Le 24 mars 1956, le service d'information de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) diffuse une note sur la session que l'Assemblée parlementaire de la CECA a tenu sur le thème de la relance européenne, le 16 mars 1956 à Bruxelles. Au cours de cette session l'Assemblée des Six a apporté son soutien politique aux négociations en cours des experts réunis sous la direction de Paul-Henri Spaak. La note constate une convergence des points de vue du monde politique sur les éléments négociés.
Le 10 janvier 1953, la Haute Autorité de la CECA décrit la mise en place des différentes institutions communautaires et se félicite des bonnes relations qui s'établissent entre celles-ci et avec les organismes extérieurs.
Le 21 janvier 1959, la Haute Autorité décide que la définition de l'unité de compte utilisée dans les textes CECA s'identifie à l'unité de compte de l'Accord monétaire européen avec effet au 27 décembre 1958.
Le 20 octobre 1961, Piero Malvestiti, président de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l’acier exprime, devant l’Assemblée parlementaire européenne, son opinion sur la question de la fusion des exécutifs.
De g. à dr.: Walter Hallstein (président de la Commission CEE), Paul Finet (président de la Haute Autorité CECA) et Louis Armand (président de la Commission CEEA ou Euratom), réunis le 13 janvier 1958 à Luxembourg.
Le 8 mai 1956, à l'issue de la Conférence tarifaire de Genève, l'Autriche et la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) signent deux accords : un protocole sur une clause antidumping sur les échanges d'acier en dehors du cadre de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), ainsi qu'un accord tarifaire sur l'abaissement des droits de douane dans le cadre du GATT.
Dans cette note de réflexion du 3 mai 1950, Jean Monnet examine la compatibilité entre le contrôle international appliqué à la Ruhr et l'établissement de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 29 juin 1954, la ville de Liège pose officiellement sa candidature pour le siège de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) en exposant dans un dossier ses arguments et l'appréciation de ces arguments par un collège international d'urbanistes.