Le 26 février 1959, le Conseil des ministres de la Communauté économique européenne (CEE) note les difficultés rencontrées à Oslo par les gouvernements autrichien, suisse, norvégien, suédois, danois et anglais concernant la mise en place d'une zone de libre-échange.
"Regarde ce que j'ai fait avec la roue qui restait". Le 17 juin 1959, le caricaturiste britannique David Low illustre les efforts de Reginald Maudling, trésorier-payeur de l'Échiquier du Royaume-Uni, pour mettre en place une zone de libre-échange.
Le 10 octobre 1959, le périodique Documentation syndicale italienne décrit la position des syndicats européens sur les relations de la Communauté économique européenne (CEE) avec l'Association européenne de libre-échange (AELE).
Le 21 juillet 1959, les ministres de l'Autriche, du Danemark, de la Norvège, du Portugal, de la Suède, de la Suisse et du Royaume-Uni, réunis à Saltsjöbaden en Suède, décident la création de l'Association européenne de libre-échange (AELE) et annoncent la poursuite des négociations en vue de la constitution d'un Marché commun nordique.
Le 20 novembre 1959 à Stockholm, les représentants de l'Autriche, du Danemark, de la Grande-Bretagne, de la Norvège, du Portugal, de la Suède et de la Suisse donnent leur feu vert à la création de l'Association européenne de libre-échange (AELE).
Im Dezember 1959 zeigt die österreichische Kino-Wochenschau einen Bericht über die politischen und diplomatischen Debatten über die Gründung der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA).
Le 30 novembre 1959, le ministère portugais des Affaires étrangères adresse aux ambassades du pays une circulaire relative à l'engagement du Portugal en faveur de l'Association européenne de libre-échange (AELE).
Der österreichische Außenminister Bruno Kreisky (links) und der österreichische Handelsminister Fritz Bock (rechts) am 3. Januar 1960 auf dem Wiener Flughafen auf ihrem Weg nach Stockholm, um dort das Abkommen über die Gründung der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA) zu unterzeichnen.
Am 3. Januar 1960 schildert die österreichische Wiener Zeitung die Reaktion des österreichischen Außenministers Bruno Kreisky und des österreichischen Handelsministers Fritz Bock nach der Unterzeichnung des Abkommens über die Gründung der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA).
Am 4. Januar 1960 unterzeichnen die Botschafter oder Außenminister Dänemarks, Norwegens, Österreichs, Portugals, Schwedens, der Schweiz und des Vereinigten Königreichs in Stockholm das Abkommen zur Gründung der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA), das am 3. Mai 1960 in Kraft tritt.
In seinen politischen Memoiren erinnert sich Bruno Kreisky, ehemaliger österreichischer Minister für Auswärtige Angelegenheiten, an die Gründung der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA) im Jahre 1960 und an die Verhandlungen, die am 22. Juli 1972 in Brüssel zur Unterzeichnung der Kooperationsabkommen zwischen der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und den Mitgliedstaaten der EFTA, die nicht den Beitritt zur EWG beantragt hatten, führten.
Carte interactive montrant les sept États fondateurs de l'Association européenne de libre-échange (AELE) en 1960, ainsi que les adhésions et les retraits successifs qui ont déterminé la composition actuelle de l'organisation.
Am 4. Januar 1960 unterzeichnen Dänemark, Norwegen, Österreich, Portugal, Schweden, die Schweiz und das Vereinigte Königreich in Stockholm das Abkommen zur Gründung der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA).
Le 4 janvier 1960, Östen Undén, ministre suédois des Affaires étrangères, annonce la signature à Stockholm de la Convention instituant l'Association européenne de libre-échange (AELE).
Am 4. Januar 1960 unterzeichnet Botschafter Gottlieb Gut in Stockholm im Namen der Schweiz das Übereinkommen zur Errichtung der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA).
“Alle im gleichen Boot”. Am 15. Januar 1960, illustriert der britische Karikaturist David Low die erst kürzlich eingeführte Europäische Freihandelsassoziation und wirft die Frage nach den widersprüchlichen wirtschaftlichen Ambitionen der sechs Mitgliedstaaten der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG), und nach den Ambitionen der Sieben auf, die das Funktionieren des europäischen Marktes bedrohen könnten.
Le 3 mai 1960, ratifiée par les parlements nationaux des Sept, la Convention instituant l'Association européenne de libre-échange (AELE) entre officiellement en vigueur à Stockholm.
Le 1er mars 1970, l'Islande rejoint officiellement l'Association européenne de libre-échange (AELE). De g. à dr.: Sir John Coulson, secrétaire général de l'AELE, Einar Benediktsson, représentant permanent de l'Islande auprès de l'AELE et Gylfi Th. Gíslason, ministre islandais du Commerce.
In diesem Interview spricht Georges Berthoin, Delegationsleiter der Hohen Behörde der Europäischen Gemeinschaft für Kohle und Stahl (EGKS) und später der Kommission der Europäischen Gemeinschaften im Vereinigten Königreich bis 1973, über die Arbeit der Europäischen Organisation für wirtschaftliche Zusammenarbeit (OEEC) und des Maudling-Ausschusses und beschreibt die Umstände der Gründung der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA) im Jahre 1960 und deren Ziele.
En décembre 1960, Frank Figgures, secrétaire général de l'Association européenne de libre-échange (AELE), décrit dans le mensuel français Le Monde diplomatique le rôle de l'AELE dans la formation d'une Europe unie.
En décembre 1965, Jean Lecerf décrit dans le mensuel Communauté européenne les rapports qu'entretient la Communauté économique européenne (CEE) avec l'Association européenne de libre-échange (AELE).
Am 24. Mai 1965 nehmen die österreichischen Regierungsmitglieder Bruno Kreisky, Karl Schleinzer, Josef Klaus und Bruno Pittermann (von links nach rechts) in Wien am Gipfel der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA) teil.
Am 24. Mai 1965 zieht das Schlusskommuniqué der Ministertagung des Rates der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA) in Wien eine positive Bilanz der EFTA-Aktivitäten und plädiert für engere Beziehungen mit der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG).
Tableau indiquant le produit national brut (PNB), le montant des importations et des exportations ainsi que la balance commerciale des huit pays membres de l'AELE en 1959 et en 1967.
Le 8 décembre 1959, une délégation britannique est reçue à Washington pour procéder à des entretiens consacrés à la création d'une zone de libre-échange en Europe.
Le 13 décembre 1959, des membres du Quai d'Orsay s'entretiennent à Paris avec une délégation américaine au sujet de la création d'une zone de libre-échange en Europe.
Le 21 mars 1960, dans une émission radiodiffusée aux Pays-Bas, Max Kohnstamm, vice-président du Comité d'action pour les États-Unis d'Europe et conseiller auprès du Mouvement européen néerlandais dresse un tableau du processus actuel d'intégration européenne en s'intéressant en particulier à la Communauté économique européenne (CEE) et à l'Association européenne de libre-échange (AELE), ainsi qu'aux relations transatlantiques avec les États-Unis.
Le 24 mars 1960, Douglas Dillon, sous-secrétaire d'État américain, s'entretient à Washington avec une délégation des pays membres de l'Association européenne de libre-échange (AELE) au sujet des relations qu'entretiennent entre les Sept avec les six États membres de la Communauté économique européenne (CEE).
"Répétition du lancement". Le 26 avril 1960, le caricaturiste britannique David Low illustre les faiblesses de la jeune Association européenne de libre-échange (AELE) face au poids économique de l'Europe des Six.
"On n'est pas encore prêts à se rencontrer." En mai 1960, la Communauté économique européenne (CEE), ici conduite par la France, et l'Association européenne de libre-échange (AELE), ici conduite par le Royaume-Uni, n'ont toujours pas réussi à trouver un terrain d'entente.
Dans un rapport adressé le 19 août 1960 à Eugène Schaus, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, le représentant permanent a.i. du Luxembourg auprès des Communautés européennes récapitule l'état des conversations entre le chancelier allemand Konrad Adenauer et le Premier ministre britannique Harold Macmillan au sujet des relations entre l'AELE et la CEE.
Le 12 octobre 1960, Olivier Wormser, directeur des Affaires économiques et financières au Quai d'Orsay, rédige une note dans laquelle il expose la position de la Grande-Bretagne dans le contexte des relations économiques entre les Six et les sept États membres de l'AELE.
"Divisés nous sommes." Le 3 janvier 1961, le caricaturiste britannique David Low illustre les difficiles relations et le dialogue de sourd qui existent entre la Communauté économique européenne (CEE), ici conduite par le président français Charles de Gaulle, et l'Association européenne de libre-échange (AELE).
Le 27 février 1961 à Paris, le Britannique Edward Heath, lord du Sceau privé, tient au Conseil de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) un discours dans lequel il pose les conditions du Royaume-Uni à une coopération entre les Six (Communauté économique européenne) et les Sept (Association européenne de libre-échange).
Le 4 mars 1961, suite aux entretiens franco-britanniques de Londres sur les relations CEE-AELE, le Quai d'Orsay adresse aux ambassadeurs des pays partenaires des Communautés européennes un rapport fustigeant l'intransigeance de l'attitude britannique.
Le 24 avril 1961, Gunnar Lange, ministre suédois du Commerce, met en garde contre la division économique de l'Europe en deux blocs et appelle à une association étroite sur le plan économique entre la Communauté économique européenne (CEE) et l'Association européenne de libre-échange (AELE).
Le 5 juin 1961, le gouvernement portugais publie un mémorandum dans lequel il rend compte du déroulement des premières négociations entre la Communauté économique européenne (CEE) et l'Association européenne de libre-échange (AELE) à laquelle le pays appartient.
„Leise flehen uns’re Lieder“. Im Jahre 1962 illustriert der österreichische Karikaturist Ironimus die langsame Annäherung einiger Mitgliedstaaten der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA) – Österreich, Schweden und die Schweiz – an die Europäische Wirtschaftsgemeinschaft (EWG).
"Une Europe. Deux marchés". En 1962, le caricaturiste Fritz Behrendt illustre un continent européen dont le marché est régi séparément par la Communauté économique européenne (CEE) et par l'Association européenne de libre-échange (AELE).
Le 6 décembre 1966, commentant la réunion à Londres des représentants des sept États membres de l'Association européenne de libré-échange (AELE), le quotidien français Le Monde se penche sur les enjeux pour l'AELE d'une éventuelle adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Tableau indiquant le produit national brut (PNB), le montant des importations et des exportations ainsi que les balances commerciales des six pays membres de la CEE en 1959 et en 1967.
Le 11 novembre 1967, le journal français Combat décrit les réactions des pays nordiques membres de l'Association européenne de libre-échange (AELE) face à la demande d'adhésion de la Grande-Bretagne aux Communautés européennes.
Auf dem Ministerrat der WEU vom 30. Mai 1965 in Luxemburg prüfen die Sechs und das Vereinigte Königreich den Wilson-Plan zur Annäherung zwischen der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft und der Europäischen Freihandelsassoziation (EFTA).
En décembre 1967, le mensuel français Le Monde diplomatique se penche sur l'avenir de l'Association européenne de libre-échange (AELE) suite au second veto du général de Gaulle à l'adhésion britannique au Marché commun.
En 1966, Harold Wilson, Premier ministre britannique, convoque une réunion ministérielle de l'Association européenne de libre-échange (AELE) au Lancaster House à Londres pour discuter de la demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.