Jean Monnet, chargé en tant que Président de la Haute Autorité de la CECA de convoquer la première session de l'Assemblée commune, adresse le 5 septembre 1952 une lettre circulaire aux délégués de l'assemblée. Il leur annonce les décisions prises pour assurer le bon fonctionnement de cette première session, dont l'organisation du Secrétariat provisoire, de même que l'ordre du jour prévu par le Traité: l'élection du Président et du Bureau et l'élaboration du Règlement intérieur.
Le 11 mai 1955 à Strasbourg, Franz Etzel, vice-président de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), insiste devant l'Assemblée commune sur la nécessité d'une réorganisation des industries du charbon en Europe occidentale.
Le 23 novembre 1955 à Strasbourg, Franz Etzel, vice-président de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), détaille devant l'Assemblée commune les premières étapes du programme communautaire de réorganisation des cartels allemands, belges et français du charbon.
Le 11 juin 1992, lors de la session de l'Assemblée permanente des Chambres d'agriculture, le Premier ministre français Pierre Bérégovoy évoque la nouvelle réforme de la politique agricole commune et en détaille les avantages pour l'agriculture française.
Le 16 mars 1956, Paul Struye, membre du Sénat de Belgique, intervient devant l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) pour expliquer qu'en aucun cas l'adhésion de la Belgique à la future Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom) ne doit conduire à l'abandon des acquis diplomatiques du pays relatifs à l'exploitation des gisements d'uranium du Congo.
Le 3 avril 1965, Fernand Dehousse, sénateur socialiste belge et membre du Parlement européen, plaide dans le quotidien Le monde du travail, publié par la Fédération provinciale liégeoise du parti socialiste belge (PSB), en faveur d'une Europe politique, d'une Europe sociale et d'un accroissement des pouvoirs de l'Assemblée afin, notamment, de pouvoir contrôler les dépenses liées à la Politique agricole commune (PAC).