Le 25 mars 1957, les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas signent à Rome le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE).
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) énumère, dans son annexe I, les produits et les positions des droits du tarif douanier commun.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) énumère, dans son annexe II, les produits agricoles soumis aux droits du tarif douanier commun.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) énumère, dans son annexe III, la liste des transactions invisibles afférentes aux échanges de marchandises, de services et de capitaux, ainsi qu'aux transferts de capitaux et de salaires.
Le 25 mars 1957, les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas signent à Rome le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) dont la quatrième partie fixe les principes et les modalités de l'association au Marché commun des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) qui entretiennent des relations particulières avec la Belgique, avec la France, avec l'Italie et avec les Pays-Bas.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole qui fixe la mission et les statuts de la Banque européenne d'investissement (BEI).
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole relatif au commerce intérieur allemand et aux problèmes connexes.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole relatif aux dispositions intéressant la France en ce qui concerne les taxes, les aides et la rémunération des heures supplémentaires.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole relatif à l'octroi à l'Italie des ressources de la Banque européenne d'investissement et du Fonds social européen compte tenu de son programme décennal d'expansion économique et de relèvement du niveau de vie de la population (Plan Vanoni).
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole relatif aux situations agricole et démographique particulières du Grand-Duché de Luxembourg.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole relatif aux marchandises originaires et en provenance de certains pays et bénéficiant d'un régime particulier à l'importation dans un des six États membres.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole relatif au régime à appliquer aux produits relevant de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) à l'égard de l'Algérie et des départements d'outre-mer (DOM) de la République française.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole relatif aux droits de douane et aux taxes d'effet équivalent appliqués aux huiles minérales et à certains de leurs dérivés.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole relatif à son application aux parties non européennes du Royaume des Pays-Bas.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient une convention d'application relative à l'association des pays et territoires d'outre-mer à la CEE et au fonctionnement du Fonds de développement pour les pays et territoires d'outre-mer (FEDOM).
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole relatif au contingent tarifaire pour les importations de bananes en RFA.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole relatif au contingent tarifaire pour les importations de café vert en Italie, en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole - signé à Bruxelles le 17 avril 1957 - qui fixe le statut des juges et des avocats généraux, l'organisation et la procédure de la Cour de justice de la CEE.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient un protocole - signé à Bruxelles le 17 avril 1957 - qui fixe les privilèges et les immunités de la CEE.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) contient une convention relative aux pouvoirs, aux compétences et au financement de l'Assemblée, de la Cour de justice et du Comité économique et social communs à la CEE et à la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Schéma indiquant le fonctionnement et l'organisation des institutions de la Communauté économique européenne (CEE) telles que créées par le traité signé à Rome le 25 mars 1957 par les représentants des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique
Le 25 mars 1957, les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas signent à Rome le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) énumère, dans son annexe I, les domaines de recherche nucléaire dans lesquels s'exerce l'action de la Commission de l'Euratom.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) dresse, dans son annexe II, la liste des secteurs industriels qui sont tenus de communiquer à la Commission d'Euratom les projets d'investissement concernant les installations nouvelles et certains remplacements ou transformations.
Le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) dresse, dans son annexe III, la liste des avantages susceptibles d'être octroyés aux entreprises communes dont les activités revêtent une importance primordiale pour le développement de l'industrie nucléaire dans la Communauté.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) dresse, dans son annexe IV, la liste des biens et des produits auxquels s'applique le marché commun nucléaire.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) fixe, dans son annexe V, le programme initial des travaux et de l'enseignement que le Centre commun de recherches devra exécuter dans un délai de cinq ans à dater de l'entrée en vigueur du traité.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) contient un protocole relatif à l'application du traité Euratom aux parties non européennes du Royaume des Pays-Bas.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) contient un protocole - signé à Bruxelles le 17 avril 1957 - qui fixe les privilèges et les immunités d'Euratom.
Signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) contient un protocole - signé à Bruxelles le 17 avril 1957 - qui fixe le statut des juges et des avocats généraux, l'organisation et la procédure de la Cour de justice d'Euratom.
Schéma indiquant le fonctionnement et les compétences des institutions de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) telles que prévues par le traité signé le 25 mars 1957 à Rome par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas.
Affiche italienne célébrant la signature, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) présentés comme la base pour la paix et le progrès en Europe.
Le 25 mars 1957, Joseph Bech, Président du gouvernement et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg (au centre, portant un chapeau) et Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom (à g.), arrivent au palais du Capitole, à Rome, pour procéder à la séance de signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 1957, Gaetano Martino, ministre italien des Affaires étrangères, arrive au palais du Capitole à Rome pour y signer les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 1957, Joseph Luns, ministre néerlandais des Affaires étrangères, arrive à Rome pour y procéder à la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 1957 à Rome, le chancelier allemand Konrad Adenauer s'adresse aux journalistes pour commenter la signature le jour même par les représentants des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 1957, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, arrive à Rome pour procéder au Capitole à la signature officielle des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Les 24 et 25 mars 1957, les services du protocole du ministère italien des Affaires étrangères remettent un livret de présentation à chaque membre des six délégations nationales et aux observateurs qui participent à Rome aux cérémonies officielles liées à la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 1957, lors de la cérémonie de signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, prononce un discours dans lequel il souligne l'importance historique de l'événement et rend notamment hommage à ceux qui, avant lui, ont œuvré en faveur d'une Europe unie.
Le 25 mars 1957, lors de la cérémonie de signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, prononce un discours dans lequel il souligne l'importance historique de l'événement et rend notamment hommage à ceux qui, avant lui, ont œuvré en faveur d'une Europe unie. Dans la délégation belge, on reconnaît notamment (de dr. à g.) Pierre Staner, Joseph Van Der Meulen, Robert Rotschild, Albert Hupperts, Roger de Staercke puis Ernst Albrecht, Pierre Uri, Michel Gaudet, Hubert Ehring, Pierre Bourguignon, André Dubois, Christian Calmes et Giulio Guazzugli.
Le 25 mars 1957, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom (à g.), et le baron Jean-Charles Snoy et d'Oppuers (à dr.), secrétaire général du ministère belge des Affaires économiques, signent à Rome les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom). Parmi la délégation belge, on reconnaît notamment (de g. à dr.) Roger de Staercke, Albert Hupperts, Robert Rotschild, Joseph Van Der Meulen et Pierre Staner.
Le 25 mars 1957, lors de la cérémonie de signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères, prononce un discours dans lequel il plaide notamment pour un rapprochement des Six avec la Grande-Bretagne.
Le 25 mars 1957, Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères (à g.), et Maurice Faure (à dr.), secrétaire d'État français aux Affaires étrangères, signent à Rome les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 1957, lors de la cérémonie de signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), le chancelier allemand Konrad Adenauer prononce un discours dans lequel il explique notamment la portée historique des nouveaux traités pour le processus de la construction européenne.
Le 25 mars 1957, le chancelier allemand Konrad Adenauer (à g.) et Walter Hallstein, secrétaire d'État aux Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA) (à dr.), signent à Rome les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 1957, lors de la cérémonie de signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Joseph Bech, Président du gouvernement et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, prononce un discours dans lequel il salue notamment la portée historique des nouveaux traités pour le processus de la construction européenne.
Le 25 mars 1957, Joseph Bech (à g.), Président du gouvernement et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, et l'ambassadeur Lambert Schaus (à dr.), chef de la délégation luxembourgeoise à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, signent à Rome les traités portant création de la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 1957, lors de la cérémonie de signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Gaetano Martino, ministre italien des Affaires étrangères, prononce un discours dans lequel il salue notamment les efforts poursuivis par ses prédécesseurs Alcide De Gasperi et Carlo Sforza en faveur de la construction européenne.
Le 25 mars 1957, Antonio Segni, président du Conseil italien (à g.), et son ministre des Affaires étrangères Gaetano Martino (à dr.) signent à Rome - sous les yeux du diplomate italien Giuseppe Setti (à G.), de Christian Calmes (au centre) et de B. Migone (à dr.) - les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 1957, lors de la cérémonie de signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Joseph Luns, ministre néerlandais des Affaires étrangères, prononce un discours dans lequel il salue notamment la portée historique de l'événement pour les six pays signataires.
Le 25 mars 1957, Joseph Luns, ministre néerlandais des Affaires étrangères (à g.), et Johannes Linthorst Homan, chef de la délégation néerlandaise à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom (à dr.), signent à Rome les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 1957, les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas signent à Rome les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom). Respectivement, les signataires sont : Konrad Adenauer et Walter Hallstein (RFA), Paul-Henri Spaak et le baron Jean-Charles Snoy et d'Oppuers (Belgique), Christian Pineau et Maurice Faure (France), Antonio Segni et Gaetano Martino (Italie), Joseph Bech et Lambert Schaus (Luxembourg), Joseph Luns et Johannes Linthorst Homan (Pays-Bas).
Le 25 mars 1957, Joseph Bech, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, participe à Rome à la cérémonie de signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom). La veille, il profite de l'occasion pour filmer, avec sa caméra personnelle, ces images en couleur de la Cité éternelle et de la réception officielle organisée par le gouvernement italien au palais du Quirinal et à la Villa Madama en l'honneur des négociateurs et des signataires des traités.
Le 25 mars 1957, réunis dans la salle des Horaces et des Curiaces au Capitole à Rome, les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) signent les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom). De g. à dr.: Paul-Henri Spaak et le baron Jean-Charles Snoy et d'Oppuers (Belgique), Christian Pineau et Maurice Faure (France), Konrad Adenauer et Walter Hallstein (République fédérale d'Allemagne), Antonio Segni et Gaetano Martino (Italie), Joseph Bech et Lambert Schaus (Luxembourg), Joseph Luns et Johannes Linthorst Homan (Pays-Bas).
Le 25 mars 1957, réunis dans la salle des Horaces et des Curiaces du Capitole à Rome, les plénipotentiaires des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) signent les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom). Parmi les délégations nationales, on reconnaît (de g. à dr.): Konrad Adenauer et Walter Hallstein (République fédérale d'Allemagne), Antonio Segni et Gaetano Martino (Italie), Joseph Bech et Lambert Schaus (Luxembourg), Joseph Luns et Johannes Linthorst Homan (Pays-Bas).
Le 25 mars 1957, réunis dans la salle des Horaces et des Curiaces du Capitole à Rome, les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) signent les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom). Parmi les délégations nationales, on reconnaît (de g. à dr.): Maurice Faure (France), Konrad Adenauer et Walter Hallstein (République fédérale d'Allemagne), Antonio Segni et Gaetano Martino (Italie) et Joseph Bech (Luxembourg).
Le 25 mars 1957, les plénipotentiaires de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg, de la République fédérale d'Allemagne (RFA) et des Pays-Bas signent à Rome les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom). De g. à dr., le Belge Paul-Henri Spaak, le Français Maurice Faure, l'Allemand Walter Hallstein et le Luxembourgeois Joseph Bech.
Ultimes préparatifs concernant l'impression des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), en vue de leur signature le 25 mars 1957 à Rome.
Le 25 mars 1957, les plénipotentiaires de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas signent à Rome les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 26 mars 1957, au lendemain de la signature des traités de Rome, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, prononce au siège de la Banco di Roma un discours dans lequel il rappelle le déroulement et les enjeux économiques et politiques de la relance européenne.
Le 8 mars 1957, le quotidien communiste luxembourgeois Zeitung vum Lëtzeburger Vollek dénonce le coût financier jugé exorbitant pour le pays des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom ou CEEA).
Le 26 mars 1957, le quotidien belge Le Soir décrit le déroulement et l'atmosphère de la cérémonie de signature, la veille à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) en insistant notamment sur l'hommage rendu à cette occasion à Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères.
Au lendemain de la signature par les Six, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et l'Euratom, Pierre Werner, ministre luxembourgeois des Finances, décrit dans le Luxemburger Wort les mécanismes de financement des institutions communautaires.
Fin mars 1957, Karel Paul van der Mandele, président de la Chambre de commerce de Rotterdam, fustige le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE), notamment en raison des concessions accordées à la France.
Le 26 mars 1957, commentant dans le quotidien catholique néerlandais De Volkskrant la signature, la veille à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA), Willem Drees, ministre-président du Conseil des ministres des Pays-Bas, souligne les possibilités offertes par les traités tout en regrettant que la délégation néerlandaise n'ait pas obtenu satisfaction sur toutes ses exigences.
Le 26 mars 1957, au lendemain de la signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Lambert Schaus, ambassadeur du Luxembourg en Belgique et chef de la délégation luxembourgeoise à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, publie dans le quotidien Luxemburger Wort un article dans lequel il décrit les enjeux majeurs du Marché commun, notamment dans le domaine de l'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM).
Le 26 mars 1957, le quotidien communiste belge Le Drapeau rouge décrit la signature à Rome des traités CEE et Euratom comme une étape supplémentaire vers la division de l'Europe.
Le 27 mars 1957, l'économiste Pierre Joye dénonce dans le quotidien communiste belge Le Drapeau rouge la Communauté économique européenne (CEE) qui symbolise à ses yeux l'alliance du grand capital contre les travailleurs européens.
Le 28 mars 1957, le quotidien socialiste belge Le Peuple publie un article de Jean Monnet, président du Comité d'action pour les États-Unis d'Europe (CAEUE), qui salue la signature, trois jours auparavant à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 30 mars 1957, commentant la signature le 25 mars à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA), Max Buset, député socialiste de Thuin et président du Parti socialiste belge (PSB), salue dans le quotidien Le Peuple, organe officiel du parti, les pas décisifs que viennent d'effectuer les Six sur la voie d'une Europe plus unie.
Le 30 mars 1957, le journal syndical luxembourgeois Arbecht salue la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) en soulignant notamment le rôle des syndicats dans la mise en place du Marché commun.
En avril 1957, commentant la signature, le 25 mars à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom), Maurice Lambilliotte, ancien conseiller économique du Premier ministre belge Paul-Henri Spaak, insiste sur la vocation continentale et africaine de l'Europe unie.
En avril 1957, Marinus van der Goes van Naters, membre néerlandais de l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), passe en revue les principaux aspects de la Communauté économique européenne (CEE).
Le 15 juin 1957, à la tribune du onzième Congrès économique Benelux à Maastricht, Lambert Schaus, ambassadeur du Luxembourg en Belgique et ancien chef de la délégation luxembourgeoise à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit le rôle et la position du Benelux dans la future Communauté économique européenne (CEE).
Lors du colloque organisé du 25 au 28 mars 1987 à Rome pour marquer le trentième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), le comte Jean-Charles Snoy et d'Oppuers, ancien secrétaire général du ministère belge des Affaires économiques et ancien président de la délégation belge à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, explique les démarches nécessaires, au début du mois de mars 1957, pour vaincre les réticences du roi Baudouin et du Premier ministre Achille Van Acker et leur faire accepter la signature par la Belgique des traités de Rome.
Le 21 février 1957, Heinrich von Brentano, ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA), tient une conférence de presse à Bonn au cours de laquelle il pointe les enjeux, pour l'avenir de l'Europe, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), signés par les Six le 25 mars 1957 à Rome.
Le 21 mars 1957, soit quatre jours avant la signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom), Walter Hallstein, secrétaire d'État aux ministère allemand des Affaires étrangères, expose devant le Bundestag les éléments positifs pour la République fédérale d'Allemagne (RFA) des nouveaux traités qui apparaissent comme le résultat d'un compromis politique entre les Six.
Le 21 mars 1957, soit quatre jours avant la signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom), Ludwig Erhard, ministre allemand des Affaires économiques, exprime devant le Bundestag son attachement à la création d'un marché commun en Europe tout en critiquant les traités préparés par les Six à Val Duchesse au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom.
Le 24 mars 1957, à la veille de la signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), le journal est-allemand Neues Deutschland présente le Marché commun comme un pacte douanier qui renforce la division de l'Europe et de l'Allemagne.
Le 26 mars 1957, Gustav-René Hocke, correspondant spécial du quotidien bavarois Süddeutsche Zeitung, commente le déroulement de la cérémonie de signature, la veille à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 27 mars 1957, commentant la signature, deux jours plus tôt à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), le quotidien économique allemand Handelsblatt passe en revue les défis de la mise en œuvre du Marché commun.
Le 27 mars 1957, deux jours après la signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom), l'éditorialiste de l'hebdomadaire allemand Der Spiegel dresse un tableau critique des nouveaux traités qui, à ses yeux, désavantagent la position de la République fédérale d'Allemagne (RFA) par rapport à celle de la France.
Le 29 mars 1957, le Bulletin de l'Office de presse et d'information du gouvernement de la République fédérale d'Allemagne (RFA) souligne l'importance économique et politique de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 6 avril 1957, Walter Hallstein, secrétaire d'État au ministère des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA), prononce à l'université de Stuttgart un discours dans lequel il retrace les étapes successives de la relance européenne en insistant sur certains aspects des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) signés douze jours plus tôt à Rome.
En octobre 1957, Otto Brenner, président du Syndicat de la métallurgie d'Allemagne occidentale et membre du Comité d'action pour les États-Unis d'Europe (CAEUE), analyse la position des syndicats par rapport aux traités de Rome. Il pointe notamment les dangers d'une concentration des moyens de production et souligne la nécessité pour les organisations syndicales d'être représentées dans toutes les institutions prévues par les nouveaux traités afin d'éviter que les charges sociales soient réparties de manière inégale entre les différents partenaires sociaux.
Le 8 décembre 1957, Otto Brenner, président du Syndicat de la métallurgie d'Allemagne occidentale et membre du Comité d'action pour les États-Unis d'Europe (CAEUE), critique dans le quotidien français Le Monde le manque de place accordée aux organisations syndicales dans les organes de la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
En 1957, Karl Albrecht, directeur de la Chambre de commerce et de l'industrie de Düsseldorf, fait le bilan des réactions des milieux économiques ouest-allemands à l'égard de la Communauté économique européenne (CEE) et souligne les responsabilités sociales du patronat par rapport au futur Marché commun.
En juin 1957, Heinrich von Brentano, ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA), exprime sa satisfaction par rapport au résultat de la relance européenne et assure de l'engagement européen de son pays.
"Une grande aventure: "Les deux machines à plein régime!"". En 1958, malgré la signature, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), le caricaturiste allemand Kolfhaus exprime son pessimisme quant à la rapidité du processus d'intégration européenne.
En 1958, Carl Friedrich Ophüls, ambassadeur de la République fédérale d'Allemagne (RFA) et ancien chef de la délégation allemande au sein du Comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine puis de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, dresse dans l'Annuaire européen un bilan de la relance européenne et des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 23 mars 1957, le quotidien communiste français L'Humanité dénonce les dangers inhérents aux futurs traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) et insiste sur la menace de la renaissance de la puissance industrielle et militaire allemande.
En mars 1957, le mensuel français La Revue socialiste publie un article détaillé sur la compatibilité de la Communauté économique européenne (CEE) avec les principes socialistes.
Le 25 mars 1957, commentant la signature le jour-même à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), le quotidien communiste français L'Humanité énumère les dangers des nouveaux traités européens.
Le 26 mars 1957, au lendemain de la signature à Rome du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE), le quotidien français Le Monde examine les enjeux du Marché commun européen, en pointant notamment les contradictions entre certaines de ses dispositions et le fonctionnement de l'économie française.
"Marché commun ou kermesse aux étoiles". Le 29 mars 1957, commentant la signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA), le caricaturiste Pinatel illustre dans le quotidien français Combat les interrogations des Français par rapport aux enjeux du Marché commun.
Le 29 mars 1957, au lendemain de la signature à Rome du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE), le quotidien communiste français L'Humanité représente l'harmonisation sociale au sein du Marché commun comme une égalisation par le bas du niveau de vie de la classe ouvrière française.
Le 4 avril 1957, Force ouvrière, hebdomadaire syndical de la Confédération générale du travail (CGT)-Force ouvrière (FO), illustre l'importance pour les six pays signataires du traité de Rome instituant la Communauté économique européenne (CEE).
En juin 1957, Jacques Tessier, secrétaire général de la Fédération des syndicats chrétiens et membre du comité exécutif de la section française du Mouvement européen, dresse l'inventaire des critiques dont les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) font l'objet et tente d'y apporter des réponses.
En 1957, la Fédération française de l'industrie cotonnière examine le contenu et la portée du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE).
Le 8 juillet 1957, le journal satirique français Le Canard enchaîné illustre en première page la naissance de la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Lors du colloque organisé du 25 au 28 mars 1987 à Rome pour marquer le trentième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Pierre Uri, ancien directeur de la division "Économie générale" à la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), explique les réactions du patronat français à l'égard de la relance européenne et celles de Pierre Mendès France en 1957 lors de la ratification des traités de Rome.
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien secrétaire général de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque les réticences des milieux industriels et les espoirs des milieux agricoles français face au projet de Communauté économique européenne (CEE).
Le 6 mars 1957, le quotidien milanais Il nuovo Corriere della Sera analyse l'impact probable des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) sur les échanges commerciaux entre l'Europe de l'Ouest et le reste du monde.
Le 23 mars 1957, soit deux jours avant la signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), le quotidien communiste italien L'Unità critique les nouveaux traités européens et tente de montrer que ces derniers ne font pas l'unanimité au sein des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 24 mars 1957, le quotidien communiste italien L'Unità condamne le processus d'intégration européenne et expose le point de vue du Parti communiste italien (PCI) sur la Communauté économique européenne (CEE).
Le 25 mars 1957, l'économiste italien Libero Lenti décrit dans les colonnes du quotidien italien Il nuovo Corriere della Sera les enjeux, notamment pour le commerce de la péninsule, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) signés le jour-même à Rome par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
En mars 1957, commentant la signature à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Paolo Emilio Taviani, ministre italien de la Défense, dresse un bilan des efforts poursuivis sur la voie de l'intégration européenne en insistant notamment sur l'importance des relations transatlantiques et sur le rôle des chrétiens dans l'unification politique de l'Europe.
Le 31 mars 1957, Antonio Segni, Président du Conseil italien et à ce titre signataire, une semaine auparavant à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), prononce au théâtre Adriano de Rome un discours dans lequel il décrit notamment les étapes successives de la construction européenne.
Dans cette interview, Pasquale Antonio Baldocci, ancien diplomate au service des traités du ministère italien des Affaires étrangères, évoque la portée symbolique du Capitole à Rome pour la cérémonie de signature, le 25 mars 1957, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) à l'issue des négociations de Val Duchesse sur la relance européenne.
Dans cette interview, Pasquale Antonio Baldocci, ancien diplomate au service des traités du ministère italien des Affaires étrangères, évoque l'hostilité du Parti communiste italien (PCI) et d'une partie des socialistes italiens à l'égard du processus d'intégration européenne au cours des années cinquante et soixante.
Dans cette interview, Pasquale Antonio Baldocci, ancien diplomate au service des traités du ministère italien des Affaires étrangères, commente l'état d'esprit des autorités vaticanes et de l'opinion publique italienne vis-à-vis du processus de construction européenne.
Le 26 mars 1957, commentant la signature la veille à Rome du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE), le quotidien The Manchester Guardian analyse les enjeux liés à la mise en place du Marché commun et s'interroge sur la participation du Royaume-Uni à une union douanière européenne.
Le 30 mars 1957, commentant la signature cinq jours plus tôt à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), l'hebdomadaire londonien The New Statesman and Nation fait part de sa perplexité quant aux avantages supposés du Marché commun.
En mai 1957, le mensuel français Le Monde diplomatique publie un entretien avec Sir Cecil Weir, homme d'affaires et ancien ambassadeur du Royaume-Uni auprès de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), au sujet de la position britannique à l'égard de la Communauté économique européenne (CEE).
En 1967, dix ans après la signature le 25 mars 1957 à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Joseph Bech, ancien Président du gouvernement et ancien ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, se rappelle des enjeux et de l'état d'esprit dans lequel furent signés les traités de Rome.
Dans ses Mémoires, l'ancien chancelier allemand Konrad Adenauer rappelle le caractère historique de la signature, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Dans ses Mémoires, Alfred Müller-Armack, ancien membre de la délégation allemande à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque la cérémonie de signature, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
En mars 1983, Jean Rey, ancien ministre belge des Affaires économiques, accorde au journaliste Jean-Claude Ricquier une interview dans laquelle il évoque les origines de son engagement européen et les tiraillements politiques au sein du gouvernement belge avant la signature, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Dans ses mémoires, le comte Jean-Charles Snoy et d'Oppuers, ancien secrétaire général du ministère belge des Affaires économiques et ancien chef de la délégation belge à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, rappelle l'ambiance dans laquelle furent signés, le 25 mars 1957 à Rome, les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Dans ses Mémoires, Pierre Uri, ancien conseiller économique et financier auprès de Jean Monnet au Commissariat général au Plan de modernisation et d'équipement à Paris puis directeur à la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), rappelle les difficultés à surmonter pendant la préparation du rapport Spaak à la base des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Lors du colloque organisé du 25 au 28 mars 1987 à Rome pour marquer le trentième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Pierre Uri, ancien directeur de la division "Économie générale" à la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), évoque la philosophie économique et institutionnelle sous-jacente aux traités de Rome.
Dans cette interview, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères et membre du groupe de rédaction au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque les derniers préparatifs juridiques et protocolaires de la cérémonie de signature par les Six, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Dans cette interview, Hubert Ehring, ancien directeur au service juridique du secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque la cérémonie de signature par les Six, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Dans cette interview, Charles Rutten, ancien membre de la délégation néerlandaise auprès de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque la cérémonie de signature, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Dans cette interview, André Dubois, ancien membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque la cérémonie de signature, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Dans cette interview, Albert Breuer, ancien fonctionnaire au secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), en charge notamment de l'organisation matérielle de la cérémonie de signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), explique les péripéties rencontrées par le convoi ferroviaire contenant le matériel nécessaire à la signature des traités, le 25 mars 1957 à Rome.
Dans cette interview, Albert Breuer, ancien fonctionnaire au secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), en charge notamment de l'organisation matérielle de la cérémonie de signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), évoque les difficultés rencontrées lors de l'installation du matériel ainsi que celles liées aux priorités protocolaires lors de la préparation de la cérémonie de signature des traités, le 25 mars 1957 à Rome.
Dans cette interview, Albert Breuer, ancien fonctionnaire au secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), en charge notamment de l'organisation matérielle de la cérémonie de signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), évoque les difficultés liées à la mise en forme définitive des traités avant la cérémonie de signature, le 25 mars 1957 à Rome.
Dans cette interview, Albert Breuer, ancien fonctionnaire au secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), en charge notamment de l'organisation matérielle de la cérémonie de signature, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), évoque les souvenirs qu'il a conservés de l'événement.
Dans cette interview, Pasquale Antonio Baldocci, ancien diplomate au service des traités du ministère italien des Affaires étrangères, évoque la cérémonie de signature, le 25 mars 1957 à Rome, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Dans cette interview, Pasquale Antonio Baldocci, ancien diplomate au service des traités du ministère italien des Affaires étrangères, évoque la personnalité et l'action de Gaetano Martino, ancien ministre italien des Affaires étrangères, en faveur de la relance de l'intégration européenne au milieu des années cinquante.
En avril 1987, à l'occasion du trentième anniversaire de la signature des traités de Rome, le Luxembourgeois Albert Breuer, ancien fonctionnaire du secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), évoque les péripéties logistiques de dernière minute avant la cérémonie de signature, au Capitole, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
En avril 1987, à l'occasion du trentième anniversaire de la signature des traités de Rome, Joseph Kasel, ancien responsable de la section des traités internationaux au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères, évoque l'ambiance et les difficultés de dernière minute lors de la cérémonie de signature, le 25 mars 1957 au Capitole, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
En avril 1987, à l'occasion du trentième anniversaire de la signature des traités de Rome, Emmanuele Gazzo, fondateur et directeur de l'Agence Europe, évoque l'ambiance qui régnait lors de la cérémonie de signature, le 25 mars 1957 au Capitole, des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 mars 2007, évoquant le cinquantième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), la télévision luxembourgeoise diffuse ce reportage au cours duquel Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères et membre du groupe de rédaction au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, fait un bilan et trace les perspectives d'avenir du processus de construction européenne.