En 1974, Le Fédéraliste européen, revue de la section luxembourgeoise du Mouvement européen, fustige la volonté du gouvernement travailliste anglais de renégocier les conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 16 mars 1974, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, inquiet des conséquences d'un éventuel retrait britannique du Marché commun, s'interroge sur les raisons qui motivent le Royaume-Uni à vouloir renégocier les conditions de son adhésion aux Communautés européennes.
Suite à sa précédente déclaration du 1er avril 1974 sur la renégociation britannique, James Callaghan, ministre britannique des Affaires étrangères, expose de façon plus détaillée à ses collègues européens du Conseil des ministres réunis à Luxembourg le 4 juin 1974, les modifications que lui et son gouvernement souhaitent voir apporter aux politiques et décisions communautaires et plus spécialement à la question budgétaire.
Le 1er avril 1974, le quotidien anglais The Financial Times s'interroge sur les positions de James Callaghan, ministre britannique des Affaires étrangères, au sujet de la renégociation des conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 1er avril 1974, le caricaturiste néo-zélandais Leslie Gibbard ironise sur la position du président français Georges Pompidou face à la demande formulée par James Callaghan (à gauche), ministre britannique des Affaires étrangères, de renégocier les conditions d'adhésion de son pays au Marché commun.
Le 1er avril 1974, Michel Jobert, ministre français des Affaires étrangères, réfute les arguments avancés par son homologue britannique James Callaghan pour justifier la demande de renégociation des conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 2 avril 1974, au lendemain du Conseil des ministres réuni à Luxembourg, le quotidien français Combat commente la demande, formulée par James Callaghan, ministre britannique des Affaires étrangères, de renégociation des conditions d'adhésion de son pays au Marché commun.
Le 3 avril 1974, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung fustige la demande britannique de renégociation des conditions d'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun et dénonce la position du Premier ministre Harold Wilson, qui pour des raisons de politique interne, risque de mettre en péril le processus d'intégration européenne, en cas de retrait du pays des structures communautaires.
Le 3 avril 1974, le quotidien communiste français L'Humanité ironise sur les désaccords manifestés par les ministres des Affaires étrangères des Neuf lors du Conseil des ministres réuni à Luxembourg le 1er avril.
Le 3 avril 1974, le quotidien français Le Monde passe en revue les réactions en Italie à la déclaration du ministre britannique des Affaires étrangères, James Callaghan, demandant une renégociation des conditions d'adhésion de son pays aux Communautés européennes.
Le 8 avril 1974, au lendemain du Conseil des ministres réuni à Luxembourg, l'hebdomadaire français Le Point commente la demande britannique de renégociation des conditions d'adhésion au Marché commun par James Callaghan, ministre britannique des Affaires étrangères.
En avril 1974, Ian Davidson, éditorialiste et expert en questions européennes du Financial Times, explique dans la revue italienne Affari esteri les aspects positifs pour les Communautés européennes de la demande de renégociation du Royaume-Uni.
Le 4 juin 1974, James Callaghan, ministre britannique des Affaires étrangères, fait part à ses collègues européens du Conseil des ministres réunis à Luxembourg de la position de son gouvernement en ce qui concerne les conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 21 juin 1974, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung dénonce la stratégie politique du Premier ministre britannique Harold Wilson et s'interroge sur la volonté réelle du Royaume-Uni à rester membre du Marché commun.
À l'occasion de la rencontre à Paris entre le président français Valéry Giscard d'Estaing, et le Premier ministre britannique Harold Wilson, le quotidien français Le Monde analyse les revendications du Royaume-Uni à l'encontre des Communautés européennes.
En juillet-août 1974, Jean-François Deniau, ancien membre de la Commission des Communautés européennes, examine dans les colonnes du mensuel 30 jours d'Europe les circonstances ayant conduit le Royaume-Uni à demander une renégociation des conditions de son adhésion aux Communautés européennes.
Le 21 septembre 1974, le caricaturiste allemand Köhler fustige l'attitude de Harold Wilson, Premier ministre britannique, en ce qu'il semble utiliser la question de la participation du Royaume-Uni aux Communautés européennes comme un "appât" à des fins électorales.
"Vous voulez de nouveau descendre?" En 1974, les États membres des Communautés européennes s'inquiètent de la décision de Harold Wilson, Premier ministre britannique, de remettre en question les conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés.
"Ladies et Gentlemen ! Je souhaiterais de nouveau renégocier le tarif !" En 1974, le caricaturiste Hans Geisen illustre la décision d'Harold Wilson, Premier ministre britannique, de remettre en question les conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés.
«Tous les jours une petite cuillère». En 1974, le président français Valéry Giscard d'Estaing et le chancelier allemand Helmut Schmidt essaient de convaincre le Premier ministre anglais Harold Wilson des bienfaits de la Communauté économique européenne (CEE).
Le 24 octobre 1974, Lord Charles O'Hagan, député conservateur britannique, interroge la Commission des Communautés européennes sur les conséquences envisageables de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 3 novembre 1974, le quotidien britannique The Sunday Times se penche sur l'épineuse question de la contribution financière britannique au budget de la Communauté économique européenne (CEE).
Le 7 décembre 1974, s'exprimant lors du dîner de l'association londonienne des maires travaillistes, Harold Wilson, Premier ministre de Grande-Bretagne, défend la politique européenne du Royaume-Uni et s'explique sur la renégociation des conditions d'adhésion britannique aux Communautés européennes.
Dans une lettre qu'il adresse le 29 décembre 1974 à ses électeurs, Tony Benn, député travailliste britannique, les met en garde contre les conséquences probables d'un maintien de la Grande-Bretagne dans le Marché commun européen.
Le 18 mars 1975, le Premier ministre britannique Harold Wilson dresse le bilan des pourparlers en cours en ce qui concerne la renégociation des conditions initiales d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 18 mars 1975, les députés britanniques débattent du dossier relatif à la renégociation des conditions initiales d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes tel que présenté plus tôt par le Premier ministre Harold Wilson.
Le 27 mars 1975, le gouvernement britannique publie un Livre blanc sur les résultats de la renégociation des conditions initiales d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes. Le 9 avril, la Chambre des Communes en approuve les conclusions et décide, par 398 voix contre 172, le maintien du pays dans les structures communautaires.
En avril 1975, la Confédération générale des syndicats britanniques présente ses revendications dans l'hypothèse, suite au référendum de juin 1975, du maintien du Royaume-Uni dans la Communauté économique européenne (CEE).
Dans ses Mémoires, l'ancien Premier ministre britannique Harold Wilson évoque les difficiles renégociations, au cours de l'année 1974, des conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Dans ses Mémoires, l'ancien Premier ministre britannique Edward Heath revient sur son intervention à la Chambre des Communes, le 9 avril 1975, au sujet de la demande de renégociation des conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
En 1974, Geoffrey Rippon, chef de la délégation britannique pour la demande de renégociation des conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, plaide en faveur du maintien du pays dans les structures communautaires.
Le 10 mars 1975, à la veille du premier Conseil européen à Dublin, Garret FitzGerald, ministre irlandais des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil des ministres des Communautés européennes, répond aux questions du mensuel 30 jours d'Europe sur les enjeux du sommet.
Le 11 mars 1975, lors du Conseil européen de Dublin, Harold Wilson, Premier ministre britannique, s'exprime sur les principaux objectifs de la renégociation des conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes tout en réaffirmant la volonté de son gouvernement d'atteindre une solution de compromis.
Les 10 et 11 mars 1975, les chefs d'État ou de gouvernement des Neuf réunis au Conseil européen de Dublin adoptent un compromis politique qui permet d'alléger la contribution financière britannique au budget communautaire. De g. à d.: Mariano Rumor, ministre italien des Affaires étrangères; François-Xavier Ortoli, président de la Commission européenne; Helmut Schmidt, chancelier fédéral allemand; Gaston Thorn, Premier ministre luxembourgeois; Joop den Uyl, Premier ministre néerlandais; Knud Borge Andersen, ministre danois des Affaires étrangères; Liam Cosgrave, Premier ministre irlandais; Valery Giscard d'Estaing, président de la République française; Harold Wilson, Premier ministre britannique et Leo Tindemans, Premier ministre belge.
Le 10 mars 1975, à la veille du premier Conseil européen à Dublin, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung détaille les enjeux de la renégociation des conditions d'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
Au lendemain du premier Conseil européen à Dublin, le périodique britannique The Financial Times examine les objectifs et les résultats de la renégociation des conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Dans ses Mémoires, l'ancien Premier ministre britannique Harold Wilson évoque les décisions adoptées par les Neuf à l'issue du premier Conseil européen de Dublin (10-11 mars 1975) avant de détailler les résultats du référendum britannique du 5 juin 1975 sur le maintien du pays au sein des Communautés européennes.
Le 18 mars 1975, le gouvernement britannique approuve, par 16 voix contre 7, le résultat de la renégociation des conditions d'adhésion du Royaume-Uni à la CEE en vertu duquel le pays décide de rester membre du Marché commun. Dans ses Mémoires, Tony Benn, alors secrétaire d'État à l'Industrie, se souvient des débats au sein du gouvernement.
En avril 1975, Jean Sauvagnargues, ministre français des Affaires étrangères, livre dans le mensuel 30 jours d'Europe son interprétation des résultats du premier Conseil européen de Dublin.
Le 9 mai 1975, le quotidien anglais The Guardian publie une intervention de Peter Shore, ministre britannique du Commerce, en faveur d'un retrait du Royaume-Uni des Communautés européennes.
Le 11 mai 1975, Tony Benn, ministre britannique de l'Industrie, dénonce dans le journal du dimanche anglais The Observer la perte de souveraineté nationale qu'entraînerait le maintien du Royaume-Uni dans le Marché commun européen.
Les discussions sont tendues lors du sommet européen de Dublin les 10 et 11 mars 1975. Le Royaume-Uni s'oppose aux huit autres membres des Communautés européennes en demandant la renégociation de ses conditions d'adhésion.
Le 23 janvier 1975, la Chambre des Communes débat des modalités entourant la mise en place du référendum national sur le maintien de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
En février 1975, le gouvernement britannique présente au Parlement un livre blanc qui détaille les aspects organisationnels du référendum national concernant le maintien ou non du Royaume-Uni au sein de la Communauté économique européenne (CEE).
"Mais en premier lieu, tous les passagers doivent voter, pour savoir si nous débarquons ou si nous continuons notre croisière de luxe..." Le 27 février 1975, le caricaturiste néo-zélandais Leslie Gibbard ironise sur les enjeux du futur référendum populaire organisé en juin 1975 au Royaume-Uni et qui doit porter sur la question du maintien ou non du pays dans la Communauté économique européenne (CEE). À droite sur la chaloupe, Harold Wilson, Premier ministre britannique.
Le 2 mars 1975, le quotidien britannique The Sunday Times s'interroge sur la valeur juridique du référendum populaire organisé en juin 1975 en Grande-Bretagne sur la question du maintien ou non du pays dans la Communauté économique européenne (CEE).
Au printemps de l'année 1975, le mouvement des Jeunes Européens de Gauche anglais encourage ses concitoyens à se prononcer en faveur du maintien du Royaume-Uni au sein des Communautés européennes.
Le 26 mars 1975, lors d'une conférence spéciale du parti travailliste sur le référendum national relatif aux Communautés européennes, le parti fait part de son opposition au maintien du Royaume-Uni dans la Communauté économique européenne (CEE).
"Attacher, la meilleure alternative" Le 9 avril 1975, le caricaturiste néerlandais d'origine berlinoise Fritz Behrendt illustre la question du maintien ou non du Royaume-Uni au sein de la Communauté économique européenne et s'inquiète des conséquences de la décision de Harold Wilson, Premier ministre britannique, de remettre en question les conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés.
Le 9 mai 1975, Edward Heath, ancien Premier ministre britannique, insiste dans les colonnes du quotidien anglais The Guardian sur l'étroit lien historique et économique qui unit le Royaume-Uni à l'Europe unie.
À l'occasion du référendum du 5 juin 1975, le Labour Research Department, institut de recherche regroupant les plus importants syndicats britanniques, publie une brochure sur les désavantages du maintien du Royaume-Uni au sein de la Communauté économique européenne (CEE).
Une semaine avant le référendum national du 5 juin 1975, Edwina Sandys, petite-fille de Sir Winston Churchill choisit de montrer lors d'une exposition dans une galerie de Chelsea, les "Grands" du Royaume-Uni devant le problème du maintien de l'Angleterre au sein du Marché commun. Une peinture intitulée "Ich lerne Deutsch" montre Margaret Thatcher au bain apprenant l'Allemand avec un tapis de bain à l'effigie d'Edward Heath.
Dans la perspective du référendum populaire du 5 juin 1975, le parti conservateur britannique publie une brochure qui appelle au maintien du Royaume-Uni au sein des Communautés européennes.
Le 5 juin 1975, Margaret Thatcher, leader de l'opposition conservatrice, participe au scrutin lors du référendum populaire organisé dans le pays pour décider du maintien ou non du Royaume-Uni au sein des Communautés européennes.
En juin 1975, le caricaturiste allemand Mussil évoque la victoire du "oui" lors du référendum populaire organisé au Royaume-Uni sur le maintien du pays dans la Communauté économique européenne (CEE).
En juin 1975, commentant le référendum populaire organisé au Royaume-Uni au sujet du maintien du pays dans la Communauté économique européenne (CEE), le caricaturiste français Plantu ironise sur l'attitude des Britanniques à l'égard de la CEE.
Le 5 juin 1975, le "oui" l'emporte lors du référendum britannique sur le maintien du Royaume-Uni dans la Communauté économique européenne (CEE). Deux jours plus tard, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung se félicite que "la famille s'agrandit" et montre une Europe unie qui applaudit au maintien du Royaume-Uni, avec ses qualités et ses défauts, dans les structures communautaires.
Le 7 juin 1975, le quotidien populaire et conservateur anglais Daily Mail titre sur la victoire du "oui" lors du référendum populaire organisé deux jours plus tôt au Royaume-Uni au sujet du maintien du pays dans la Communauté économique européenne (CEE).
Deux jours après l'organisation du référendum populaire sur le maintien ou non du Royaume-Uni dans la Communauté économique européenne, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung analyse l'impact du scrutin sur la vie politique intérieure du pays.
Deux jours après le résultat positif du référendum populaire sur le maintien du Royaume-Uni dans la Communauté économique européenne (CEE), le périodique anglais The Financial Times exhorte le gouvernement britannique à coopérer pleinement avec ses partenaires européens.
Le 9 juin 1975, Harold Wilson, Premier ministre britannique, commente devant la Chambre des Communes les résultats du référendum sur le maintien ou non du Royaume-Uni dans les Communautés européennes.
Dans ses Mémoires, Edward Heath, ancien Premier ministre britannique, se souvient de la campagne menée par le Parti conservateur en faveur du maintien du Royaume-Uni au sein des Communautés européennes.