Le 11 avril 1961, lors d'une conférence de presse à l'Élysée, le président français Charles de Gaulle réaffirme la volonté de la France de poursuivre ses essais nucléaires au Sahara.
Le 5 septembre 1960, le président de Gaulle donne, au Palais de l'Élysée, une conférence de presse au cours de laquelle il exprime son opinion sur la réforme de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et sur le rôle que la France peut y jouer.
Le 11 avril 1961, lors d'une conférence de presse à l'Élysée, le président français Charles de Gaulle réaffirme la volonté de la France de poursuivre ses essais nucléaires au Sahara.
Dans ses Mémoires, le général de Gaulle explique comment, dès 1958, Konrad Adenauer et lui-même n'ont eu de cesse d'essayer de rapprocher la France et la République fédérale d'Allemagne (RFA).
"Nous sommes tous d'accord sur le fait que l'Europe doit enfin marcher comme un seul homme !" Le 15 août 1960, Fritz Behrendt montre dans le quotidien néerlandais Algemeen Handelsblad les ambiguités de Harold Macmillan, de Konrad Adenauer et du général de Gaulle dans l'idée qu'ils se font de l'unité européenne et du leadership de l'Europe communautaire.
Pour le caricaturiste néerlandais Opland, "l'Europe de De Gaulle" est une Europe des États soustraite à la mainmise directe des États-Unis et à l'influence de Moscou qui la rend "inaccessible à l'ami et à l'ennemi".
"Mauvais en amour: France". En février 1962, selon le caricaturiste néerlandais Opland, l'attitude du général de Gaulle, représenté en Cyrano de Bergerac, en matière de politique étrangère s'apparente à une tragédie romantique.
En 1964, le caricaturiste Behrendt illustre comment "Vingt ans après" le débarquement allié sur les côtes normandes, le général de Gaulle manifeste pour le retrait des troupes américaines du sol français.
Lors de "l'appel de l'OTAN" en 1965, le général de Gaulle souligne clairement le rôle à part que la France entend jouer au sein de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
"...la prestigieuse nature...Cap Gris-Nez" Le 28 janvier 1967, pour le caricaturiste néerlandais Opland, les tentatives du Premier ministre britannique Harold Wilson de voir le Royaume-Uni adhérer au Marché commun se heurtent à la "falaise De Gaulle".