Le 3 juillet 1958, Walter Hallstein, président de la Commission de la Communauté économique européenne, expose les objectifs et les tâches de la conférence agricole de Stresa qui réunit les représentants des six États membres des Communautés.
Du 3 au 12 juillet 1958, à l'occasion de la conférence de Stresa, réunissant les six États membres de la Communauté économique européenne (CEE), Anne Vondeling, ministre néerlandais de l'agriculture, appelle à une meilleure organisation de la politique agricole commune.
Le 4 juillet 1958, Émile Colling, ministre luxembourgeois de l'Agriculture, expose à la conférence agricole qui, du 3 au 12 juillet 1958, réunit à Stresa les représentants des États membres de la Communauté économique européenne (CEE), la portée de la clause de sauvegarde spéciale et l'opinion du gouvernement grand-ducal sur la mise en place d'un marché commun agricole.
Lors de la conférence agricole qui, du 3 au 12 juillet 1958, réunit à Stresa les représentants des États membres de la Communauté économique européenne (CEE), Mario Ferrari-Aggradi, ministre italien de l'Agriculture, expose la situation de l'agriculture italienne face au défi d'une politique agricole commune.
A l'occasion de la conférence de Stresa débutant le 3 juillet 1958, Heinrich Lübke, ministre allemand de l'Agriculture, détaille devant les représentants des États membres de la Communauté économique européenne (CEE) les principales mesures visant à l'établissement d'un marché agricole commun.
Sicco Mansholt, vice-président de la Commission de la CEE en charge des questions agricoles, remercie les délégations des six États membres de la Communauté économique européenne réunies à Stresa du 3 au 12 juillet 1958 pour discuter de la politique agricole commune.
Résolution finale adoptée par les délégations des six États membres de la Communauté économique européenne (CEE) réunies pour la conférence agricole de Stresa, du 3 au 12 juillet 1958.
Les 23 et 24 août 1958, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung examine l'état d'avancement des négociations sur la Politique agricole commune (PAC) et met en lumière les intérêts des agriculteurs allemands.
En novembre 1958, la Confédération européenne de l'agriculture (CEA) exprime son avis sur la résolution adoptée par les délégations des six États membres de la Communauté économique européenne (CEE) à l'issue de la conférence agricole de Stresa (3 au 12 juillet 1958).
Du 3 au 12 juillet 1958, des délégations des Six se réunissent à Stresa (Italie) pour discuter de la mise en place d'une politique agricole commune (PAC) avec Walter Hallstein, président de la Commission européenne, et Sicco Mansholt, commissaire chargé de l'Agriculture.
Dans cette interview, Georges Rencki, ancien directeur adjoint au cabinet de Sicco Mansholt, vice président de la Commission en charge de la politique agricole, se souvient de l'organisation et des résultats de la conférence de Stresa du 3 au 12 juillet 1958 sur la mise en place d'une politique agricole commune.
Dans cette interview, Helmut von Verschuer, ancien membre du cabinet du commissaire Mansholt, évoque la préparation de la Commission à la conférence de Stresa de juillet 1958 et détaille l'importance des résultats de cette conférence pour la mise en place de la Politique agricole commune.
Dans ses propositions au Conseil des ministres, la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) établit un règlement portant sur l'institution d'un régime de prélèvements et sur l'établissement graduel d'une organisation commune des marchés dans le secteur des céréales.
Dans ses propositions au Conseil des ministres, la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) établit un règlement portant sur l'établissement graduel d'une organisation commune des marchés dans le secteur de la viande de porc.
Dans ses propositions au Conseil des ministres, la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) établit un règlement portant sur l'établissement graduel d'une organisation commune des marchés dans le secteur des fruits et des légumes.
Dans ses propositions au Conseil des ministres, la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) établit un règlement portant sur l'établissement graduel d'une organisation commune des marchés dans le secteur des oeufs.
Dans ses propositions au Conseil des ministres, la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) établit un règlement portant sur l'établissement graduel d'une organisation commune des marchés dans le secteur de la viande de volaille.
Dans son rapport sur l'exécution du traité de Rome, la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) fait le point sur les réalisations concernant l'organisation des marchés agricoles jusqu'en janvier 1962.
Le 27 septembre 1960, le journal italien La Giustizia critique les dispositions retenues par le Plan Mansholt afin d'organiser la Politique agricole commune (PAC) et s'inquiète des répercussions sociales du nouveau projet de marché commun agricole.
Dans ses Mémoires, Sicco Mansholt, ancien membre de la Commission des Communautés européennes, évoque les premiers pas difficiles de la Politique agricole commune (PAC).
Sicco Mansholt, vice-président de la Commission européenne et commissaire en charge de l'agriculture de 1958 à 1973, est l'instigateur de la Politique agricole commune (PAC).
Le 14 janvier 1962, au terme de négociations agricoles à l'arraché, Walter Hallstein, président de la Commission européenne, se réjouit de la décision du Conseil des ministres d'accélérer la mise en place de l'union douanière et de la Politique agricole commune (PAC).
Le 14 janvier 1962, au terme de 140 heures de négociations, le premier "marathon agricole" européen aboutit à la décision du Conseil des ministres des Six de passer à la deuxième étape de la période transitoire mais aussi d'organiser des marchés agricoles communs par produit, d'appliquer des règles spécifiques de concurrence et de créer un Fonds européen d'orientation et de garantie agricoles (FEOGA).
En janvier 1962, Sicco Mansholt, vice-président de la Commission européenne chargé de la politique agricole, se félicite de la décision prise par le Conseil des ministres de passer immédiatement à la seconde étape de l'union douanière européenne et d'instaurer la mise en place d'une Politique agricole commune (PAC).
"Eh ! Vous voulez occuper tout l'autobus ?" Le 3 janvier 1962, le caricaturiste britannique Low ironise sur les inquiétudes du chancelier allemand Konrad Adenauer face à l'attitude de Charles de Gaulle, président de la République française, qui tente d'imposer les exigences agricoles de la France à ses cinq partenaires du Marché commun.
Le 20 décembre 1961, le quotidien français Le Monde retrace le déroulement des négociations politiques des Six pour la mise en place d'une politique agricole commune (PAC).
Le 15 janvier 1962, le quotidien italien Corriere della Sera décrit l'importance des mesures adoptées la veille par le Conseil des ministres des Six en faveur de la réalisation de l'Union douanière et de l'application d'un premier paquet de mesures agricoles.
Le 16 janvier 1962, commentant les décisions adoptées deux jours plus tôt à Bruxelles à l'issue du premier "marathon agricole" européen, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung salue la mise en place progressive d'un marché agricole commun.
Le 18 janvier 1962, commentant le train de décisions adoptées par le Conseil des ministres de la Communauté économique européenne (CEE) en matière agricole, François Donati met en garde les lecteurs de L'Intransigeant contre un enthousiasme excessif.
Le 26 janvier 1962, Albert Borschette, représentant permanent du Luxembourg auprès des Communautés européennes, adresse à Eugène Schaus, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, une lettre dans laquelle il commente les décisions du Conseil des ministres sur la Politique agricole commune (PAC).
"Attentat contre l'Europe ?" En février 1962, commentant les négociations en cours sur la politique agricole commune (PAC) entre les représentants des six États membres de la Communauté économique européenne (CEE), le caricaturiste Pi fustige dans le quotidien allemand Industriekurier la position jugée anti-européenne du général de Gaulle, président de la République française.
Dans cette interview, Helmut von Verschuer, ancien membre du cabinet du commissaire Mansholt, se souvient des difficiles négociations autour de la PAC à l'occasion du premier marathon agricole de décembre 1961 à janvier 1962.
La création du Fonds européen d'orientation et de garantie
Le 14 janvier 1962, le quotidien italien Corriere della Sera rend compte de la difficulté pour les Six de parvenir à un accord permettant la mise en place d'un Fonds européen d'orientation et de garantie agricole (FEOGA) destiné à assurer le financement de la Politique agricole commune (PAC).
Le Conseil dans son Règlement n° 25, du 4 avril 1962, relatif au financement de la politique agricole commune institue un Fonds européen d'orientation et de garantie agricole et arrête certaines règles de politique financière. En outre, il décide que les prélèvements perçus sur les importations agricoles en provenance des pays tiers constituent des ressources propres pour la Communauté.
En septembre 1966, commentant l'amélioration des structures agricoles, le mensuel Communauté européenne décrit le fonctionnement du Fonds européen d'orientation et de garantie agricole (FEOGA).