Le 15 décembre 1955, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, prononce devant le Sénat de Belgique un discours dans lequel il commente les résultats des Accords de Paris rétablissant la souveraineté de la République fédérale d'Allemagne (RFA) et se prononce pour la création d'une zone de libre-échange en Europe.
Le 21 octobre 1955, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, expose devant l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe le sens et la portée politique de sa mission à la tête du Comité intergouvernemental chargé de jeter les bases pour l'élaboration du Marché commun et de l'Euratom.
A l'occasion de la signature, le 4 avril 1949 à Washington, du Traité de l'Atlantique Nord, Paul-Henri Spaak, Premier ministre belge, prononce un discours dans lequel il souligne l'importance de l'OTAN pour assurer la paix dans le monde.
En 1956, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, prononce devant les membres de l'Union royale belge à Luxembourg une conférence au cours de laquelle il évoque longuement la situation économique et politique de l'Europe ainsi que les arguments favorables à une relance du processus de la construction européenne.
S'exprimant, le 12 juillet 1957, devant des personnalités réunies au Théâtre de Luxembourg, Paul-Henri Spaak, secrétaire général de l'OTAN, présente l'Alliance atlantique comme une conséquence de la politique étrangère de l'Union soviétique depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Le 29 janvier 1963, lors de la dix-septième réunion ministérielle entre les pays de la Communauté économique européenne (CEE) et le Royaume-Uni, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, critique le veto de la France à la demande d'adhésion britannique aux Communautés européennes.
Le 14 janvier 1964, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, conteste devant l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe l'idée que la Communauté des Six serait un échec et plaide pour un renforcement de l'unité européenne.
Le 4 septembre 1954, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, dresse le bilan des dix premières années d'existence de l'union douanière entre la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas. Il souligne le fait qu'il ne s'agit-là que d'une étape intermédiaire sur le chemin de l'Europe unie.
Le 25 mars 1957, lors de la cérémonie de signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, prononce un discours dans lequel il souligne l'importance historique de l'événement et rend notamment hommage à ceux qui, avant lui, ont œuvré en faveur d'une Europe unie. Dans la délégation belge, on reconnaît notamment (de dr. à g.) Pierre Staner, Joseph Van Der Meulen, Robert Rotschild, Albert Hupperts, Roger de Staercke puis Ernst Albrecht, Pierre Uri, Michel Gaudet, Hubert Hehring, Pierre Bourguignon, André Dubois, Christian Calmes et Giulio Guazzugli.
Le 9 septembre 1944, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, annonce officiellement au personnel diplomatique belge la conclusion d'un accord transitoire d'union douanière entre les gouvernements de la Belgique, du Luxembourg et des Pays-Bas.