Le 20 janvier 1966, participant à Strasbourg à un échange de vues entre les institutions communautaires sur la crise de la chaise vide, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, décrit la position de la Belgique dans cette affaire et rend compte des efforts menés à Luxembourg les 17 et 18 janvier par les ministres des Affaires étrangères des Six pour résoudre la crise.
Dans ses Mémoires, Paul-Henri Spaak, ancien ministre belge des Affaires étrangères, pointe les origines politiques et institutionnelles de la crise de la chaise vide de 1965 et décrit le déroulement des négociations diplomatiques ayant permis, le 29 janvier 1966 à Luxembourg, d'atteindre un compromis politique pour mettre fin à la crise communautaire.
Le 18 septembre 1954, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, prononce devant l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe un discours au cours duquel il dénonce la persistance des querelles franco-allemandes qui ont entraîné, quelques jours auparavant, le rejet du traité de Communauté européenne de défense (CED) par l'Assemblée nationale française.
Le 19 janvier 1945, Jules Guillaume, ambassadeur de Belgique à Paris transmet une lettre à Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, dans laquelle il évoque la position de la France quant à la création d'une union douanière entre la Belgique, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas.
Le 20 octobre 1948, Raoul de Fraiteur, ministre belge de la Défense, adresse à Paul-Henri Spaak, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de Belgique, une lettre confidentielle dans laquelle il passe en revue les décisions adoptées par la conférence des ministres de la Défense des cinq États membres de l'Union occidentale.
Dans cette note adressée à Émile de Cartier de Marchienne, ambassadeur de Belgique à Londres, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, définit les principes et les conditions de la participation de la Belgique à l'occupation militaire alliée de l'Allemagne.
Dans cette lettre, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, assure le gouvernement américain du soutien formel de la Belgique au projet d'une United Nations Relief and Rehabilitation Administration (UNRRA) tout en suggérant certaines adaptations liées à la situation du pays.
Dans cette lettre adressée le 3 décembre 1954 à Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, Robert Silvercruys, ambassadeur de Belgique à Washington, analyse l'état d'esprit des responsables américains au lendemain de l'échec du projet de Communauté européenne de défense (CED).
Dans cette note adressée le 30 octobre 1954 à Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, Robert Silvercruys, ambassadeur de Belgique à Washington, décrit la satisfaction des États-Unis après la signature des accords de Paris du 23 octobre 1954 portant création de l'Union de l'Europe occidentale (UEO).
Le 4 avril 1955, prenant acte de l'échec du projet de Communauté européenne de défense (CED), Johan Willem Beyen, ministre néerlandais des Affaires étrangères, adresse à ses homologues belge et luxembourgeois Paul-Henri Spaak et Joseph Bech une note dans laquelle il propose de relancer la construction européenne par le biais d'une intégration économique générale, et non plus sectorielle, dans le cadre d'un marché commun.