Les Recommandations finales des Consultations d'Helsinki (RFCH), adoptées lors des négociations diplomatiques qui se tiennent dans la capitale finlandaise du 22 novembre 1972 au 8 juin 1973, définissent les règles de procédure de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE).
Organigramme des organes et groupes de travail de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), qui se réunissent pendant la deuxième phase de la Conférence à Genève du 18 septembre 1973 au 21 juillet 1975.
C'est la Charte de Paris pour une nouvelle Europe, signée à Paris le 21 novembre 1990, qui dote la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) d'une structure institutionnelle permanente.
Lors de la deuxième réunion du Conseil de la CSCE, qui se tient à Prague les 30 et 31 janvier 1992, les ministres des Affaires étrangères des États participants adoptent le Document de Prague sur le développement ultérieur des institutions et structures de la CSCE.
Tableau montrant l’évolution des structures institutionnelles de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), et successivement de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), depuis leur mise en place par la Charte de Paris pour une nouvelle Europe en 1990 et suite aux différents aménagements institutionnels effectués notamment par les décisions des conférences d’examen et du conseil ministériel jusqu’à 1999.
Le 2 janvier 2006, à l’occasion du début de la présidence belge de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), le quotidien La Libre Belgique publie un entretien avec Pierre Chevalier, représentant du ministre belge des Affaires étrangères et président en exercice de l’OSCE en 2006, Karel De Gucht, pendant l’année de la présidence.
La troïka ministérielle de l'OSCE en 2002, représentant (de gauche à droite) la Roumanie, le Portugal et les Pays-Bas (Présidents en exercice précédent, présent et suivant).
Sur la photo, un des Représentants personnels du Président en exercice de l'OSCE, le général Carlo Jean (au milieu), avec les représentants des parties, lors de la troisième Conférence d'examen de l'application de l'article II de l'Accord-cadre général pour la paix en Bosnie-Herzégovine (Accord de paix de Dayton du 14 décembre 1995), tenue à Vienne du 19 au 21 février 2001.
Lors de sa quatrième réunion, tenue à Rome du 30 novembre au 1er décembre 1993, le Conseil de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) crée à Vienne le Comité permanent de la CSCE.
Lors du sommet de Budapest des 5 et 6 décembre 1994, les États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) décident de changer le nom du Conseil de la CSCE en Conseil ministériel, du Comité des hauts fonctionnaires en Conseil supérieur et du Comité permanent en Conseil permanent.
Le Conseil permanent est le principal organe permanent de l'OSCE chargé des consultations et de la prise des décisions sur le plan politique. Ses membres, les représentants permanents des États participants, se réunissent une fois par semaine au Centre de congrès de la Hofburg, à Vienne.
Lors de sa réunion à Prague les 30 et 31 janvier 1992, le Conseil de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) crée le Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme (BIDDH).
Les États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), réunis à Helsinki le 9 et le 10 juillet 1992, décident d'accroître le rôle du Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme (BIDDH) pour en faire la principale institution de la dimension humaine.
L'Ambassadeur luxembourgeois Christian Strohal (à droite) succède début 2003 à l'Ambassadeur Gerard Stoudmann comme directeur du Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme de l'OSCE.
Présentation du bureau des institutions démocratiques et des droits de l’homme de l’OSCE à Varsovie, en particulier son rôle dans les domaines de la démocratisation, le respect des droits de l’homme, la garantie de l’État de droit et la promotion de la tolérance.
Les États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), réunis à Helsinki le 9 et le 10 juillet 1992, créent le poste du Haut Commissaire pour les minorités nationales.
Le 22 juin 2001, Max van der Stoel, haut commissaire de l'OSCE pour les minorités nationales depuis la création du poste en décembre 1992, prononce un discours d'adieu devant le Conseil permanent après huit ans d'exercice.
Discours de Daan Everts, représentant personnel du Président en exercice de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), à l'occasion du 10ème anniversaire de la création du poste de haut commissaire de l'OSCE pour les minorités nationales.
Présentation des tâches du haut commissaire pour les minorités nationales de l’OSCE dans la prévention et la résolution des conflits ethniques: détection de problèmes, alerte rapide et proposition de solutions afin de maintenir la paix et la stabilité dans le cadre d’un État démocratique garantissant le respect des droits de l’homme.
Le 5 novembre 1997, les États participants de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) créent le poste de Représentant de l'OSCE pour la liberté des médias.
Le 18 décembre 1997, Freimut Duve prononce un discours devant le Conseil ministériel de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) avant de prendre possession de son poste de représentant de l'OSCE pour la liberté des médias, le 1er janvier 1998.
Dans un article paru en 1998 dans la publication trimestrielle Helsinki Monitor, la diplomate Anne Ruth Herkes décrit l'origine, le but et l'étendue du mandat au poste de Représentant de l'OSCE pour la liberté des médias tel que défini en 1997.
Paru dans l’hebdomadaire allemand Die Zeit le 8 janvier 2004, quelques jours après la fin du mandat de Freimut Duve comme premier représentant de l'OSCE pour la liberté des médias, l’article dresse le portrait d’un homme politique engagé dans la défense de la liberté d’expression et de la démocratie.
Présentation des tâches du représentant de l'OSCE pour la liberté des médias: détection de violations de la liberté de la presse, mise en garde au gouvernement responsable, envoi d'observateurs sur place et soumission des critiques au Conseil permanent.
Les délégations des Parlements des États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), réunies à Madrid le 2 et le 3 avril 1991, adoptent le texte de la Résolution finale concernant l’établissement de l’Assemblée parlementaire de la CSCE.
Lors de sa réunion à Prague les 30 et 31 janvier 1992, le Conseil de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) décide de renforcer le rôle de l'Assemblée parlementaire en stimulant un véritable dialogue entre les deux institutions.
La session inaugurale de l'Assemblée parlementaire de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) se tient à Budapest le 5 juillet 1992.
L'Assemblée parlementaire de l'OSCE se réunit deux fois par an. La "réunion d'hiver" se tient à Vienne, à la Hofburg, normalement en février. La "session annuelle" de juillet est itinérante. Sur la photo, la 10ème "session annuelle" qui s'est tenue à Paris en juillet 2001.
L'Assemblée parlementaire de l'OSCE se réunit deux fois par an. La "réunion d'hiver" se tient à Vienne, à la Hofburg, normalement en février. La "session annuelle" de juillet est itinérante. Sur la photo, la 11ème "session annuelle" qui s'est tenue à Berlin en juillet 2002.
Le 15 décembre 1992, les États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) signent à Stockholm la Convention relative à la conciliation et à l'arbitrage au sein de la CSCE.
Liste montrant les signatures et les ratifications ou accessions concernant la Convention relative à la conciliation et à l'arbitrage au sein de l'OSCE à la date du 26 juin 2003.
Règlement de la Cour de conciliation et d'arbitrage au sein de l'OSCE, du 1er février 1997, adopté par la Cour de conciliation et d'arbitrage et approuvé par les États parties à la Convention de Stockholm du 15 décembre 1992.
Lors de sa troisième réunion à Stockholm les 14 et 15 décembre 1992, le Conseil de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) décide de créer un poste de secrétaire général.
Le 5 novembre 1997, les États participants de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) créent le poste de Coordinateur des activités économiques et environnementales au sein du secrétariat.