A l'issu du sommet de l'organisation du traité de Varsovie à Berlin-Est le 29 mai 1987, le quotidien français Le Monde discute le 31 mai 1987 la proposition des sept États membres du pacte d'ouvrir des consultations avec l'OTAN sur une réduction mutuelle et contrôlée des forces armées et des armements en Europe en vue d'en finir avec les déséquilibres militaires sur le vieux continent.
Le 6 juillet 1990, les chefs d'État ou de gouvernement des pays membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) publient la déclaration de Londres sur une Alliance de l'Atlantique Nord rénovée. Le texte contient une série de propositions visant à développer la coopération avec les pays d'Europe centrale et orientale (PECO) grâce à une large gamme d'activités politiques et militaires, et notamment par l'établissement de liaisons diplomatiques régulières entre ces pays et l'OTAN.
Le 8 novembre 1991, à l'issue d'une réunion au sommet à Rome, le Conseil de l'Atlantique Nord adopte une déclaration sur la paix et la coopération qui trace la voie à suivre pour réorganiser et rationaliser les structures et les procédures politiques et militaires de l'Alliance en vue de mieux accomplir les nouvelles missions de gestion des crises et de maintien de la paix en Europe.
Le 20 décembre 1991, alors même que des événements à Moscou marquent la disparition de l'Union soviétique, se tient au siège de l'OTAN à Bruxelles la réunion inaugurale du Conseil de coopération nord-atlantique, en présence des ministres des Affaires étrangères et des représentants des seize pays membres de l'OTAN et de neuf pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 22 décembre 1991, au lendemain du Conseil de coopération nord-atlantique (COCONA), le quotidien français Le Monde s'interroge sur la réaction russe face à un élargissement probable de l'OTAN aux pays d'Europe de l'Est.
Le 10 janvier 1994, au Sommet de Bruxelles, les chefs d'État ou de gouvernement des pays membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) lancent le Partenariat pour la paix (PfP), invitant les autres États participants aux travaux du Conseil de coopération nord-atlantique (CCNA) et d'autres pays de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) capables et désireux de participer à ce programme à les rejoindre.
Le 10 janvier 1994, au Sommet de Bruxelles, les chefs d'État ou de gouvernement des pays membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) publient le document cadre du Partenariat pour la paix (PfP).
Le 10 janvier 1994, lors du Sommet de Bruxelles, les chefs d'État ou de gouvernement des pays membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) lancent le Partenariat pour la paix (PfP) et invitent tous les pays partenaires qui participent aux travaux du Conseil de coopération nord-atlantique (CCNA) et d'autres pays membres de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) à les rejoindre.
Le 10 janvier 1994, lors du Sommet de Bruxelles, les chefs d'État ou de gouvernement des pays membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) lancent le Partenariat pour la paix (PfP) et invitent tous les pays partenaires qui participent aux travaux du Conseil de coopération nord-atlantique (CCNA) et d'autres pays membres de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) à les rejoindre.
En février 1994, Manfred Wörner, secrétaire général de l'OTAN et président du Conseil de l'Atlantique Nord, décrit dans la Revue de l'OTAN les nouvelles missions de l'Alliance atlantique.
En 1994, Manfred Wörner, secrétaire général de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et président du Conseil de l'Atlantique Nord, accorde au périodique français Politique internationale un entretien dans lequel il précise le nouveau rôle de l'OTAN et détermine les risques qui pèsent sur la sécurité de l'Europe.
En octobre 1994, Piotr Kolodziejczyk, ministre polonais de la Défense, analyse dans la Revue de l'OTAN les nouvelles relations de partenariat entre la Pologne et l'Alliance atlantique.
En 1994, Willy Claes, ancien ministre belge des Affaires étrangères et secrétaire général de l'OTAN, accorde à la revue française Politique internationale un entretien sur les risques d'instabilité militaire en Europe et sur le renouveau et les missions futures de l'Alliance atlantique.
Le 30 avril 1996, Volker Rühe, ministre allemand de la Défense, expose à la tribune de la Johns Hopkins School for Advanced International Studies/American Institute for Contemporary German Studies de Washington son point de vue sur les nouvelles missions de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
"Un nouveau membre". Au milieu des années quatre-vingt-dix, le caricaturiste Fritz Behrendt illustre le nouveau climat et la collaboration qui s'instaure entre les États membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et la Russie.
Le 9 avril 1997, Mikhaïl Gorbatchev, ancien Premier secrétaire du Parti communiste soviétique et ancien président de l'Union soviétique, réfute dans les colonnes du quotidien français Le Figaro les raisons invoquées pour justifier l'élargissement de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) à l'Est et analyse les effets pour la Russie de l'adhésion à l'Alliance atlantique des anciens pays satellites de l'Union soviétique.
Le 27 mai 1997, est signé à Paris l'Acte fondateur sur les relations, la coopération et la sécurité mutuelles entre l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et la Fédération de Russie.
Le 27 mai 1997, lors du Sommet OTAN-Russie à Paris, Jacques Chirac, président de la République française, souligne les enjeux de la signature de l'Acte fondateur sur les relations, la coopération et la sécurité mutuelles entre l'Alliance atlantique et la Fédération de Russie.
En juin 1997, Javier Solana, secrétaire général de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), publie dans la revue espagnole Política Exterior un article sur le rôle de l'Alliance atlantique dans le monde et particulièrement en Europe à la veille du nouveau millénaire.
En septembre 1997, Jean-Luc Dehaene, Premier ministre de Belgique, souligne l'importance des relations entre l'Union européenne et l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) dans le cadre de l'unification de l'Europe après la fin de la guerre froide.
En avril 1998, Romano Prodi, président du Conseil des ministres italien, s'exprime dans la revue Affari esteri sur la politique de sécurité en Europe à la lumière des changements géopolitiques des dernières années.
En été 2000, François Heisbourg, président du Centre de politique de sécurité de Genève, décrit dans la Revue de l'OTAN le caractère complémentaire des politiques de défense de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et de l'Union européenne et plaide pour un renforcement des capacités militaires de l'Europe pour éviter d'être de plus en plus réduite à jouer un rôle réactif d'une utilité limitée en matière de défense et de sécurité.
En été 2000, commentant les enjeux d'une Identité européenne de sécurité et de défense (IESD), Peter Schmidt, chef du département de la sécurité européenne et atlantique à la Stiftung Wissenschaft und Politik d'Ebenhausen (République fédérale d'Allemagne), explique la nature et les éventuelles conséquences, notamment vis-à-vis de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), des projets de l'Union européenne visant à absorber l'Union de l'Europe occidentale (UEO) et à créer un corps de réaction rapide pour 2003.
Au Sommet de Prague, les chefs d'État et de gouvernement des 19 pays membres de l'OTAN et des 27 pays partenaires examinent les principaux dossiers qui concernent la sécurité et la stabilité euro-atlantiques.