Lors de la réunion commune, tenue à Londres le 13 novembre 1967, le Conseil de l'Union de l’Europe occidentale (UEO) répond aux différentes questions posées par la commission des Affaires générales de l'Assemblée, entre autres en ce qui concerne l'étude des relations entre l’UEO et l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), exprimant le souci commun et la volonté de préserver les institutions et les mécanismes de l'UEO.
Le 5 avril 1977, les présidents de l'Assemblée, du Conseil et de la Commission des Communautés européennes signent à Luxembourg une déclaration commune par laquelle ils s'engagent à respecter dans l'exercice de leurs pouvoirs les droits fondamentaux tels qu'ils résultent notamment des constitutions des États membres ainsi que de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH).
En avril 1958, à la fin de la période transitoire, l'Assemblée commune de la CECA publie un rapport sur L'application du traité instituant la CECA au cours de la période transitoire dans lequel elle évoque les difficultés liées à l'intégration du charbon belge dans un marché commun européen.
Jean Monnet (à dr.), président de la Haute Autorité de la CECA, s'entretient avec Paolo Emilio Taviani (à g.), sous-secrétaire d'État italien aux Affaires étrangères, à l'occasion de la première session à Strasbourg de l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), le 11 septembre 1952.
En avril 1958, l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) publie un rapport sur L'application du traité instituant la CECA au cours de la période transitoire dans lequel elle dresse notamment un bilan de l'action de la Haute Autorité en matière de construction de logements ouvriers.
Paru dans le quotidien néerlandais Nieuwe Rotterdamse Courant le 1er juillet 1958, l’article illustre les difficultés que rencontre l’Assemblée parlementaire européenne, lors de ses premiers mois de fonctionnement en tant qu’institution commune aux trois Communautés européennes, pour s’organiser efficacement. L’impossibilité de débattre sur les politiques communautaires de façon horizontale, la pluralité de lieux de travail et le rapport avec les exécutifs restent des questions à maîtriser.
Le 9 décembre 1969, l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) adopte la recommandation 189 sur le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, demandant au Conseil de l’UEO d'adopter une politique commune afin, notamment, d'inciter tous les pays membres à signer et à ratifier le traité sur la non-prolifération nucléaire (TNP) dans les plus brefs délais.
Le 6 mars 1958, lors de leur réunion commune à Rome, le Conseil de l’Union de l’Europe occidentale (UEO) et la Commission des questions de défense et des armements de l’Assemblée, abordent la question de la contribution de l’UEO à la production d’armements de l’Alliance atlantique (rapport Teitgen). Les débats portent également sur les pourparlers franco-germano-italiens dans le domaine de la recherche, du développement et de la production des armements. Giuseppe Pella, président de session, reprend la déclaration du représentant italien (cf. CR(58)6) et informe les parlementaires que les autres pays membres auraient l’occasion de prendre part à cette coopération tripartite s’ils le désirent. De plus, le Conseil a étudié la possibilité de maintenir tous les pays informés des travaux menés dans le cadre d’autres arrangements restreints. Le Comité permanent des armements (CPA) servira de lieu d’échange d’informations. Tous les progrès et les résultats seront en outre mis à disposition du CPA, ainsi que de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN).
Le 6 mars 1958 a lieu, à Rome, la réunion commune du Conseil de l’Union de l’Europe occidentale (UEO) et du comité de défense de l’Assemblée parlementaire pour discuter de certains sujets, notamment de la contribution de l’UEO à la production d’armements de l’Alliance atlantique. Le président Giuseppe Pella rappelle que l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) est dûment informée des activités du Comité permanent des armements (CPA) et des possibilités de coopération par la présence d'observateurs lors des réunions. Diverses questions sont posées concernant la collaboration franco-germano-italienne sur la recherche, le développement et la production d'armements. Une déclaration des trois États indique qu'elle obéit aux principes de coordination de l'OTAN et que d'autres pays membres pourront s'associer à la coopération. Le Conseil veut aussi assurer que les pays soient informés des autres accords bi- et trilatéraux, notamment au sein du CPA, les données étant mises à disposition de l'OTAN.
Le 26 mai 1975, face aux conséquences du choc pétrolier, l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) adopte la recommandation 260 sur la crise de l’énergie et la sécurité européenne. L'Assemblée recommande notamment au Conseil de l'UEO de veiller à ce que les Neuf définissent rapidement leur politique commune dans le domaine de l'énergie, y compris en insistant sur la participation de la France à l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Tout en encourageant la concertation entre pays producteurs et pays consommateurs, en vue d'organiser le marché mondial du pétrole, la recommandation rappelle l'importance pour chacun des pays membres, de maintenir ou de constituer, des réserves stratégiques de produits pétroliers dont il fixera le niveau.