Le 13 mars 1948, Paul-Henri Spaak, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la Belgique, prononce à Luxembourg une conférence au cours de laquelle il explique la portée du plan Marshall et ses implications économiques et politiques pour l'Europe occidentale.
Le 4 avril 1949, Paul-Henri Spaak, Premier ministre et ministre belge des Affaires étrangères, prononce à Washington un discours lors de la cérémonie organisée pour la signature officielle du traité de l'Atlantique Nord.
Le 3 mars 1948, le Premier ministre belge Paul-Henri Spaak prononce à la Chambre des députés un discours dans lequel il donne son avis sur le conflit en cours en Grèce.
Le 26 août 1955, en vue de la conférence de Noordwijk, Auguste Vanistendael, secrétaire général de la Confédération internationale des syndicats chrétiens (CISC) adresse à Paul-Henri Spaak, président du Comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine, une lettre dans laquelle il exprime son souhait que les organisations syndicales soient associées aux travaux du comité Spaak.
En février 1950, face aux critiques américaines concernant les lenteurs du processus d'intégration européenne, Paul-Henri Spaak, président de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, détaille les raisons de certains blocages et souligne l'importance d'intensifier les efforts en vue de la mise en place d'une Europe unie.
Le 21 novembre 1961, lors d'un discours prononcé à Washington devant le National Press Club, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, évoque la question du règlement du statut de Berlin.
Le 3 juin 1961, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, s'entretient avec Eugène Schaus, représentant luxembourgeois auprès des Communautés européennes, au sujet de la coopération politique européenne.
Le 26 mars 1957, au lendemain de la signature des traités de Rome, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, prononce au siège de la Banco di Roma un discours dans lequel il rappelle le déroulement et les enjeux économiques et politiques de la relance européenne.
En avril 1955, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, publie dans la revue Écrits de Paris, un article dans lequel il présente la relance de la coopération européenne comme une condition de la paix et de la prospérité en Europe occidentale.
Le 15 janvier 1963, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, tient à Bruxelles une conférence de presse au cours de laquelle il commente le véto prononcé la veille à Paris par le général De Gaulle contre l'entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen.