"Je le fais tout doucement..." La volonté exprimée en août 1961 par Harold Macmillan, Premier ministre britannique, d'engager son pays sur la voie de l'adhésion à la Communauté économique européenne (CEE) ne se fera pas sans mal pour le vieux "lion britannique".
"Le Lion britannique-Allez n'hésite plus, saute donc" Le 12 août 1961, la revue satirique allemande Simplicissimus commente en Une l'annonce de la candidature du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne.
"Encombrants colis britanniques - Ne pourriez-vous pas agrandir votre guichet, gentlemen !" En octobre 1961, le caricaturiste Heko annonce de longues et houleuses négociations d'adhésion entre le Royaume-Uni et les pays membres de la Communauté économique européenne.
Le 28 janvier 1963, la réponse française à la demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes ne laisse planer aucun doute quant à la position du général de Gaulle.
En janvier 1963, Harold Macmillan, Premier ministre britannique, se heurte à "l'iceberg" français de Gaulle qui refuse l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
"La fable européenne (suite) : Le nouveau cerbère" dénonce l'attitude du Royaume-Uni qui consiste à se réfugier dans les bras du président américain John F. Kennedy après que le général de Gaulle ait refusé l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
THE SECOND APPLICATION FOR MEMBERSHIP OF THE EUROPEAN COMMUNITIES
Le 24 février 1965, le quotidien français Le Figaro représente le général de Gaulle en posture de chef de l'Europe qui ne montre guère d'enthousiasme face à la délégation britannique venue négocier les conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 26 janvier 1967, le caricaturiste du quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung dénonce les conditions d'adhésion imposées par le général de Gaulle aux Britanniques pour participer au Marché commun européen.
"Sur le chemin de la CEE", le président français Charles de Gaulle représente le plus haut et difficile obstacle à franchir pour le Premier ministre britannique, Harold Wilson.
"...la prestigieuse nature...Cap Gris-Nez" Le 28 janvier 1967, pour le caricaturiste néerlandais Opland, les tentatives du Premier ministre britannique Harold Wilson de voir le Royaume-Uni adhérer au Marché commun se heurtent à la "falaise De Gaulle".
En 1968, le caricaturiste Fritz Behrendt décrit le "cauchemar du Premier ministre Wilson" qui, à l'instar de son homologue Harold Macmillan en 1963, se heurte au veto du général De Gaulle qui refuse l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.