Le 11 mai 1950, James E .Webb, secrétaire d'État américain par intérim, se félicite du projet du ministre français des Affaires étrangères Robert Schuman de créer un pool charbon-acier par la mise en commun dans un premier temps des industries françaises et allemandes du charbon et de l’acier.
Le 11 mai 1950, Clement Attlee, Premier ministre britannique, fait part de ses impressions à l'égard du plan Schuman devant la Chambre des Communes et exprime son soutien à la proposition française.
Le 10 mai 1955, à l'occasion du cinquième anniversaire de la déclaration Schuman, l'ancien ministre français des Affaires étrangères prononce à Strasbourg un discours dans lequel il rappelle les débuts de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et fixe des perspectives pour la poursuite de la construction européenne.
Le 31 mai 1950, l'ambassade des Pays-Bas à Paris transmet une note au ministère français des Affaires Etrangères dans laquelle le gouvernement néerlandais accepte l’invitation de participer aux futures négociations sur le plan Schuman.
Le 6 juin 1950, soit moins d'un mois après la déclaration Schuman, Gabriel Valay, ministre français de l'Agriculture, soumet à Robert Schuman l'idée, inspirée de la mise en commun du charbon et de l'acier, d'un marché commun agricole en Europe.
Le 9 mai 1953, à l'issue d'une cérémonie commémorative de la "Déclaration Schuman", Jean Monnet (à g.), président de la Haute Autorité, et Robert Schuman (à dr.), député de la Moselle, traversent le pont Adolphe à Luxembourg.
Le 9 mai 1953, à l'issue d'une cérémonie commémorative de la "Déclaration Schuman", Jean Monnet (à g.), président de la Haute Autorité, et Robert Schuman (à dr.), député de la Moselle, sortent du siège de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) à Luxembourg.
Le 11 mai 1950, deux jours après la déclaration Schuman, le ministre britannique des Affaires étrangères Ernest Bevin, le ministre français des Affaires étrangères Robert Schuman et le secrétaire d'État américain Dean Acheson se rencontrent à Londres. A cette occasion, Ernest Bevin, mécontent d'avoir été mis devant le fait accompli, expose ses griefs à son homologue français.
Le 20 juin 1950, Robert Schuman (debout, au centre), ministre français des Affaires étrangères, ouvre dans le salon de l'Horloge du Quai d'Orsay à Paris, les négociations intergouvernementales pour la mise en oeuvre du plan Schuman. Cette photo est généralement utilisée pour illustrer la conférence de presse du 9 mai 1950 qu'aucun photographe n'avait alors immortalisée.