Dans cette interview, Hans-August Lücker, ancien conseiller de Walter Hallstein et rapporteur des traités de Rome au Bundestag en 1957, évoque la personnalité et la méthode de travail de Walter Hallstein, secrétaire d'État aux Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA), et celle de Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président du comité des chefs de délégation à Val Duchesse.
"Un, deux, trois". Le 17 février 1957, évoquant les négociations à Val Duchesse des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) sur le Marché commun et sur l'Euratom, le caricaturiste Fritz Behrendt souligne le rôle joué par Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale, pour relancer l'intégration européenne et faire aboutir les négociations sous le regard curieux des observateurs américain et soviétique.
Le 12 septembre 1952, le quotidien français Le Monde commente la nomination de Paul-Henri Spaak à la présidence de l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier à Strasbourg.
Le 30 janvier 1957, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, fait le point sur l'état des négociations des Six sur l'éventuelle association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) à la Communauté économique européenne (CEE).
Dans cette interview, Hubert Ehring, ancien directeur au service juridique du secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque le rôle de Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, lors des négociations de Val Duchesse.
"...si vous continuez à faire du surplace comme ça, espèces de Pères Noël!!...*" Le 11 décembre 1951, face au refus du Royaume-Uni de participer au plan Schuman et déçu des faibles résultats de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe pour faire avancer le processus d'unification européenne, Paul-Henri Spaak, démissionne de son poste de président de l'Assemblée consultative. *Remarque de la rédaction : Le terme « Pères Noël » a été mis par nos soins dans la bouche de Monsieur Spaak pour donner à notre Une un petit air de Noël.
Le 8 avril 1965 à Bruxelles, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, signe au nom de la Belgique le traité instituant un Conseil et une Commission uniques pour les trois Communautés européennes.
En août 1950, Paul-Henri Spaak, président de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, Paul Reynaud, Winston Churchill et Robert Schuman participent à Strasbourg à la deuxième session de l'Assemblée.
Vue d'une partie de la délégation belge, le 28 janvier 1957 à Val Duchesse, pour les négociations de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom. De g. à dr.: Albert Hupperts, Joseph Van Der Meulen (assis derrière) et Paul-Henri Spaak.
Le 23 novembre 1951, le quotidien français Le Populaire publie un article dans lequel Paul-Henri Spaak décrit l'attitude des États-Unis à l'égard du réarmement allemand.