Die Teilung Deutschlands
Die Teilung Deutschlands
Die Teilung Deutschlands
TexteDie Abkommen von London (12. September und 14. November 1944)
Accord entre les Alliés portant amendements au protocole du 12 septembre 1944 (Londres, 14 novembre 1944)
TexteLe 14 novembre 1944, le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Union soviétique signent à Londres un accord qui modifie le protocole du 12 septembre 1944 sur les zones d'occupation et d'administration alliées en Allemagne.
Accord entre les Alliés sur les organismes de contrôle en Allemagne (Londres, 14 novembre 1944)
TexteLe 14 novembre 1944, le gouvernement des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'Union soviétique signent à Londres un accord sur l'organisation du contrôle des zones d'occupation de l'Allemagne vaincue.
Accord entre les Alliés sur les zones d'occupation en Allemagne (Londres, 26 juillet 1945)
TexteLe 26 juillet 1945, le Royaume-Uni, les États-Unis, l'URSS et le gouvernement provisoire français signent à Londres un accord qui apporte une série de modifications au protocole du 12 septembre 1944 sur l'Allemagne occupée et sur l'administration de la zone de Berlin.
Die Potsdamer Konferenz (17. Juli bis 2. August 1945)
Entrée principale du palais Cecilienhof à Potsdam (13 juillet 1945)
ImageEntrée principale du palais Cecilienhof à Potsdam qui accueille, le 17 juillet 1945, la Conférence des chefs d'État américain (H. Truman), britannique (W. Churchill puis C. Attlee) et soviétique (J. Staline) afin notamment de régler le sort de l'Allemagne vaincue.
"La conférence de Potsdam" dans Le Monde (14 juillet 1945)
TexteLe 14 juillet 1945, le quotidien français Le Monde détaille les enjeux politiques et territoriaux de la Conférence de Potsdam.
"Potsdam" dans The Guardian (17 juillet 1945)
TexteLe 17 juillet 1945, commentant l'ouverture de la Conférence de Potsdam, le quotidien anglais de gauche The Guardian décrit la méfiance réciproque qui s'est instaurée entre les Alliés occidentaux et l'Union soviétique.
Ouverture de la Conférence de Potsdam (17 juillet 1945)
ImageLa Conférence de Potsdam s'ouvre le 17 juillet 1945. Le président américain Harry S. Truman remplace Franklin D. Roosevelt, décédé le 12 avril, tandis que Winston Churchill sera remplacé, le 28 juillet, par Clement Attlee, récent vainqueur des élections législatives britanniques.
La conférence de Potsdam (17 juillet au 2 août 1945)
ImageLes leaders des trois Grands (de g. à dr. Clement Attlee, Harry S. Truman et Joseph Staline) participent à la conférence de Potsdam du 17 juillet au 2 août 1945.
Négociations de Potsdam (17 juillet au 2 août 1945)
ImageRéunies à Potsdam du 17 juillet au 2 août 1945, les délégations américaine, britannique et soviétique négocient sur le sort de l'Allemagne et sur la configuration de l'Europe d'après-guerre.
Victoire électorale de Clement Attlee (Londres, 28 juillet 1945)
ImageBattu lors des élections législatives du 26 juillet 1945, Winston Churchill se voit remplacé à la tête du gouvernement britannique par le travailliste Clement Attlee qui poursuivra, deux jours plus tard, les discussions avec les États-Unis et l'Union soviétique à Potsdam sur le sort de l'Allemagne.
"Potsdam" dans The Manchester Guardian (3 août 1945)
TexteLe 3 août 1945, le quotidien britannique The Manchester Guardian dresse un bilan critique des résultats de la Conférence de Potsdam.
"Pas d'Allemagne en pièces" dans Het Parool (4 août 1945)
TexteLe 4 août 1945, au lendemain de la Conférence de Potsdam, le quotidien néerlandais Het Parool détaille les principales mesures prises à l'encontre de l'Allemagne et décrit la mise en place d'un Conseil des ministres des Affaires étrangères.
"Les commentaires français officieux" dans Combat (4 août 1945)
TexteLe 4 août 1945, le quotidien français Combat livre les impressions des milieux diplomatiques français au sujet des résultats de la Conférence de Potsdam.
Discours radiodiffusé du président américain Harry S. Truman (9 août 1945)
TexteLe 9 août 1945, le président américain Harry S. Truman livre, dans un discours radiodiffusé, un compte-rendu de la Conférence de Potsdam et de ses principales décisions.
James F. Byrnes, In aller Offenheit
TexteIn seinen Memoiren erinnert sich der amerikanische Außenminister, James F. Byrnes, an die langwierigen Verhandlungen mit der Sowjetunion über die Frage der deutschen Kriegsentschädigungsleistungen während der Potsdamer Konferenz vom 17. Juli 1945 bis 2. August 1945.
Harry S. Truman, Mémoires
TexteDans ses Mémoires, l'ancien président américain Harry S. Truman livre ses impressions sur la menace d'expansion soviétique au lendemain de la Seconde Guerre mondiale telle qu'il l'a ressentie au lendemain de la Conférence de Potsdam.
"Ende des Traums von einer Einigung mit Stalin" in Le Monde (22. Juli 1985)
TexteDie Potsdamer Konferenz vom 17. Juli bis 2. August 1945 ist von den ersten Spannungen zwischen der UdSSR und den Vereinigten Staaten geprägt, vor allem während der Verhandlungen über die Besatzung des besiegten Deutschlands.
Note anonyme du ministère belge des Affaires étrangères sur la Conférence de Potsdam (1946)
TexteNote anonyme du Ministère belge des Affaires étrangères qui, en 1946, examine les conséquences économiques de la Conférence alliée de Potsdam et de l'occupation militaire de l'Allemagne vaincue.
Der Kontrollrat für Deutschland (Berlin, 30. August 1945)
Proclamation N° 1 du Conseil de Contrôle en Allemagne (Berlin, 30 août 1945)
TexteLe 30 août 1945, le général américain Dwight D. Eisenhower, le lieutenant général britannique Brian Hubert Robertson, le général français Louis Koeltz et le maréchal soviétique Gueorgui Joukov signent à Berlin l'acte de création du Conseil de contrôle allié devant assumer l'autorité suprême pour ce qui concerne l'Allemagne vaincue.
Ordre N° 1 du Conseil de Contrôle en Allemagne (Berlin, 30 août 1945)
TexteLe 30 août 1945, le premier ordre du Conseil de contrôle allié en Allemagne interdit le port de l'uniforme militaire par le personnel démobilisé de l'ancienne armée allemande.
Loi N° 1 du Conseil de Contrôle en Allemagne (Berlin, 30 août 1945)
TexteLe 30 août 1945, le Conseil de contrôle allié en Allemagne proclame à Berlin la loi n°1 sur l'abrogation des lois de caractère politique ou discriminatoire du régime nazi défait.
Der Kontrollrat für Deutschland (Berlin, 30. August 1945)
Conférence du Conseil de Contrôle en Allemagne (Londres, 10 septembre au 2 octobre 1945)
ImageLors de sa conférence à Londres du 10 septembre au 2 octobre 1945, le Conseil de contrôle allié adopte une série de mesures sur le sort futur de l'Allemagne et sur les zones d'occupation qui y seront appliquées.
"Ostkonferenz in Warschau" in Luxemburger Wort (25. Juni 1948)
TexteAm 25. Juni 1948 berichtet die luxemburgische Tageszeitung Luxemburger Wort über das Treffen der Außenminister der Sowjetunion und der osteuropäischen Staaten, die die am 1. Juni 1948 von den Westmächten in London gefassten Beschlüsse heftig kritisieren.
Die Besetzung Deutschlands
"Denkt Deutschland an Revanche?" in Luxemburger Wort (29. Juni 1945)
TexteKurze Zeit nach dem Zweiten Weltkrieg warnt die luxemburgische Tageszeitung Luxemburger Wort seine Leser vor der Gefahr eines möglichen Wiederauflebens der Naziideologie sowie vor der Bedrohung, die von einem erneuten Machtstreben Deutschlands in den darauffolgenden Jahren ausgeht.
"Das Deutschland von morgen" in Le Figaro (5. Dezember 1944)
TexteAm 5. Dezember 1944 beschäftigt sich die französische Tageszeitung Le Figaro mit der politischen, wirtschaftlichen und militärischen Zukunft des besiegten Deutschlands.
Note de Winston Churchill à Anthony Eden (4 janvier 1945)
TexteLe 4 janvier 1945, Winston Churchill, Premier ministre britannique, communique à son ministre des Affaires étrangères Anthony Eden une note sur l'avenir de l'Allemagne après la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Directive au commandant en chef des forces d'occupation des États-Unis (10 mai 1945)
TexteLe 10 mai 1945, le gouvernement des États-Unis détaille au commandant en chef des forces d'occupation américaines en Allemagne les futures missions du gouvernement militaire en Allemagne.
Déclaration alliée concernant la défaite de l'Allemagne (5 juin 1945)
TexteLe 5 juin 1945, le général américain Dwight D. Eisenhower, le maréchal soviétique Georgi Zhukov, le maréchal britannique Bernard Law Montgomery et le général français Jean-Marie Gabriel de Lattre de Tassigny adoptent à Berlin une déclaration commune qui définit les procédures de désarmement de l'armée allemande.
Instructions de Paul-Henri Spaak à E. de Cartier de Marchienne (7 juin 1945)
TexteDans cette note adressée à Émile de Cartier de Marchienne, ambassadeur de Belgique à Londres, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, définit les principes et les conditions de la participation de la Belgique à l'occupation militaire alliée de l'Allemagne.
"L'occupation de l'Allemagne" dans Le Monde (8 juin 1945)
TexteLe 8 juin 1945, le quotidien français Le Monde explique les modalités d'occupation de l'Allemagne vaincue et définit les différentes zones d'occupation alliées.
Caricature de Low sur l'occupation de l'Allemagne à la fin de la Seconde Guerre mondiale (26 octobre 1945)
Image"Chirurgie unie en Allemagne". En octobre 1945, le caricaturiste britannique David Low illustre la statut de l’Allemagne d'après-guerre et pointe les craintes de la France et de l’Union soviétique quant à une éventuelle réunification allemande.
Discours de Charles de Gaulle (Bar-le-Duc, 28 juillet 1946)
TexteLe 28 juillet 1946, le général de Gaulle prononce à Bar-le-Duc un discours dans lequel il s'oppose à la réunification de l'Allemagne qu'il estime dangereuse pour le maintien de la paix à long terme.
Discours de James F. Byrnes (Stuttgart, 6 septembre 1946)
TexteLe 6 septembre 1946, lors d'un discours prononcé à Stuttgart, James F. Byrnes, secrétaire d'État américain, évoque la question de l'avenir politique et économique de l'Allemagne.
Division quadripartite de Berlin (1946)
ImageEn 1946, une pancarte portant l'inscription: "You are entering the American sector..." en langues anglaise, russe et française symbolise la division quadripartite d'un Berlin en ruine.
Caricature de Low sur la fusion des zones d'occupation américaine et britannique en Allemagne (1er août 1946)
Image"Faire tomber les barrières en Allemagne." Le 1er août 1946, le caricaturiste britannique David Low illustre la volonté des États-Unis et du Royaume-Uni de fusionner leurs zones d'occupation respectives en Allemagne et évoque les protestations de Moscou à ce sujet.
Caricature sur la fusion des zones d'occupation américaine et britannique en Allemagne (2 août 1946)
Image"A deux cela constitue déjà un club - mais à quatre ce serait mieux". Le 2 août 1946, le quotidien allemand Die Welt illustre les protestations de Moscou face à la fusion des zones d'occupation américaine et britannique en Allemagne en date du 1er janvier 1947.
Déclaration conjointe de James F. Byrnes et de Ernest Bevin (3 décembre 1946)
TexteLe 3 décembre 1946, James F. Byrnes, secrétaire d'État américain, et Ernest Bevin, ministre britannique des Affaires étrangères, annoncent conjointement la fusion des zones d'occupation américaine et britannique en Allemagne pour le 1er janvier 1947.
Karikatur von Szewczuk zur Besatzung Deutschlands (1946)
Image „ Heute – Morgen?“ 1946 fragt der deutsche Karikaturist Mirko Szewczuk nach der politischen Zukunft des besiegten und von den Alliierten besetzten Deutschlands.
Lettre de Albert Wehrer à Joseph Bech (Berlin, 12 mai 1947)
TexteLe 12 mai 1947, Albert Wehrer, chef de la mission militaire luxembourgeoise auprès du Conseil de contrôle allié à Berlin, décrit à Joseph Bech, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, la situation militaire en Allemagne après la fusion des zones d'occupation américaine et britannique.
Karikatur von Stig zu den Beziehungen zwischen den vier Alliierten und Deutschland (September 1948)
Image„Die vier Großmächte und der deutsche Goldfisch“. Im September 1948 spöttelt der deutsche Karikaturist Roland Stigulinszky über das Schicksal des von den vier Besatzungsmächten (Vereinigtes Königreich, Frankreich, USA und Sowjetunion) besiegten Deutschlands. Angesichts des „deutschen“ Goldfischs in seinem Glas stellt der britische Soldat fest: „That’s right, er ist wirklich mager!“. Der französische Soldat hält sich den Finger und jammert: „Sacré nom d’un chien, er hat mich gebissen!“. Der amerikanische GI stellt fest: „Very nice indeed!“! (und legt ihn trocken), und der Sowjetsoldat sagt grinsend: „Charascho, serr gutt!“ und verschlingt den Fisch.
"Statut d'occupation ou traité de paix?" dans Pravda (3 janvier 1949)
TexteLe 3 janvier 1949, le quotidien soviétique Pravda souligne la nécessité de conclure un traité de paix avec l'Allemagne après trois ans et demi d'occupation afin de garantir la paix en Europe.
Caricature d'Opland sur l'occupation de l'Allemagne (15 novembre 1949)
Image"...éclatée sous la tutelle de l'Angleterre, de la France, de la Russie et des États-Unis. Comme vous le voyez, il semble que nous n'ayons pas vraiment avancé". Pour le caricaturiste néerlandais Opland, la Guerre froide complique le règlement rapide du problème de la partition de l'Allemagne.
Interview d'Edmund Wellenstein: l’importance pour les Pays-Bas du statut de l’Allemagne vaincue après la Seconde Guerre mondiale (La Haye, 27 août 2009)
VidéoDans cette interview, Edmund Wellenstein, fonctionnaire au cabinet de la Reine des Pays-Bas de 1947 à 1950 puis chef de la division « Allemagne » et directeur général des Affaires européennes au ministère néerlandais des Affaires étrangères entre 1950 et 1952, rappelle les raisons de l'intérêt que portaient les Pays-Bas aux modalités de la reconstruction de l'Allemagne après la Seconde Guerre mondiale.
Die Pariser Konferenz über Deutschland (25. April bis 12. Juli 1946)
Mémorandum français présenté au Conseil des Ministres des Affaires étrangères (Paris, 25 avril 1946)
TexteLe 25 avril 1946 à Paris, la délégation française à la Conférence de la paix sur l'Allemagne présente au Conseil des ministres des Affaires étrangères un mémorandum sur la séparation et sur la réorganisation du contrôle des territoires de la Rhénanie, de la Ruhr et de la Sarre.
Die Pariser Konferenz über Deutschland (25. April bis 12. Juli 1946)
Déclaration de Georges Bidault (Paris, 10 juillet 1946)
TexteLe 10 juillet 1946, lors de la conférence de la paix qui réunit à Paris le Conseil des ministres des Affaires étrangères, le représentant français Georges Bidault expose la position de la France sur les conditions d'occupation de l'Allemagne.
Déclaration de Viatcheslav Molotov (Paris, 10 juillet 1946)
TexteLe 10 juillet 1946, lors de la réunion à Paris du Conseil des ministres des Affaires étrangères, le représentant soviétique Viatcheslav Molotov expose le point de vue de Moscou sur l'avenir politique, économique et militaire de l'Allemagne.
Départ de James Byrnes pour la Conférence de paix à Paris (27 juillet 1946)
ImageLe 27 juillet 1946, James Byrnes, secrétaire d'État américain, prononce un discours avant de s'envoler pour la Conférence de paix à Paris.
Conférence du conseil des ministres des Affaires étrangères (Paris, 25 avril au 12 juillet 1946)
ImageLes conférences du conseil des ministres des Affaires étrangères des États-Unis, du Royaume-Uni, de la France et de l'Union soviétique, qui se tiennent à Paris d'avril à juillet 1946, mettent à jour la volonté de l'Union soviétique de garder les mains libres dans sa propre zone d'occupation en Allemagne.
"Friede und Sicherheit" in Süddeutsche Zeitung (3. Mai 1946)
TexteDie deutsche Tageszeitung Süddeutsche Zeitung berichtet über die auf der Pariser Konferenz zur Zukunft des besiegten Deutschlands geführten Debatten, auf der der Außenministerrat der Alliierten zum ersten Mal zusammentrat.
Die Pariser Konferenz über die Reparationen (9. November bis 21. Dezember 1945)
Mémorandum du gouvernement belge relatif aux pertes et dommages de guerre (Paris, 1er octobre 1945)
TexteLe 1er octobre 1945, à l'occasion de la Conférence de Paris sur les réparations, le gouvernement belge établit un rapport qui détaille les pertes et dommages subis par la Belgique par suite de l'agression allemande.
Mémorandum relatif à l'Agence Interalliée des Réparations (15 octobre 1945)
TexteLe 15 octobre 1945, les gouvernements français, anglais et américain proposent l'établissement d'une Agence Interalliée des Réparations.
Conférence des réparations sur l'Allemagne (9 novembre 1945)
ImageLe 9 novembre 1945 s'ouvre à Paris une conférence internationale à laquelle participent tous les États ayant été en guerre contre l'Allemagne et destinée à fixer le montant total des réparations de guerre.
Exposé de Albert Wehrer (Paris, 15 novembre 1945)
TexteLe 15 novembre 1945, à l'occasion de la Conférence de Paris sur les réparations, le délégué luxembourgeois Albert Wehrer, expose les dommages de guerre subis par le Grand-Duché lors de la Seconde Guerre mondiale.
Déclaration de James F. Byrnes (12 décembre 1945)
TexteLe 12 décembre 1945, James F. Byrnes, secrétaire d'État américain, expose les différentes mesures visant à reconstruire l'économie allemande et évoque la question des réparations de guerre.
Déclaration de Albert Wehrer (Paris, 16 décembre 1945)
TexteLe 16 décembre 1945, lors de la Conférence de Paris, le délégué luxembourgeois Albert Wehrer, s'étonne de la faible part attribuée au Luxembourg dans le cadre des sommes allouées pour les réparations de guerre.
Communiqué à la presse publié lors de la Conférence de Paris (21 décembre 1945)
TexteLe 21 décembre 1945, les pays participant à la Conférence de Paris sur les réparations, publient un communiqué de presse détaillant les missions de la nouvelle Agence Interalliée des Réparations.
Demontage und Reparationenfrage
"Die Reparationenfrage" in Le Monde (25. Juli 1945)
TexteAm 25. Juli 1945 beschäftigt sich die französische Tageszeitung Le Monde mit den wirtschaftlichen Auswirkungen der Niederlage Hitler-Deutschlands und mit der Frage der von den Alliierten geforderten Kriegsreparationen.
Erklärung von Edwin W. Pauley, Leiter der amerikanischen Delegation bei der interalliierten Reparationskommission (25. August 1945)
TexteAuf seiner Rückkehr von einer Reise nach Moskau legt Edwin W. Pauley, amerikanischer Delegationsleiter bei der interalliierten Reparationskommission, am 25. August 1945 die wichtigsten Maßnahmen zur Leistung der deutschen Kriegsreparationen dar.
"Les raisons de la rupture" dans Le Monde (17 décembre 1947)
TexteLe 17 décembre 1947, commentant l'échec de la conférence des Quatre à Londres, le quotidien français Le Monde analyse les causes du désaccord qui divise les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et l'Union soviétique sur la question des réparations allemandes.
Note de R.Stinglhamber sur le démantèlement des usines sidérurgiques allemandes (14 février 1949)
TexteDans cette note de réflexion, R. Stinglhamber, conseiller au cabinet du secrétaire général de l'OTAN, décrit la position adoptée par la Belgique à l'égard du démantèlement de certaines usines sidérurgiques d'Allemagne de l'Ouest.
Manifestation contre les démontages en Allemagne (19 août 1949)
ImageLes 12 000 employés de l'usine allemande "Reichwerke Salzgitter-Watenstedt" manifestent contre l'ordre de démantèlement des installations industrielles qui entraînerait la mise au chômage de 6000 employés.
"Für einen Katastrophenfall" in Der Spiegel (25. August 1949)
TexteDas deutsche Nachrichtenmagazin Der Spiegel beschreibt die kritische Situation der Arbeiter von Watenstedt-Salzgitter nach der Schließung des Stahlwerks.
Karikatur von Szewczuk zur Demontage in Deutschland (1949)
Image„Demontage: Keine Sorge – es soll nur der gefährliche Zahn raus!“ Im Jahr 1949 illustriert der Karikaturist Mirko Szewczuk die Auswirkungen der Demontage der deutschen Industrieinfrastrukturen durch die Alliierten auf das Land.
Démontage en Allemagne
ImageDémantèlement de l'Usine d'armements IG Farben à Kaufbeuren en Bavière.
Message d'Ernest Bevin à Robert Schuman
TexteLettre d'Ernest Bevin, ministre britannique des Affaires étrangères, à son homologue français Robert Schuman, l'enjoignant à reconsidérer la politique de démontage industriel menée par les Alliés dans l'Allemagne occupée.
Harry S. Truman, Mémoires
TexteDans ses Mémoires, Harry S. Truman, ancien président des États-Unis, évoque la situation de l'Allemagne en 1945 et décrit les tensions entre les Alliés occidentaux et les Soviétiques à propos des réparations de guerre.
Verurteilung der Kriegsverbrecher
Déclaration de Moscou sur les atrocités (1er novembre 1943)
TexteLe 1er novembre 1943, le président américain Franklin D. Roosevelt, le Premier ministre britannique Winston Churchill et le leader soviétique Joseph Staline font une déclaration commune dans laquelle ils dénoncent les crimes de guerre perpétrés par les nazis.
Accord de Londres (8 août 1945)
TexteA la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Alliés mettent en place un tribunal militaire international pour intenter un procès contre les dirigeants et les organisations de l'Allemagne nazie accusés de crimes de guerre, de crimes contre la paix et de crimes contre l'humanité.
Le Procès de Nuremberg (1945)
ImageLe procès des principaux criminels de guerre nazis s'ouvre le 18 octobre 1945 à Berlin. Il se poursuit à Nuremberg à partir du 20 novembre.
Acte de mise en accusation présenté au Tribunal militaire internationale (Nuremberg, 18 octobre 1945)
TexteLe 18 octobre 1945, le Tribunal militaire international de Nuremberg met en accusation 24 responsables politiques, militaires et économiques allemands pour conjuration, crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l'humanité.
Discours inaugural de Robert H. Jackson (Nuremberg, 21 novembre 1945)
TexteDans le discours d'ouverture qu'il prononce le 21 novembre 1945, Robert H. Jackson, procureur général américain au procès de Nuremberg, rappelle l'importance historique du procès des grands criminels de guerre nazis et détaille l'acte d'accusation.
Vue générale de la salle d'audience du procès de Nuremberg (30 septembre 1946)
ImageVue générale de la salle d'audience du procès de Nuremberg en date du 30 septembre 1946, à la veille du verdict du Tribunal militaire international. Dans le box des accusés, au premier rang figurent (de g. à dr.): Hermann Göring, Rudolf Heß, Joachim von Ribbentrop, Wilhelm Keitel, Ernst Kaltenbrunner, Alfred Rosenberg, Hans Frank, Wilhelm Frick, Julius Streicher, Walter Funk et Hjalmar Schacht. Au second rang: Erich Raeder, Baldur von Schirach, Fritz Sauckel, Alfred Jodl, Franz von Papen, Arthur Seyß-Inquart, Albert Speer, Konstantin von Neurath et Hans Fritsche.
Verdict du Tribunal militaire international (1er octobre 1946)
TexteLe 1er octobre 1946, le Tribunal militaire international réuni à Nuremberg, rend son verdict. Sur les 22 dirigeants de l'Allemagne nazie, accusés de complot, de crimes contre la paix, de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, douze sont condamnés à mort, sept à des peines de prison et trois sont acquittés.
"Pas la fin" dans De Volkskrant (1er octobre 1946)
TexteLe 1er octobre 1946, à l'issue du Procès de Nuremberg, le quotidien néerlandais De Volkskrant réfléchit sur les conséquences morales et juridiques des sentences prononcées à l'encontre des criminels de guerre nazis.
"Le Jugement" dans Le Figaro (2 octobre 1946)
TexteLe 2 octobre 1946, à la veille de l'énoncé du verdict de Nuremberg, le quotidien français Le Figaro décrit la dimension morale et historique du procès pour crimes de guerre, contre la paix et contre l'humanité.
"La potence attend douze condamnés" dans Il nuovo Corriere della Sera (2 octobre 1946)
TexteLe 2 octobre 1946, le quotidien italien Il nuovo Corriere della Sera relate la journée du 1er octobre 1946 qui a vu la condamnation à mort de douze anciens dignitaires nazis par le tribunal international de Nuremberg.
"Le verdict de l'Histoire" dans Pravda (2 octobre 1946)
TexteLe 2 octobre 1945, le quotidien soviétique Pravda commente les jugements du Tribunal militaire international réuni à Nuremberg à l'encontre des criminels de guerre nazis.
"Justice de castes" dans Het Parool (2 octobre 1946)
TexteLe 2 octobre 1946, le quotidien néerlandais Het Parool commente le verdict prononcé par le tribunal international de Nuremberg et dénonce l'acquittement de certains dirigeants nazis.
"Zu milde - zu streng?" in Süddeutsche Zeitung (4. Oktober 1946)
TexteAm 4. Oktober 1946 berichtet die deutsche Tageszeitung Süddeutsche Zeitung über das Urteil des Internationalen Militärtribunals von Nürnberg, in dem gegen 12 Nazi-Führer die Todesstrafe verhängt wird.
Gelebte Geschichte: Die Nürnberger Prozesse (RTL, 23. Mai 1961)
SonAm 18. Oktober 1945 wird der Prozess der Hauptkriegsverbrecher des Nationalsozialismus in Berlin eröffnet, der ab dem 20. November in Nürnberg fortgesetzt wird. Nach 406 Verhandlungstagen werden zwölf Todesurteile gefällt.
"Das Internationale Militärtribunal von Nürnberg verurteilte die Hauptkriegsverbrecher der Nazis zum Tod" in Le Monde (1. Oktober 1971)
TexteFünfundzwanzig Jahre nach der Urteilsverkündung des Internationlen Militärtribunals von Nürnberg erinnert die französische Tageszeitung Le Monde an den Verlauf des Prozesses, bei dem die Hauptkriegsverbrecher des Naziregimes verurteilt wurden.