Le 21 décembre 1993, Jean-Jacques Rey, directeur de la Banque nationale de Belgique (BNB), dresse devant la section belge de la Ligue européenne de coopération économique (LECE) un état des lieux de l'Union économique et monétaire (UEM) à la veille du passage, le 1er janvier 1994, à sa deuxième phase.
Le 16 décembre 1995, le Conseil européen de Madrid adopte une feuille de route pour l'introduction de la monnaie unique et décide d'appeler "euro" la monnaie sur laquelle reposera l'Union économique et monétaire (UEM) dont la troisième phase commencera le 1er janvier 1999.
Le 16 décembre 1995, le président français Jacques Chirac tient une conférence de presse dans laquelle il rend compte des résultats engrangés à l'issue du Conseil européen de Madrid.
Le 15 décembre 1995, commentant l'ouverture du Conseil européen de Madrid, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung précise les enjeux de la réunion des chefs d'État ou de gouvernement des Quinze.
Le 16 décembre 1995, commentant les décisions adoptées par les Quinze lors du Conseil européen de Madrid, Dick Spring, ministre irlandais des Affaires étrangères, évoque dans les colonnes du quotidien britannique The Guardian les répercussions négatives pour son pays d'un refus du Royaume-Uni de participer à l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 19 décembre 1995, commentant les résultats du Conseil européen de Madrid, le quotidien français Le Monde analyse les difficultés liées à la mise en place de l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 22 janvier 1996, Jacques Santer, président de la Commission européenne, prononce devant la Table Ronde organisée à Bruxelles sur le lancement de la monnaie unique un discours dans lequel il exprime sa confiance dans les capacités des acteurs économiques et sociaux, publics et privés, de faire de l'introduction puis de la mise en circulation de l'euro un succès.
Le 12 avril 1996, commentant les négociations sur l'Union économique et monétaire (UEM), le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung décrit les scénarios possibles pour l'adoption d'un système européen des taux de change.
Le 23 septembre 1996, le quotidien irlandais The Irish Times salue les progrès réalisés par les ministres des Finances des Quinze, réunis à Dublin le 21 septembre, sur la voie de l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 25 septembre 1996, le quotidien madrilène El País commente le consensus arraché le 21 septembre à Dublin par les ministres des Finances des Quinze en matière d'Union économique et monétaire (UEM).
Le 27 septembre 1996, commentant la réunion du 21 septembre à Dublin des ministres des Finances des États membres de l'Union européenne, l'hebdomadaire allemand Die Zeit dresse un tableau critique de la situation économique dans l'Union européenne.
En novembre 1996, commentant les préparatifs de l'Union économique et monétaire (UEM), le mensuel français Le Monde diplomatique reproche vivement aux autorités allemandes de chercher à imposer à leurs partenaires de l'Union européenne leurs conceptions économiques et monétaires.
A l'issue du Conseil européen de Dublin des 13 et 14 décembre 1996, les Quinze adoptent une série de mesures relatives notamment à la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM) et à la discipline budgétaire, à la lutte contre le chômage et à la Conférence intergouvernementale (CIG) chargée de la révision du traité de Maastricht et des traités instituant les Communautés européennes pour permettre à l'Union européenne de relever les nouveaux défis qui se présentent à elle.
Le 14 décembre 1996, à l'issue du Conseil européen de Dublin, Yves-Thibault de Silguy, membre de la Commission européenne chargé des Affaires économiques et financières, des Affaires monétaires, des crédits, des investissements et de l'Office statistique, présente à la presse le projet du logo et des billets de banque libellés en euros.
Le 26 mai 1997, Ferdinando Riccardi, rédacteur en chef de l'Agence Europe à Bruxelles, se félicite des signes favorables au passage, au 1er janvier 1999, à la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM) et à l'introduction de l'euro.
Le 14 décembre 1995, à la veille du Conseil européen de Madrid, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung décrit les efforts du chancelier allemand Helmut Kohl et de son ministre des Finances Theo Waigel en vue de créer une Union économique et monétaire (UEM) en Europe.
Le 16 décembre 1996, commentant les résultats du Conseil européen de Dublin des 13 et 14 décembre, le quotidien irlandais The Irish Times décrit notamment les difficultés qu'ont rencontrées les ministres des Finances allemand et français pour s'accorder sur les dispositions du pacte de stabilité et de croissance dans le cadre de la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 16 décembre 1996, commentant le Conseil européen de Dublin des 13 et 14 décembre, le quotidien allemand Die Welt salue le rôle de médiateur joué par Jean-Claude Juncker, Premier ministre et ministre des Finances luxembourgeois, lors des débats entre les Quinze sur le pacte de stabilité et de croissance et sur la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM).
En 1997, Helmut Schmidt, ancien chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), explique dans l'hebdomadaire allemand Die Zeit les enjeux économiques et politiques de la monnaie unique européenne à laquelle il est très attaché.
En 1998, Max Baehring, président de l'Union des ouvriers métallurgistes danois, plaide en faveur de la participation du Danemark à l'Union économique et monétaire (UEM).
En 1998, Kjell-Olof Feldt, président du Conseil des gouverneurs de la Banque nationale de Suède, expose les arguments en faveur de la participation de son pays à l'Union économique et monétaire (UEM).
En 1998, Erling Olsen, président du Parlement danois (Folketing), expose ses idées sur les relations entre le Danemark et l'Union économique et monétaire (UEM).
Dans cette brochure, publiée en 1997, sont notamment décrites les étapes successives de la réalisation de l'Union économique et monétaire (UEM) ainsi que les attributions, l'organisation et le fonctionnement de l'Institut monétaire européen (IME).
Le 10 janvier 1994, commentant la première séance de travail du Conseil de l'Institut monétaire européen (IME), le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung détaille les compétences de l'IME.
Le 12 janvier 1994, commentant l'inauguration à Francfort de l'Institut monétaire européen (IME), le quotidien français Le Monde en décrit les missions et les compétences dans le cadre du passage, le 1er janvier 1994, à la deuxième phase de l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 15 février 1996, le baron Alexandre Lamfalussy, président à Francfort de l'Institut monétaire européen (IME), prononce devant l'Institut d'études bancaires et financières de Paris un discours dans lequel il décrit notamment le rôle de l'IME dans la préparation de la mise en place de la future Banque centrale européenne (BCE) et dans l'introduction de la monnaie unique européenne.
Le 22 septembre 1997, Wim Duisenberg, président de l'Institut monétaire européen (IME), prononce lors d'un séminaire bancaire international à Hong Kong un discours dans lequel il décrit les missions et le rôle de l'IME dans la mise en oeuvre du Système européen de banques centrales (SEBC), dans la préparation de l'Union économique et monétaire (UEM) et dans l'introduction de l'euro.
Dans cette interview, Alexandre Lamfalussy, directeur général de la Banque des règlements internationaux (BRI) de 1985 à 1993 et président de l'Institut monétaire européen (IME) de 1994 à 1997, explique les objectifs, la mise en place et les méthodes de travail de l'IME.
Dans cette interview, Alexandre Lamfalussy, directeur général de la Banque des règlements internationaux (BRI) de 1985 à 1993 et président de l'Institut monétaire européen (IME) de 1994 à 1997, décrit les principales décisions prises durant son mandat à la présidence de l'IME, et notamment les instruments de la politique monétaire ainsi que la préparation d'une stratégie de politique monétaire européenne.
Le 31 mai 1995, Yves-Thibault de Silguy, membre de la Commission européenne chargé des Affaires économiques et financières, des Affaires monétaires, des crédits, des investissements et de l'Office statistique, tient une conférence de presse à Bruxelles au cours de laquelle il précise les avantages de la monnaie unique européenne et fixe le calendrier de la réalisation, par étapes successives, de l'Union économique et monétaire (UEM).
Le 16 décembre 1995, le Conseil européen de Madrid adopte une feuille de route pour l'introduction de la monnaie unique et décide d'appeler "euro" la monnaie sur laquelle reposera l'Union économique et monétaire (UEM) dont la troisième phase commencera le 1er janvier 1999.
Le 14 novembre 1996, Jacques Santer, président de la Commission européenne, annonce l'introduction puis la mise en circulation de l'euro et décrit les avantages économiques, monétaires et politiques de la monnaie unique pour les pays de l'Union européenne membres de la zone euro.
Le 14 novembre 1996, Yves-Thibault de Silguy, membre de la Commission européenne chargé des Affaires économiques et financières, des Affaires monétaires, des crédits, des investissements et de l'Office statistique, dresse la liste des avantages de l'euro et décrit la stratégie de communication de la Commission pour expliquer aux citoyens européens les étapes du passage à la monnaie unique.
Le 26 mai 1997, Ferdinando Riccardi, rédacteur en chef de l'Agence Europe à Bruxelles, se félicite des signes favorables au passage, au 1er janvier 1999, à la troisième phase de l'Union économique et monétaire (UEM) et à l'introduction de l'euro.
Le 16 décembre 1995, au lendemain du Conseil européen de Madrid, le quotidien irlandais se montre favorable à la participation de l'Irlande à l'Union économique et monétaire.
Le 22 janvier 1996, Jacques Santer, président de la Commission européenne, prononce devant la Table Ronde organisée à Bruxelles sur le lancement de la monnaie unique un discours dans lequel il exprime sa confiance dans les capacités des acteurs économiques et sociaux, publics et privés, de faire de l'introduction puis de la mise en circulation de l'euro un succès.