Le 27 septembre 1965, invité par la Conférence du Jeune Barreau de Bruxelles à dialoguer avec Maurice Schumann, président de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale française, sur l'avenir de l'Europe, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, décrit les moyens susceptibles de résoudre la crise dite "de la chaise vide" et aborde notamment la question de la révision du traité de Rome.
Dans ses Mémoires, Paul-Henri Spaak, secrétaire général de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) entre 1957 et 1961, évoque la portée du mémorandum que la France adresse, le 17 septembre 1958, au président américain Dwight Eisenhower et au Premier ministre britannique Harold Macmillan pour leur proposer la création d'un directoire tripartite à la tête de l'Alliance atlantique.
Dans ses Mémoires, Paul-Henri Spaak, ancien ministre belge des Affaires étrangères et ancien président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque les difficultés rencontrées en 1955-1956 au cours des négociations de Val Duchesse et rappelle la nature des exigences françaises dans le domaine atomique.
Dans ses Mémoires, Paul-Henri Spaak, ancien ministre belge des Affaires étrangères et ancien président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, rappelle le déroulement et les enjeux des négociations menées à Val Duchesse en 1955-1957 par les représentants des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 14 juillet 1965, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, répond aux questions des journalistes venus l'interviewer à l'issue de sa rencontre avec son homologue français Maurice Couve de Murville au sujet de la crise de la chaise vide.
Dans ses Mémoires, Paul-Henri Spaak, ancien ministre belge des Affaires étrangères, retrace les initiatives prises dans le courant de l'année 1955 pour relancer le processus de la construction économique européenne.
Le 25 mars 1957, Joseph Bech, Président du gouvernement et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg (au centre, portant un chapeau) et Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom (à g.), arrivent au palais du Capitole, à Rome, pour procéder à la séance de signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 13 mars 1948, Paul-Henri Spaak, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la Belgique, prononce à Luxembourg une conférence au cours de laquelle il décrit les enjeux de la création de l'Union occidentale.
Le 13 mars 1948, Paul-Henri Spaak, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la Belgique, prononce à Luxembourg une conférence au cours de laquelle il décrit la collaboration entre les États européens comme le meilleur moyen de résister à la menace soviétique.
Le 23 octobre 1946, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de l'Assemblée générale des Nations unies, prononce à Flushing Meadow (New York) le discours d'ouverture de la deuxième session de l'Assemblée.