Scène des combats qui opposent, pendant la "guerre des Six jours" de juin 1967, l'armée israélienne aux troupes égyptiennes, jordaniennes et syriennes.
Dans ses Mémoires, le président égyptien Anouar al-Sadate rappelle les circonstances de l'attaque israélienne du 5 juin 1967 et décrit la réaction dépitée des autorités civiles et militaires égyptiennes.
Dans ses Mémoires, le président égyptien Anouar al-Sadate rappelle les raisons et les circonstances de la guerre du Kippour déclenchée le 6 octobre 1973 par l'Égypte et la Syrie contre les positions israéliennes.
Le 7 octobre 1973, le quotidien italien Corriere della Sera présente la guerre du Kippour, déclenchée la veille par l'Égypte et la Syrie contre Israël, comme une nouvelle menace pour l'équilibre de l'ensemble du Moyen-Orient.
Le 3 décembre 1974, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung décrit les relations conflictuelles entre les pays arabes et Israël et analyse la politique européenne au Moyen-Orient.
Dans son éditorial du 12 février 1981, Emanuele Gazzo, directeur général de l'Agence Europe, commente le discours du président égyptien Anouar al-Sadate devant le Parlement européen et invite les Dix à œuvrer activement en faveur du processus de paix israélo-arabe.
Le 22 octobre 1973, le quotidien italien Corriere della Sera s'inquiète de la décision adoptée par l'Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (OPAEP) pour bloquer toute livraison de pétrole aux États européens soutenant Israël pendant la guerre du Kippour.
Le 6 novembre 1973, inquiets des conséquences des troubles qui secouent le Proche-Orient suite au déclenchement de la guerre du Kippour, les Neuf réunis à Copenhague publient une déclaration commune dans laquelle ils fixent les principes qui, selon eux, devraient fonder un règlement de paix au Proche-Orient.
Le 25 septembre 1979, Michael O'Kennedy, ministre irlandais des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil des Communautés européennes, s'exprime lors de la 34ème session de l'Assemblée générale des Nations unies sur l'exercice de la coopération politique européenne (CPE).
Le 6 février 1971, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung dresse un bilan des ressources énergétiques de l'Europe et s'interroge sur la politique suivie par les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
En juin 1971, l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe publie un rapport sur la situation pétrolière en Europe et sur les mesures capables d'améliorer la sécurité des approvisionnements d'énergie du continent européen.
En 1973, le caricaturiste Fritz Behrendt représente des dirigeants occidentaux désarmés face au chantage énergétique exercé par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
Le 27 mars 1973, Henri Simonet, vice-président de la Commission européenne, prononce devant le Vlaams Economisch Verbond (VEV), le Syndicat économique flamand, un discours relatif aux difficultés d'approvisionnement énergétique des Neuf.
Le 24 juillet 1973, le Conseil des Communautés européennes, alarmé par les conséquences de la crise du pétrole qui touche l'Europe, adopte une série de mesures visant à assurer l'approvisionnement des Neuf en pétrole brut.
Le 8 octobre 1973, soit deux jours après le début de la guerre du Kippour opposant l'Égypte et la Syrie à Israël, le quotidien italien Corriere della Sera s'inquiète d'un possible embargo pétrolier imposé par les pays arabes producteurs de brut aux pays occidentaux consommateurs.
Le 7 novembre 1973, au coeur de la crise pétrolière, le président américain Richard Nixon expose les mesures envisagées par son gouvernement afin de garantir aux États-Unis leur indépendance énergétique.
Le 25 novembre 1973, à l'occasion d'un discours à la nation, le président des États-Unis, Richard Nixon, énonce le plan d'action du gouvernement américain pour lutter contre les effets de la crise énergétique.
Le 14 décembre 1973, en marge du sommet européen de Copenhague, Per Hakkerup, ministre danois de l'Économie, reçoit à l'hôtel Britannia les ministres des Affaires étrangères du Soudan (Mansour Khaled), de la Tunisie (Mohammed Masmoudi) et des Émirats arabes unis (Adnane Al Pachachi).
Le 14 décembre 1973, les ministres des Affaires étrangères des Neuf, réunis en sommet à Copenhague, rencontrent au Parlement danois leurs homologues arabes arrivés inopinément dans la capitale danoise.
En annexe à la déclaration finale du sommet européen de Copenhague des 14-15 décembre 1973, les chefs d'État et de gouvernement des Neuf expriment leurs craintes face à la crise énergétique qui touche les principaux pays industrialisés du monde et adoptent une série de mesures destinées à y remédier.
Le 25 décembre 1973, l'Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (OPAEP) confirme par communiqué la poursuite du programme de rétention pétrolière et demande l'ouverture de négociations internationales sur le conflit israélo-palestinien.
Le 17 janvier 1974, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung met en lumière les enjeux de la Conférence énergétique de Washington qui, autour du président américain Richard Nixon, réunit les représentants des États membres de la Communauté économique européenne (CEE) et ceux des membres de l'Organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP).
Lors de l'ouverture de la Conférence sur l'énergie de Washington des 11, 12 et 13 février 1974, François-Xavier Ortoli, président de la Commission européenne, décrit les conséquences internationales de la crise pétrolière.
Le 11 février 1974, lors de la Conférence sur l'énergie à Washington, Michel Jobert, ministre français des Affaires étrangères, exprime son souhait d'un consensus international sur l'organisation des rapports entre les pays importateurs et exportateurs de pétrole.
En ouverture de la Conférence sur l'énergie de Washington des 11, 12 et 13 février 1974, Walter Scheel, ministre allemand des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil, plaide pour une plus grande coopération internationale pour tenter de sortir de la crise pétrolière.
Le 13 février 1974, à l'issue de la Conférence sur l'énergie de Washington, Michel Jobert, ministre français des Affaires étrangères, fait part de ses doutes quant à l'efficacité des mesures envisagées par la Conférence pour lutter contre les effets de la crise pétrolière mondiale.
Le 13 février 1974, le communiqué final de la Conférence sur l'énergie de Washington détaille les mesures envisagées par les pays consommateurs de pétrole pour lutter contre les effets négatifs de la crise pétrolière mondiale.
"Boum !" En février 1974, à l'issue de la conférence ministérielle de Washington sur l'énergie, le caricaturiste Hans Geisen ironise sur le plan d'action adopté par les représentants des pays consommateurs de pétrole pour répondre aux défis de la crise pétrolière mondiale.
Le 20 mars 1974, le caricaturiste Bas représente, dans les colonnes du quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, un président américain Richard Nixon n'appréciant guère d'être tenu à l'écart des négociations en cours entre les Neuf et les dirigeants arabes.
En mai 1974, le mensuel 30 jours d'Europe analyse les mesures envisagées par la Commission européenne pour lutter contre la crise mondiale du pétrole et assurer l'approvisionnement énergétique des pays européens.
"L'essentiel, c'est que nous soyons unis." En 1974, le caricaturiste suisse Hans Geisen ironise sur l'impuissance des pays occidentaux face aux conséquences de la crise du pétrole déclenchée par les pays arabes producteurs de pétrole.
Le 20 février 1975, le Parlement européen adopte une résolution dans laquelle il fustige le manque de coopération des Neuf en matière de politique énergétique commune.
En 1975, le caricaturiste Fritz Behrendt représente Henry Kissinger, secrétaire d'État américain, songeur face aux défis que pose la crise pétrolière mondiale.
Le 29 novembre 1976, pour le caricaturiste Bas et le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, la fin de la crise pétrolière en Europe n'apparaît toujours pas à l'horizon compte tenu de la lenteur affichée par les négociateurs arabes.
Le 3 février 1981, le caricaturiste néerlandais d'origine berlinoise Fritz Behrendt illustre les conséquences du deuxième choc pétrolier, qui se traduit par une multiplication des prix du pétrole par 2,7 entre la mi-1978 et 1981. Cette crise pétrolière entraîne un renchérissement du coût de l’énergie pour les pays industrialisés et une hausse des prix des carburants à la pompe.
Le 25 octobre 1993, soit vingt ans après la décision des membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) de réduire drastiquement leurs exportations de pétrole, le quotidien français Le Monde rappelle les motivations politiques et économiques de cette décision à l'origine du premier choc pétrolier mondial.
Dans cette interview, Étienne Davignon, ancien directeur général de la Politique au ministère belge des Affaires étrangères, revient sur l'incapacité en 1973 des neuf États membres des Communautés européennes à définir une politique commune de l'énergie suite au premier choc pétrolier.
Dans cette interview, Étienne Davignon, ancien directeur général de la Politique au ministère belge des Affaires étrangères et ancien président du comité exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), revient sur la création de cette agence au sein de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) suite au choc pétrolier de 1973.
Dans cette interview, Étienne Davignon, ancien directeur général de la Politique au ministère belge des Affaires étrangères et ancien président du comité exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) créée au sein de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), évoque les raisons du refus de la France de participer aux travaux de l'AIE.
Dans cette interview, Étienne Davignon, ancien directeur général de la Politique au ministère belge des Affaires étrangères et ancien président du comité exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), décrit l'attitude des différents États membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) après le choc pétrolier de 1973.
Le 17 novembre 1973, cet automobiliste munichois constate les conséquences concrètes de la crise des carburants qui affecte aussi l'Allemagne fédérale : restriction de la consommation, vente en bidon prohibée, circulation automobile interdite le dimanche, et dans certains cas, fermeture de stations essence.
Le 17 janvier 1974, Hans Friderichs, ministre allemand de l'Économie, prononce devant le Bundestag un discours consacré aux problèmes d'approvisionnement énergétique en Europe.
Le 14 octobre 1975, lors du congrès international sur l'énergie organisé à Bonn par la Fondation Friedrich Ebert, Hans Apel, ministre des Finances de la République fédérale d'Allemagne, s'exprime sur les causes et sur les conséquences de la récession économique mondiale.
Le 25 novembre 1973, face à la pénurie pétrolière, les autorités fédérales allemandes décrètent une journée sans voitures à Berlin-Ouest. Sur la photo, la célèbre avenue du Kurfürstendamm interdite à la circulation.
Le 23 novembre 1973, ce gérant d'une station d'essence anglaise annonce la fermeture de son établissement en raison de la pénurie qui affecte aussi l'Angleterre suite aux réductions de la production pétrolière décidées par les pays arabes producteurs de brut.
Le 6 novembre 1973, les rues d'Amsterdam sont librement accessibles aux cyclistes et aux patineurs suite à la décision des autorités néerlandaises d'interdire la circulation des voitures le dimanche afin de lutter contre la pénurie de pétrole qui affecte le pays suite à la décision de l'Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (OPAEP) de limiter leurs exportations de brut.
"Disciples du Club de Rome, Van der Stoel: "...tant que j'y pense, en fait nous agissons en faveur de l'environnement...!" En octobre 1973, le caricaturiste nééerlandais Opland décrit les effets de la crise pétrolière aux Pays-Bas.
Le 11 novembre 1973, en visite à Londres, Johannes Marten den Uyl, Premier ministre des Pays-Bas rencontre son homologue britannique, Edward Heath, pour discuter de la crise pétrolière et de la situation au Moyen-Orient.
Le long de la ligne. "...Allez Joop...!" En novembre 1973, Joop den Uyl, Premier ministre des Pays-Bas, a bien du mal à faire avancer une économie nationale touchée de plein fouet par le krach pétrolier.
Le 18 novembre 1973, face à l'embargo pétrolier touchant les Pays-Bas, Roger Haster, ambassadeur luxembourgeois en poste à La Haye adresse une lettre à Gaston Thorn, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, dans laquelle il détaille les réactions des milieux politiques néerlandais face au chantage pétrolier des pays du Moyen-Orient.
Le 19 novembre 1973, une note du ministère néerlandais des Affaires étrangères expose les derniers développements sur la crise pétrolière aux Pays-Bas et sur la situation au Moyen-Orient.
Pour le caricaturiste Fritz Behrendt, l'"Hiver 73" est synonyme de difficultés pour les pays occidentaux frappés par le choc pétrolier même si la France continue à entretenir de bonnes relations avec les pays du Moyen-Orient.
En janvier 1975, commentant les résultats du sommet de Paris des 9 et 10 décembre 1974, la revue du Mouvement européen néerlandais Nieuw Europa analyse la politique de la Communauté économique européenne face à la crise du pétrole.
Le 26 octobre 1973, Marcel Mart, ministre luxembourgeois de l'Économie, adresse une lettre à Gilles Olinger, porte-parole des sociétés pétrolières luxembourgeoises, dans laquelle il appelle les grandes firmes pétrolières du pays à réserver une partie de leur stock pour tenir compte des besoins prioritaires du Luxembourg.
Le 6 novembre 1973, le comité belgo-luxembourgeois des approvisionnements se rencontre à Bruxelles, afin d'examiner les mesures de restriction envisagées pour l'approvisionnement en produits pétroliers.
Le 21 novembre 1973, le gouvernement luxembourgeois interdit toute consommation non expressément autorisée de combustibles liquides à partir du dimanche, 25 novembre, 3 heures du matin au lundi, 26 novembre 1973 à 3 heures du matin.
Le 25 décembre 1973, commentant la décision des États du golfe Persique de doubler le prix du pétrole, le quotidien français Le Monde revient sur les causes de la crise pétrolière en insistant sur ses conséquences pour les économies occidentales.
En 1974, lors d'un colloque en Autriche sur la situation économique et politique en Europe, Otto de Habsbourg-Lorraine, président de l'Union paneuropéenne internationale, donne son sentiment sur la crise pétrolière mondiale et sur ses conséquences économiques en Europe.