Note détaillée du Ministère français des Affaires étrangères du 28 janvier 1953 qui passe au crible les conséquences possibles de la Communauté européenne de défense (CED) sur la position de la France dans le monde.
Le 25 février 1953, le général de Gaulle tient à Paris une conférence de presse au cours de laquelle il se prononce en faveur d'une coopération entre États européens dans le domaine de la défense bien qu'opposé à la création de la Communauté européenne de défense (CED).
Le 16 novembre 1953, le quotidien belge Le Soir pose la question de la présence de forces armées allemandes au sein de la Communauté européenne de défense.
„Deutsches Europa“. Im Dezember 1953 manifestiert die französische kommunistische Zeitschrift „Démocratie nouvelle“ ihre ablehnende Haltung gegenüber der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) und illustriert die Gefahren, die durch die Wiederbewaffnung Deutschlands für Frankreich und Europa entstehen. Der französische Karikaturist Mitelberg zeichnet einen Wehrmachtshelm, der über Paris gestülpt wird und so Europa und Frankreich wie im Zweiten Weltkrieg in Finsternis versinken lässt. Indem er die schmerzhafte Erinnerung an die Besatzung Europas durch die deutschen Truppen heraufbeschwört, verleiht Mitelberg seiner Befürchtung Ausdruck, dass sich die Geschichte wiederholen könnte, wenn Westdeutschland sich wiederbewaffnet. Auch das mit Stacheldraht umspannte Wort „deutsch“ erinnert an das Grauen der Konzentrationslager und die Verbrechen der Nazis.
En décembre 1953, Petit, général français en retraite, dénonce dans les colonnes de la revue communiste Démocratie nouvelle les dangers de l'intégration de troupes allemandes au sein d'une Communauté européenne de défense (CED).
"Négociations au sommet." Le 1er décembre 1953, le caricaturiste britannique David Low illustre l'opposition de l'Union soviétique à l'encontre du projet de Communauté européenne de défense (CED). A gauche, Gueorgui Maximilianovitch Malenkov, président du Conseil des ministres et Viatcheslav Mikhaïlovitch Molotov, ministre soviétique des Affaires étrangères.
En 1954, le bulletin du Comité national de défense de l'unité de la France et de l'Union française titre sur les graves conséquences économiques du traité instituant une Communauté européenne de défense (CED) et dénonce point par point les arguments avancés par les partisans du traité de Paris.
Le 23 février 1954, la foule manifeste à Berlin-Est contre le réarmement de la République fédérale d'Allemagne (RFA) et contre le Traité instituant la Communauté européenne de défense (CED).
En mars 1954, le Comité d'action pour l'indépendance nationale publie une brochure qui détaille les multiples dangers du traité instituant une Communauté européenne de défense (CED) et appelle les parlementaires français à ne pas ratifier le texte.
Le 9 mars 1954, après un voyage en France, Pierre Wigny, député belge, publie dans le quotidien La Nation belge un article, qui dénonce l'argumentaire des opposants à la Communauté européenne de défense (CED).
Le 17 mars 1954, le général de Gaulle adresse au général Béthouart une lettre dans laquelle il exprime son opposition au projet de Communauté européenne de défense (CED).
„Prägt Euch diesen Gedanken gut ein!“ Die Abbildung zeigt die Bedrohung, die über Frankreich schwebt, wenn es den Vertrag zur Gründung der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) ratifiziert.
Mit diesem Plakat, ruft die Nationale Vereinigung der Deportierten und Internierten Widerstandskämpfer und Patrioten, die Franzosen auf, die Verträge zur Gründung einer Europäischen Verteidigungsgemeinschaft abzulehnen, da diese Verträge für viele die schmerzhafte Erinnerung an die Greueltaten der deutschen Truppen im Zweiten Weltkrieg wieder zum Leben erweckt.
„Einen Waffenrock kriegt Konrad – aber welchen?“ Im Rahmen der Debatte um die Gründung einer Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) wirft der Karikaturist Fritz Behrendt im August 1954 einen ironischen Blick auf den „Minimalvorschlag“ von Pierre Mendès France, französischer Regierungschef und Außenminister, zur möglichen Wiederbewaffnung der Bundesrepublik Deutschland (BRD).
Die Einstellung des Vereinigten Königreichs und der Vereinigten Staaten zur EVG
"Il semble qu'ils aient besoin d'une clé de voûte". Le 19 février 1952, le caricaturiste britannique David Low illustre les efforts de Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, et du chancelier allemand Konrad Adenauer pour mettre en place une armée européenne sous le regard ironique et dubitatif des États-Unis et des Britanniques.
Le 2 février 1953, Paul Struye, membre belge de l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), commente la position des États-Unis à l'égard du projet de Communauté européenne de défense (CED) et décrit la place de l'armée allemande dans la future armée européenne.
Lettre adressée par Robert Silvercruys, ambassadeur de Belgique à Washington, à Paul van Zeeland, ministre belge des Affaires étrangères, au sujet des inquiétudes américaines face au retard pris en Europe par la ratification du traité de CED.
Le 14 avril 1954, le gouvernement britannique expose à la Chambre des Communes, les engagements souscrits par le Royaume-Uni à l'encontre de la Communauté européenne de défense.
Le 16 avril 1954, le président américain Dwight D. Eisenhower prononce un discours sur les relations futures entre les États-Unis, la Communauté européenne de défense (CED) et l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Am 19. Mai 1954 analysiert die deutsche Tageszeitung Die Welt die möglichen Folgen und Risiken für den Fall, dass sich Frankreich weigern sollte, den Vertrag zur Gründung der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) zu ratifizieren.
"L'inévitable fantôme". Le 23 juin 1954, à l'occasion des débats au Royaume-Uni sur la Communauté européenne de défense (CED) et la question du réarmement de la République fédérale d'Allemagne (RFA), le caricaturiste britannique Low ironise sur l'opposition d'Aneurin Bevan, homme politique gallois appartenant au Parti travailliste britannique, à l'encontre de la CED.
En février 1953, le caricaturiste néerlandais Opland illustre les difficultés liées à la ratification du Traité instituant la Communauté européenne de défense (CED).
Le 1er mai 1953, Victor Larock, Président du Parti socialiste belge, s'exprime dans les colonnes du quotidien néerlandais Het Parool sur la question de la ratification du Traité instituant la Communauté européenne de défense.
Le 7 novembre 1953, le quotidien Le Peuple, organe officiel du Parti socialiste belge, s'interroge sur la position des socialistes au sujet de la Communauté européenne de défense (CED).
Le 12 novembre 1953, dans le cadre de la procédure de ratification du Traité instituant la Communauté européenne de défense (CED), la Chambre belge des représentants discute des enjeux de l'armée européenne.
Le 2 mars 1954, à l'occasion de l'ouverture des débats au Sénat belge sur le projet de loi portant approbation du Traité instituant la Communauté européenne de défense, Paul van Zeeland, ministre belge des Affaires étrangères, insiste sur l'importance de la mise en place d'une défense commune européenne.
Le 3 mars 1954, au cours des débats sur la Communauté européenne de défense (CED) au Sénat belge, Fernand Dehousse, sénateur socialiste belge et militant pro-européen, dépeint les avantages du traité instituant la CED.
Le 29 janvier 1953, l'Assemblée nationale française examine le projet de loi autorisant le président de la République, Vincent Auriol, à ratifier le traité instituant la Communauté européenne de défense (CED).
Le 18 février 1953, la revue néerlandaise Internationale Spectator commente la situation en France après la présentation du plan Pleven le 24 octobre 1950 et après la signature du traité instituant la Communauté européenne de défense le 27 mai 1952.
Dieses französische Plakat zeigt die Notwendigkeit einer europäischen Verteidigungskooperation im Rahmen einer Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG), um erneute bewaffnete Konflikte auf dem europäischen Kontinent zu vermeiden.
Le 30 juin 1954, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, rend compte de l'entretien qu'il a eu, le jour-même à Paris, avec Pierre Mendès France, président du Conseil des ministres français, et au cours duquel celui-ci lui a expliqué les raisons de certaines de ses réticences vis-à-vis du projet de la Communauté européenne de défense (CED).
„Erinnert euch an 1940“. Am 31. Juli 1954 illustriert der französische Karikaturist Louis Mitelberg die Gefahren einer Beteiligung der Bundesrepublik Deutschland (BRD) an der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG), indem er schmerzhafte Erinnerungen an den Zweiten Weltkrieg und die Massenflucht der französischen Zivilbevölkerung vor dem Naziangreifer weckt. Zahlreiche Gegner der EVG fürchten, dass die Integration deutscher Truppen innerhalb einer Europäischen Verteidigungsgemeinschaft den deutschen Militarismus wieder zum Leben erweckt und sich die Geschichte wiederholen wird.
Affiche française de 1954 en faveur de la Communauté européenne de défense (CED). La CED est un bouclier, une alliance défensive «pour la paix» contre la menace fasciste et soviétique.
Dans cette lettre adressée à Jean Monnet, Pierre Mendès France, président du Conseil et ministre français des Affaires étrangères, décrit les difficultés de politique intérieure auxquelles il se trouve confronté quelques jours avant le vote de ratification du traité de la Communauté européenne de défense (CED) par l'Assemblée nationale française.
„Ob mit oder ohne EVG ... ‚Deutsches Kontingent ...im Gleichschritt ...Marsch!‘“ Am 19. August 1954 illustriert der deutsche Karikaturist Ernst Maria Lang die Befürchtungen des französischen Ministerpräsidenten und Außenministers Pierre Mendès France hinsichtlich der geplanten Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) und der Wiederbewaffnung der Bundesrepublik Deutschland (BRD). Trotz der Versuche des Ministerpräsidenten, die Wiedererrichtung einer deutschen Armee zu verhindern, scheint diese unabwendbar.
Le 27 août 1954, Robert Als, ambassadeur luxembourgeois à Paris, adresse une lettre à Joseph Bech, président du gouvernement luxembourgeois, dans laquelle il se montre sceptique quant à la volonté de la France de ratifier le Traité instituant la Communauté européenne de défense (CED).
Für Pierre Mendès France, den französischen Regierungschef und Außenminister, sind die Würfel bereits einige Tage vor der Abstimmung in der Nationalversammlung gefallen: Frankreich wird den EVG-Vertrag nicht ratifizieren.
Am Vorabend der Debatten in der französischen Nationalversammlung zeigt sich die französische Tageszeitung Le Monde skeptisch gegenüber den Erfolgschancen der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG).
Jan Willem Beyen, ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas de 1952 à 1956, se souvient dans ses Mémoires de la volonté de Pierre Mendès France de pouvoir modifier en dernière minute certains aspects relatifs à l'application du traité instituant la CED.
Am 19. März 1953 ratifiziert der deutsche Bundestag den Vertrag über die Gründung der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVD) gegen den heftigen Widerstand der Kommunisten, die den Plan einer europäischen Armee für den Auftakt zur Wiederbewaffnung der Bundesrepublik halten.
Le 6 mai 1953, Otto Lenz, secrétaire d'État au sein de la chancellerie fédérale, salue les efforts du gouvernement de la République fédérale d'Allemagne pour ratifier au plus vite le traité portant création de la Communauté européenne de défense (CED).
Die Ablehnung der Ratifizierung durch die französische Nationalversammlung
Le 28 août 1954 s'ouvre le débat sur la Communauté européenne de défense (CED) à l'Assemblée nationale française. Une motion préjudicielle d'ajournement est déposée par les partisans de la CED. Les détracteurs lui opposent une question préalable qui permet de rejeter le traité sans aucun débat. Pierre Mendès France réussit à les faire retirer. Mais le lendemain un partisan de la CED parvient à relancer la question préjudicielle. La question préalable prévoit l'intervention de deux personnes, représentant les intérêts respectifs. Pour les opposants, c'est l'ancien président de l'Assemblée, le radical Edouard Herriot, qui prend la parole. Cette intervention signe l'arrêt de mort de la CED.
Prof. Pierre Gerbet, Prof. em. am Institut d’études politiques von Paris, erläutert die Gründe für die widersprüchliche Haltung Frankreichs, das am 31. August 1954 den Vertrag über die Europäische Verteidigungsgemeinschaft (EVG) ablehnte, obgleich dieser vom französischen Regierungschef René Pleven schon am 24. Oktober 1950 vorgeschlagen worden war.
Im August 1954 ist Egon Bahr als Chefkommentator des Radiosenders RIAS in Berlin bei den Debatten in der französischen Nationalversammlung über die Ratifizierung des Vertrags zur Gründung der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) zugegen. Er kommentiert die Ablehnung der Nationalversammlung, den Text zu ratifizieren, und die Konsequenzen dieser Entscheidung für den europäischen Integrationsprozess.
Reaktionen in den Benelux-Staaten auf das Scheitern der EVG
Le 30 août 1954, Robert Als, ambassadeur luxembourgeois à Paris adresse une lettre à Joseph Bech, président du gouvernement luxembourgeois, dans laquelle il analyse l'attitude de Pierre Mendès-France lors des débats sur la Communauté européenne de défense.
Le 30 août 1954, le quotidien néerlandais Het Parool craint que l'Assembleé nationale française ne rejette la ratification du traité instituant la Communauté européenne de défense (CED).
Le 31 août 1954, le quotidien néerlandais De Volkskrant exprime la déception des Pays-Bas suite à l'échec du projet de Communauté européenne de défense (CED).
Am 1. September 1954 kommentiert die belgische Tageszeitung Le Soir die Reaktionen Paul Henri Spaaks auf das Scheitern der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG).
Le 2 septembre 1954, Robert Als, ambassadeur luxembourgeois à Paris adresse une lettre à Joseph Bech, président du gouvernement luxembourgeois, dans laquelle il rend compte des discussions avec François Seydoux, directeur des affaires d'Europe au Département et Alexandre Parodi, secrétaire général du ministère français des Affaires étrangères quant au résultat du vote français sur la CED.
Am 2. September 1954 berichtet die Luxemburger Tageszeitung Luxemburger Wort über die Auswirkungen, die die Weigerung der französischen Nationalversammlung, den Vertrag zur Gründung der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) zu ratifizieren, auf die europäische Verteidigung hat.
Am 2. September 1954 bringt die belgische kommunistische Tageszeitung Le Drapeau rouge ihre Genugtuung angesichts der Ablehnung des Vertrags zur Gründung der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) durch die französische Nationalversammlung zum Ausdruck.
"Mesdames et Messieurs, la représentation est annulée !" C'est ainsi que les Pays-Bas perçoivent la nouvelle du rejet par l'Assemblée nationale française, le 31 août 1954, du Traité instituant la Communauté européenne de défense (CED) pourtant déjà ratifié par l'Allemagne et par les trois pays du Benelux.
"Refusé !" En 1954, Pierre Mendès France, président du Conseil français, refuse, malgré les supplications du secrétaire d'État américain John Foster Dulles et du ministre britannique des Affaires étrangères Anthony Eden, toute forme de participation des forces allemandes à une Communauté européenne de défense (CED).
Am 18. September 1954 hält der belgische Außenminister Paul-Henri Spaak vor der Beratenden Versammlung des Europarates eine Rede, in der er das Fortdauern der deutsch-französischen Streitigkeiten scharf kritisiert, die einige Tage zuvor zur Ablehnung des Vertrags über die Europäische Verteidigungsgemeinschaft (EVG) durch die französische Nationalversammlung geführt hat.
Le 4 octobre 1954, après le refus de l'Assemblée nationale française de ratifier le traité sur la Communauté européenne de défense (CED), le quotidien néerlandais Het Vrije Volk pose la question de la défense de l'Europe.
Reaktionen in Frankreich auf das Scheitern der EVG
Le 31 août 1954, le quotidien communiste français L'Humanité salue la décision de l'Assemblée nationale française de ne pas ratifier le traité instituant la Communauté européenne de défense (CED) comme une victoire du peuple de France.
Am 31. August 1954 begrüßt die französische kommunistische Tageszeitung L’Humanité das Scheitern der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) und führt die offiziellen Ergebnisse an.
Le 31 août 1954, André Philip, président du Mouvement socialiste pour les États-Unis d'Europe (MSEUE), analyse l'impact de la politique intérieure française et le rôle joué par la presse du pays dans les débats relatifs à la Communauté européenne de défense (CED).
Reaktionen in Frankreich auf das Scheitern der EVG
Unter dem Pseudonym Sirius kommentiert Hubert Beuve-Méry, Gründer der französischen Tageszeitung Le Monde, die Ereignisse vom 30. August 1954 in der französischen Nationalversammlung.
Am 30. August 1954 lehnt die französische Nationalversammlung die Diskussion des offiziellen Dokuments ab, das dem Präsidenten der Republik die Ratifizierung des EVG-Vertrags gestattet.
„Alle in den Wald, um Rotkäppchens Sieg zu feiern!“ Am 5. September 1954 illustriert der Karikaturist Effel in der französischen kommunistischen Tageszeitung L'Humanité den Beschluss der französischen Nationalversammlung, den Vertrag über die Gründung der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) nicht zu ratifizieren. Der böse Wolf, der einen Wehrmachtshelm mit der Aufschrift „EVG“ trägt, wird durch eine kleine und tatkräftige Marianne (als Rotkäppchen verkleidet) besiegt.
Le 20 septembre 1954, le Comité central de l'Union européenne des fédéralistes (UEF) fustige la responsabilité politique de la France dans l'échec de la Communauté européenne de défense (CED) et plaide pour la création d'une Europe fédérale.
Reaktionen in Deutschland auf das Scheitern der EVG
Am 31. August nimmt Franz Josef Strauß, Bundesminister für besondere Aufgaben, über den Südwestfunk Stellung zur politischen Lage. Er geht dabei besonders ein auf die Rolle der Sowjetunion im Zusammenhang mit der negativen Abstimmung über die Europäische Verteidigungsgemeinschaft in der französischen Nationalversammlung.
Am 1. September 1954 gibt die Bundesregierung eine Erklärung ab über die politische Lage nach der Abstimmung über die Europäische Verteidigungsgemeinschaft in der französischen Nationalversammlung.
Am 4. September 1954 hält der deutsche Bundeskanzler Konrad Adenauer eine Rundfunkansprache über die Europapolitik der Bundesrepublik Deutschland (BRD) und die internationale Lage nach der Ablehnung des Vertrags zur Gründung der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) durch die französische Nationalversammlung am 30. August 1954.
Am 31. August 1954 kommentiert die deutsche Tageszeitung Hannoversche Presse das Scheitern der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) und hebt den Wunsch des deutschen Volkes nach einer Wiedervereinigung hervor.
Am 31. August 1954 kritisiert die deutsche Tageszeitung Süddeutsche Zeitung vor dem Hintergrund des Scheiterns der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) die Gegner dieses Projektes und schlägt vor, nochmals über die gemachten Fehler nachzudenken.
„Hallo, hierher!“ Im Jahr 1954 kann die wiederbewaffnete Bundesrepublik Deutschland (BRD) der gescheiterten Europäischen Verteidigungsgemeinschaft (EVG) zwar nicht mehr beitreten; die Tore der Nordatlantikpakt-Organisation (NATO) stehen den deutschen Streitkräften jedoch weiterhin weit offen.
„Nie wieder! Darum verhandeln.“ Im Jahr 1954, anlässlich der Diskussionen über die Wiederbewaffnung der Deutschen Demokratischen Republik (DDR), veröffentlichte die Sozialdemokratische Partei Deutschlands (SPD) ein Plakat über die tragischen Folgen des Zweiten Weltkriegs und die Gefahren einer Remilitarisierung des Landes. Die SPD, die gegen eine deutsche Wiederbewaffnung als Teil einer zukünftigen Europäischen Verteidigungsgemeinschaft war, forderte dazu auf Verhandlungen über dieses Thema zu führen.
Le 31 août 1954, le quotidien italien Corriere della Sera commente l'échec de la Communauté européenne de défense (CED) et fustige la décision de l'Assemblée nationale française.
Au lendemain du refus, le 30 août 1954, de l'Assemblée nationale française de ratifier le traité instituant la Communauté européenne de défense (CED), le quotidien communiste italien L'Unità titre avec satisfaction : "La CED est morte".
Le 1er septembre 1954, le quotidien communiste italien L'Unità se félicite du rejet, la veille, par l'Assemblée nationale française du traité instituant la Communauté européenne de défense (CED).
Reaktionen im Vereinigten Königreich auf das Scheitern der EVG
In his memoirs, Anthony Eden, British Foreign Secretary from 1951 to 1955, recalls the tour of European capitals that he undertook in order to set out his plans for pursuing the goal of European unification following the failure of the EDC.
Le 8 septembre 1954, le caricaturiste britannique Leslie Gilbert Illingworth illustre l'échec de la Communauté européenne de défense (CED), suite au rejet du projet de CED par l'Assemblée nationale française. A dr., Pierre Mendès France, président du Conseil et ministre français des Affaires étrangères.
Reaktionen in den Vereinigten Staaten auf das Scheitern der EVG
Le 31 août 1954, John Foster Dulles, secrétaire d'État américain, commente le rejet par l'Assemblée nationale française du traité instituant la Communauté européenne de défense (CED) et appelle à la poursuite du processus de restauration de la souveraineté de la République fédérale d'Allemagne (RFA).
Dans cette lettre adressée le 3 décembre 1954 à Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, Robert Silvercruys, ambassadeur de Belgique à Washington, analyse l'état d'esprit des responsables américains au lendemain de l'échec du projet de Communauté européenne de défense (CED).
Reaktionen in der Sowjetunion auf das Scheitern der EVG
Le 31 août 1954, le journal soviétique Pravda accueille favorablement le rejet par l'Assemblée nationale française du traité instituant une Communauté européenne de défense (CED).
Le 1er septembre 1954, le quotidien soviétique Pravda se félicite de l'échec de la Communauté européenne de défense (CED) et souligne les efforts de l'URSS pour garantir la paix et la sécurité en Europe.
Reaktionen aktivistischer europäischer Bewegungen auf das Scheitern der EVG
Am 19. September 1954 nimmt das Zentralkomitee der UEF, unter dem Vorsitz von Henri Frenay, in Paris einstimmig eine Entschließung an über die Ablehnung der Europäischen Verteidigungsgemeinschaft durch die französische Nationalversammlung.
En septembre 1954, l'organisation française du Mouvement européen publie un communiqué dans lequel elle dénonce le rejet, le 30 août, par l'Assemblée nationale du traité instituant la Communauté européenne de défense (CED).