Le 3 octobre 1955, Jacques Doublet, directeur général de la sécurité sociale en France et président de la sous-commission des problèmes sociaux au sein du Comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine, adresse à Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président du Comité, une lettre dans laquelle il rend compte de son entrevue à Bruxelles avec les représentants de la Confédération internationale des syndicats chrétiens (CISC) et souligne leurs préoccupations en ce qui concerne l'intégration économique et sociale de l'Europe.
Le 20 mars 1957, René Mayer, président de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), adresse à Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, une lettre dans laquelle il l'informe de la position de la Haute Autorité par rapport aux compétences et aux pouvoirs des nouvelles institutions prévues par les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Le 13 mars 1948, Paul-Henri Spaak, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la Belgique, prononce à Luxembourg une conférence au cours de laquelle il décrit la nature et les menaces de la politique étrangère de l'Union soviétique.
Le 25 février 1957, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, prononce devant le Cercle industriel et commercial des anciens officiers de réserve et officiers "Mars et Mercure" un discours dans lequel il décrit certains des enjeux économiques et politiques du Marché commun, notamment en ce qui concerne l'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM).
Dans cette interview, André Dubois, ancien membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, rappelle le rôle joué par Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la conférence, lors des négociations au château de Val Duchesse.
Le 24 juin 1953, à l'issue de la conférence des ministres des Affaires étrangères des Six à Baden-Baden, Paul-Henri Spaak, président de l'Assemblée ad hoc et Heinrich von Brentano, président de la commission constitutionnelle, informent Alcide de Gasperi, président du Conseil spécial de ministres de la CECA, de l'état d'avancement des travaux préparatoires pour le projet de Communauté politique européenne (CPE).
Le 4 avril 1955, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, adresse à Konrad Adenauer une lettre dans laquelle il propose au chancelier allemand de relancer l'idée européenne par l'extension des compétences de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) aux autres sources d'énergie et aux transports.
Le 13 mars 1948, Paul-Henri Spaak, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la Belgique, prononce à Luxembourg une conférence au cours de laquelle il décrit la nature du désaccord entre les grandes puissances au sujet du futur statut de l'Allemagne.
Le 13 mars 1948, Paul-Henri Spaak, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la Belgique, prononce à Luxembourg une conférence au cours de laquelle il décrit les raisons du rejet du plan Marshall par l'Union soviétique et par ses pays européens satellites.
Le 9 mai 1962, l'hebdomadaire français Opera Mundi Europe, publie un entretien avec Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, quant à la question de l'Europe politique.