aux camions espagnols. Plusieurs autres obstacles sont sur la route du Portugal et de l'Espagne vers leur entrée dans la CEE. Plusieurs difficultés d'ordre économique qui ont été présenté plus haut sont de mise, mais aussi s'ajoute le problème de fonctionnement des institutions créé pour 6 et qui est menacé de paralysie à douze. Malgré tout cela, la BEI qui est la banque européenne commune, accorde des aides non-remboursables et des prêts. Ceux-ci ont pour but de favoriser la modernisation des équipements, la restructuration de certaines activités et faciliter leur intégration. De cette façon, les négociations avancent lentement, il y a toujours des manifestations de communiste et de gaullistes qui appuient le lobby des agriculteurs et qui prennent position contre l'élargissement. Il y a donc de plus en plus un froid qui se crée entre la France et l'Espagne. Il s'alourdit encore dans le domaine de la pêche où ceux-ci se font concurrence. La date prévue pour la fin des négociations n'est pas respectée. En 1981, le parlement européen prévoit une adhésion le premier janvier 1984. Cependant, c'est en 1984 qu'on voit vraiment une progression dans les négociations. Finalement en mars 1985, le Portugal accepte un accord d'autolimitation pour les exportations de textiles vers la communauté et renoncer à la libre circulation de la main d'œuvre jusqu'à la fin de la phase transitoire. Pour Madrid, ceux-ci s'engage à réduire la production et l'exportation de certains produits sidérurgiques, mais ils gardent la possibilité de subventionner les entreprises concernées. Pour ce qui est du marché du vin, la production plafonne à la demande de la France et pour la pêche, on fixe le nombre de bateaux espagnols à 300 qui peuvent naviguer dans les eaux communautaires. Tous ces accords sont mis en vigueur le 1er janvier 1986 et on prévoit une période transitoire de sept ans. Ces accords ajoutent 60 députés espagnols et 24 députés portugais chez les membres du parlement ce qui amène un parlement qui compte 518 membres. L'Espagne et le Portugal ont de nouveaux défis : pouvoir supporter le choc de la libéralisation des échanges, ils doivent moderniser leurs industries pour devenir compétitifs à leurs tours et ainsi conquérir les marchés. Le Portugal Le Portugal a été introduit à l'Union Européenne en 1986 pour y côtoyer onze autres membres et se voyait déjà comme une menace pour l'Union selon les experts. Plusieurs hypothèses avaient été émises par des économistes comme quoi le Portugal, dirigé par Mario Soares du parti socialiste à cette époque, aurait de la difficulté à rentrer dans le système économique de l'Union Européenne et d'avoir un marché du travail développé et avancé. La question du chômage est très délicate dans les régions du sud de l'Europe parce que les populations rurales vivent principalement de l'agriculture et de la pêche. C'est l'une des raisons pourquoi l'Union Européenne a décidé d'introduire l'Espagne et le Portugal sachant que l'économie des deux pays était fragile mais permettrait de créer des débouchés dans les domaines de l'agriculture et de la pêche. Les trois enjeux suivants établissent un lien direct entre la problématique économique et des causes / conséquences de l'intronisation du peuple portugais à l'Europe. (Commission européenne, Problèmes économiques, 1er mars 2000) Enjeux Agricoles Pour commencer je dois préciser que les enjeux agricoles incluent la pêche marine et l'élevage bovin. La problématique de l'introduction du Portugal et de l'Espagne est directement liée à l'économie mais celle-ci dépend de l'efficacité et d'une bonne tenue de l'agriculture. Avant que le Portugal soit inclus dans l'Union l'agriculture commune était très fragile tout comme la pêche et ses paysans. C'est un pays très tranquille qui a évité la guerre civile, la déconfiture et le totalitarisme. C'est pourquoi les dirigeants portugais ne voulaient pas rentrer dans l'UE seulement pour être mis sous tutelle. Non, ils avaient de grands projets pour améliorer la situation économique et de plus, la commission européenne voulait être certaine de ne pas faire chavirer ce pays alors elle a imposées de strictes règlements au Portugal. Ce n'est pas parce que le Portugal était bien surveillé qu'il ne pouvait pas se permettre d'avancer et de prendre des risques dans le secteur agricole. La preuve, le pays a confronté la France et l'Italie dans le commerce des vins, légumes, etc. et maintenant ont voit que les produits portugais sont de plus en plus exportés et reconnus à l'étranger. Ce fut la même chose pour la pêche, qui a affecté grandement la concurrence du marché méditerranéen, les portugais en sont sortis gagnant parce qu'ils ne sont pas venus à l'encontre des limites qui leur ont été émis par l'UE. L'ensemble des membres de l'Union fait parti de la structure d'un marché commun ce qui permet d'établir des prix concurrentiels à l'étranger et de faciliter la conception, l'industrialisation et le transport de tout produits essentiels. Suite à son introduction à l'Union Européenne, le Portugal a vécu une période se chevauchant sur 10 ans où est-ce que le secteur agricole, textile, manufacturier, etc. était très à risque parce que l'investissement dans certain secteur était très faible parce que les investisseurs ne voulaient pas s'aventurer sur un terrain inconnu. (Roland Faure, Aurore, 1977) La pêche et l'agriculture ont toujours été les modes de subsistances de premier plan au Portugal depuis plusieurs siècles donc la productivité dépend beaucoup de ce secteur. Suite à l'introduction du Portugal, la situation économique de l'Union a permis aux secteurs de productions d'ouvrir plusieurs postes et par le fait même de diminuer le taux de chômage. Les chiffres démontrent que le chômage n'a aucunement augmenté à la suite de 1986 malgré un taux de productivité et de l'emploi sur une courbe houleuse, seulement de 4 à 8% de taux de chômage au Portugal en 1997. Depuis 1997, le taux de chômage est resté très bal tel même que le Portugal est l'une des puissances économiques dans le monde. Enjeux financiers Pour continuer dans la même voie, la situation économique du Portugal depuis les vingt-trois dernières années est principalement assurée par l'Union Européenne. Ce soutient amène deux types d'effets positifs au secteur de l'emploi et de la productivité. Les pays bénéficiaires de l'aide voient leurs taux de la demande augmenté considérablement à cause d'une subvention très forte se basant sur les domaines essentiels de chaque pays, comme par exemple le secteur du vin français ou de l'agriculture italienne. Le Portugal a plus de faciliter à acheter des biens et des services alimentaires parce que le secteur est très bien soutenu mais cela crée des tensions entre les membres de l'union. Pourquoi? Prenons par exemple le cas du vin en Europe. Le vin est la chasse-gardée de la France et elle se classe parmi les meilleurs, ce pays a fait beaucoup de chemin pour en arriver-là aujourd'hui, et certains secteurs ont du être mis de côté pour diriger les fonds monétaires dans le secteur du vin. Alors, si un autre «concurrent» européen embarque dans la course du secteur de la vigne et bien les investissements provenant de la Commission européenne seront divisé en deux par exemple, pour la France et le Portugal donc une baisse de fonds pour la France. L'investissement fait dans les secteurs de biens et services depuis 1986, a permis d'améliorer les donnés économiques générales du pays. Lisbonne est le district le plus peuplé du pays, et pour vous donnée une bonne idée de l'amélioration de la situation économique en 1986 le revenu par habitant était de 79,2 et en 1996 il était de 88,5. En milieu rural il y a eu une amélioration encore plus visible, Algarve est le secteur le plus au sud du Portugal et en 1986 la PIB par habitant était de 44,4 et en 1996 il était de 70,8. La plupart des districts portugais ont vu leur pourcentage d'emploi par secteur augmenté à la fin des années 90 et le secteur des services était même rendu à 71% dans Lisbonne. (Tableau de l'Union Européenne, Problèmes économiques, 2000) L'élément le plus important à retenir des enjeux agricoles et financiers est le lien qu'on doit faire entre l'investissement fait par l'Union Européenne produisant des ouvertures d'emplois et d'importants développements au niveau de l'agriculture, industrialisation, etc. Conséquences Mon point de vu face à l'introduction du Portugal dans l'Union Européenne est relativement positif mais il y a tout de même des conséquences à cette entrée valorisante pour l'Union. Comme expliqué dans l'enjeu financier, les conflits entre membre ont augmenté à cause d'une division des fonds distribués dans toute sorte de secteurs. De plus, il y a eu un ralentissement dans la croissance suivant l'introduction du pays à l'Union parce qu'il y avait un investissement médiocre de la part de l'État dans les secteurs traditionnels ce qui créer une augmentation de l'inflation donc par le fait même une augmentation des prix et du chômage. Il reste une importante restructuration à faire parce que le secteur d'emploi agricole présente une défaillance mais tout peut être soutenu et amélioré s'il y a un maintien de la flexibilité du marché du travail et un suivi exemplaire de la part de l'Union Européenne. L'Espagne : les conséquences politiques Dix ans plus tard, l'Espagne est rendu un pays qui a évolué depuis son entrée dans la CEE. Il faut rappeler tout d'abord deux choses, en premier la rupture avec le franquisme de la guerre civile qui s'est établit en 1959 par le plan de stabilisation ainsi que le processus de démocratisation qui est paru après la mort de Franco. Ensuite, il fut dans l'idée d'une transformation pour arriver en un État à structure interne décentralisé. Cependant, lors de l'adhésion à la communauté, ce processus de décentralisation ainsi que l'autonomie que les 17 régions espagnoles commençaient à avoir fut bouleversé par le pouvoir « supranational ». Ce pouvoir est de céder « une partie des compétences législatives matérielles qui appartenaient non seulement au pouvoir central mais également en partie aux autonomies » (BERROCAL, 1993, p.79) aux Communautés européennes. Cette mise en place courait le risque de rompre un équilibre entre le pouvoir centrale et régional, surtout qu'elle avait été installée que très récemment. Donc, cela a amené à un plan d'action pour envisager une solution pour les relations interne entre l'État et les CA. Une des solutions trouvées est la mise en place d'une conférence sectorielle ad hoc pour ce qui est des questions communautaires. Cette idée fonctionne comme tel : il s'agit de faire des réunions informelles où chaque conseiller de toutes les Communautés autonomes qui ont débuté au moment de la présidence espagnole de la CE peut être au courant des activités. Cette mise en place a été institutionnalisée en 1992. Cependant, l'accord qui a établit un cadre de coopération important est le 30 novembre 1994, qui permet aux CA de participer à la formation et à l'application du droit communautaire. On peut malheureusement conclure que la participation directe des CA dans les institutions communautaires est vraiment insignifiante puisqu'elle se déploie seulement au niveau du Comité des régions. Les conséquences économiques Puis, il y a les conséquences économiques qui sont divisées en plusieurs parties. Dans un premier temps, il sera question de l'ouverture de l'Espagne vers le monde, puis dans un deuxième temps, la compétitivité en Europe, en troisième temps, l'emploi et pour finir un bilan des perspectives envisageables. L'ouverture de l'Espagne sur le monde En premier, l'Espagne en adhérant à l'Union Européenne ouvre ses portes vers le monde. Il peut maintenant se faire une place dans l'économie internationale ainsi que dans ce marché. Le commerce extérieur est de loin en pente montante. « Cette libéralisation a fonctionné comme une thérapie de choc ayant imposé une discipline et une modernisation qui auraient été difficilement imaginables sans l'adhésion à la Communauté. » (BERROCAL, 1995, p.74) Il y a un autre aspect qui avantage l'Espagne, ce sont les investissements étrangers. Ceux-ci sont multipliés par six et c'est en 1994, que ces investissements ont permis à l'Espagne de monter en premier rang dans les pays d'accueil d'investissements internationaux lorsqu'ils ont atteints les 20 milliards de dollars pour des investissements étrangers directs. Ce contrôle étranger des secteurs-clefs de l'économie espagnole a entrainé un haut degré d'internationalisation de l'appareil productif du pays. Cette ouverture permet de faire des améliorations sur le pays comme par exemple les infrastructures physiques, mais aussi éducatives, dans le domaine de la santé publique, des télécommunications, de l'environnement… La compétitivité en Europe Ensuite, comme deuxième point, leur entrée dans l'Union Européenne ne permet pas de récolter seulement que des avantages. En effet, malgré que l'Espagne soit une ouverture vers le monde, la concurrence est très forte dans le marché économique. Déjà, avant leur adhésion, certains pays des 9 avaient des doutes et des craintes vis-à-vis la concurrence que l'Espagne offre dans plusieurs domaines. C'est pour cette raison que l'UE à donner des exigences à l'Espagne. Cela comprend de « restructurer les monopoles à capitaux publics en prévision d'une privatisation, d'introduire la concurrence par la réforme de la réglementation et d'accroître l'indépendance des autorités sectorielles de régulation ; de renforcer et d'éliminer les réglementations anticoncurrentielles; enfin, de privatiser progressivement les entreprises à capitaux » (OCDE, 2002, p.21) Avant même que le délai arrive, l'Espagne a rempli ces exigences à la lettre, même qu'il allait au-delà des termes minimales adopté par l'UE. Cependant, l'Espagne étant encore un pays qui est sous développer, a beaucoup de travail à faire pour arriver au même stade que les autres pays de l'UE. Puis, l'Espagne n'est pas un pays habitué au sein d'un milieu compétitif et donc il y a « absence de toute culture de l'innovation et du risque » (BERROCAL, 1995, p.82), ce qui est une grande faiblesse qui cause un ralentissement au niveau économique vis-à-vis les autres pays. L'emploi Par la suite, l'emploi est aussi un point très important à aborder. L'Espagne est un pays très pauvre. Avec leur adhésion dans l'UE, le niveau de vie des habitants s'est enrichi. En effet, le revenu réel des habitants a augmenté de 41,3% pendant les 10 ans qui ont suivi. Ce qui veut dire que le taux moyen annuel de croissance qui est cumulatif de 3,5%. Malgré toutes ces statistiques, l'emploi est encore un problème marquant pour les espagnols. Leur entrée a permis d'équilibrer les choses en mettant la création d'emplois plus forte que la destruction d'emplois. Cependant, lors des récessions qui ont suivis, comme par exemple en après 1992, les destructions sont revenus plus hauts que la création. Un autre des avantages que leur adhésion a amené est sûrement un changement de culture, dans les années qui ont suivi beaucoup plus de femmes sont allé sur le marché du travail, 94% des nouvelles demandes. Perspectives envisageables Pour finir, malgré tous ces changements économiques, il reste que l'Espagne n'a fait que s'intégrer le mieux possible et il ne réussit pas encore tout à fait à s'ajuster sur quelques points vis-à-vis l'UE. Madrid a décidé de mettre en place un plan d'action pour s'améliorer encore. Grâce à l'ouverture internationale, l'Espagne a pu pousser son marché plus loin, mais il y a fait beaucoup de sacrifices. Ces sacrifices ne doivent pas cependant déséquilibrer la base sur lequel tient un pays. Donc pour régler ce petit défaut, l'Espagne a envisage de changer les mécanismes communautaires qui se dirigent vers ce système d'ouverture. Elle voudrait aussi s'orienter vers une ouverture latino-américaine. Ces objectifs sont encore en marche. On peut donc remarquer que l'entrée dans l'UE a permis plusieurs changements majeurs, mais l'Espagne a encore beaucoup de retard sur les autres pays. Conclusion Pour conclure, l'introduction du Portugal et de l'Espagne à l'Union Européenne fut d'une grande utilité pour l'évolution de la société et de l'économie nationale. Les enjeux agricoles sont présentés en lien avec «l'après introduction» et le présent. L'économie portugaise prend un grand saut dans l'économie et le marché mondial. Plusieurs faits sont présentés pour démontré la bonne situation des secteurs agricoles et industriels. Plusieurs économistes n'avaient pas confiance en cette entré tardive mais le Portugal est allé droit devant et à maintenu et améliorer le financement en aide avec l'Union européenne. Pour ce qui est de l'Espagne, cette adhésion leur a permis d'avoir une ouverture économique internationale, mais malgré cela a amené plusieurs défauts tels que le déséquilibre au niveau des 13 communautés et leurs pouvoirs de leur état. Ils ont pu, malgré tout, améliorer les structures qui unissent le pays et ils ont pu envisager des perspectives qu'ils ne pouvaient pas sans être unifier avec l'Union Européenne. Ensuite, après avoir expliqué les conséquences, les enjeux de l'entrée du Portugal et de l'Espagne dans l'UE, on peut se demander, maintenant en 2009, l'UE qui est rendu avec 27 états sous son aile doit avoir pris des démarches pour remodeler le système de fonctionnement. On pourrait se demander comment l'Espagne et le Portugal ont poursuivis leur chemin. Aussi, pour finir, est-ce que la mondialisation est une bonne manière de gérer le monde ? Bibliographie Articles de périodiques 1- Commission Européenne «Le Portugal et l'UE : quel bilan 15 ans après?». Problèmes économiques, n° 2654 (1er Mars 2000) p. 12-18 2- GAILLARD, Jean-Michel «Cap au sud» L'histoire, n°280 (Octobre 2003) p. 34 3- BERROCAL Luciano et Nicole STOPPEL, « L'Espagne et l'Union européenne : quel avenir après dix ans de profonds changements? » Politique Étrangère p.73 à 84 4- OCDE, « L'Europe, moteur de la modernisation et du développement économique », Économie Étrangère n. 2,746 (30 janvier 2002) p.18 à 22 Articles du site de l'ENA 1- Allocation de Jacques Delors. Communautés Européennes [En ligne] www.ena.lu n°6 (Juin 1985) p. 8-9 2- Allocation du premier ministre de la République portugaise [En ligne] www.ena.lu Communautés Européennes Bruxelles. n° 544 (12.6.1985 3- DESCHAMPS, Étienne «L'Adhésion du Portugal». EUROPEAN NAVIGATOR (CVCE) (En ligne) www.ena.lu 2008 4- Discours de la nation. EUROPEAN NAVIGATOR. [En ligne] www.ena.lu Paris : Centre Virtuel de connaissance sur le monde. 1976 5- FAURE, Roland. EUROPEAN NAVIGATOR. «Pour l'homme d'État qui a préservé son pays du Chaos». Aurore. [En ligne] www.ena.lu Paris (08.03.1997) document. Livres 6- LEBÈGUE, Daniel, « L'intégration régionale », De Boeck Université, 2000, p.84-85 7- BISTCH, Marie-Thérèse, « Histoire de la construction européenne de 1945 à nos jours », Editions Complexe, 2004, p. 220 à 223