Cette brochure, éditée par la Commission en 2000, présente au grand public le financement de l'Union européenne, l'utilisation du budget communautaire, la procédure budgétaire et la manière dont l'Union assure une gestion saine et efficace des dépenses.
Volume II de la communication Agenda 2000, présentée par la Commission européenne le 16 juillet 1997, portant sur le renforcement de la stratégie de pré-adhésion.
Le 16 juillet 1997, la Commission européenne présente ses avis sur les demandes d'adhésion à l'Union européenne en même temps que sa communication Agenda 2000. Ce document en fournit les résumés et les conclusions.
Dans la perspective de l'Agenda 2000, publié en juillet 1997 par la Commission européenne, Elmar Brok, membre du Parlement européen, fait le bilan des travaux de la Conférence intergouvernementale de 1996. Il analyse en détail la révision du traité de Maastricht et souligne la nécessité de l'élargissement de l'Union européenne.
Le 17 juillet 1997, le quotidien madrilène El País craint que l’Agenda 2000 reste trop dans la continuité des politiques européennes menées dans le passé et ne corresponde pas à la réalité de l’avenir européen.
Le 18 juillet 1997, le quotidien français Le Monde critique le peu d'audace du programme de travail de la Commission européenne intitulé "Agenda 2000".
En septembre 1997, le périodique Revue du Marché commun et de l'Union européenne analyse l'impact de l'élargissement de l'Union européenne sur l'Agenda 2000.
Le 6 novembre 1997, le député socialiste Henri Nallet présente, au nom de la délégation de l'Assemblée nationale française pour l'Union européenne qu'il préside, un rapport d'information détaillé sur l'Agenda 2000 à ses collègues parlementaires.
En novembre 1997, Pierluigi Castagnetti, député européen et chef de la délégation italienne du Parti populaire européen (PPE) au Parlement européen, examine les dispositions de l'Agenda 2000.
Le 10 décembre 1997, suite à l'appel de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) et du Centre national des jeunes agriculteurs (CNJA), plusieurs milliers d'agriculteurs manifestent dans les rues de Valence (Drôme) contre le projet de réforme de la politique agricole commune (PAC) contenue dans l'Agenda 2000 (paquet Santer).
Le 26 mars 1999, lors du Conseil européen de Berlin, les Quinze adoptent l'Agenda 2000 qui fixe un programme d'action relatif au fonctionnement interne de l'Union européenne, à la mise en place d'un nouveau cadre financier, à la réforme de la politique agricole commune (PAC) et au processus de préadhésion des pays candidats avant l'élargissement de l'UE.
Le 1er mars 1999, le quotidien viennois Die Presse pointe les difficultés des États membres de l'Union européenne à assumer leurs responsabilités politiques dans le cadre des réformes nécessaires à entamer afin de garantir le bon fonctionnement de l'UE.
Le 10 février 1999, des agriculteurs allemands manifestent devant les bâtiments du Parlement européen à Strasbourg pour dénoncer le caractère qu'ils jugent trop bureaucratique de l'Agenda 2000 et pour s'opposer à la réforme de la Politique agricole commune (PAC) que prépare la Commission européenne.
Le 26 février 1999, des agriculteurs allemands manifestent à Bonn contre les réformes agricoles prévues par l'Agenda 2000 en marge du sommet informel entre les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze.
Le 18 mars 1999, suite à la démission collective, le 15 mars, de la Commission européenne présidée par Jacques Santer, Joschka Fischer, ministre allemand des Affaires étrangères, fait le point sur l'état des négociations relatives à l'Agenda 2000.
Le Conseil européen de Berlin (24 et 25 mars 1999)
Le 24 mars 1999, Peter Hartmann, ambassadeur de la République fédérale d'Allemagne (RFA) à Paris, commente la question du financement de l'Union européenne et met en lumière les enjeux de l'Agenda 2000.
En mars 1999, au lendemain de la démission collective de la Commission européenne et à la veille du sommet de Berlin sur l'Agenda 2000, l'hebdomadaire allemand Die Zeit analyse les efforts poursuivis par le chancelier Gerhard Schröder pour sortir l'Europe de la crise.
Le 23 mars 1999, commentant les enjeux du Conseil européen de Berlin des 24 et 25 mars, le quotidien britannique The Guardian décrit les efforts des gouvernements allemand et britannique pour dégager un accord politique sur le rabais de la contribution du Royaume-Uni au budget communautaire.
Le 24 mars 1999, en pleine crise de la Commission européenne, le quotidien français Libération évoque l'enjeu principal du Conseil européen de Berlin, qui est l'adoption de l'Agenda 2000.
Le 24 mars 1999, le quotidien bavarois Süddeutsche Zeitung commente la position du chancelier allemand Gerhard Schröder lors du Conseil européen de Berlin des 24 et 25 mars.
Le Conseil européen de Berlin (24 et 25 mars 1999)
Le 24 mars 1999, en marge du Conseil européen extraordinaire consacré au cadre financier de la Politique agricole commune (PAC), des milliers d'agriculteurs allemands manifestent dans les rues de Berlin contre les mesures de réforme agricole contenues dans l'Agenda 2000.
Le 25 mars 1999, le Conseil européen de Berlin parvient à un accord global sur l'Agenda 2000 et fixe de nouvelles perspectives financières pour l'Union européenne pour la période 2000-2006.
A l'issue du Conseil européen extraordinaire de Berlin des 24 et 25 mars 1999, les chefs d'État et de gouvernement des quinze pays membres de l'Union européenne entérinent la mise en route de la nouvelle politique agricole commune (PAC) et les perspectives financières de l'Agenda 2000.
Le 26 mars 1999, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung commente les efforts poursuivis par les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze lors du Conseil européen de Berlin des 24 et 25 mars pour trouver un accord sur les réformes agraires, structurelles et financières contenues dans l'Agenda 2000.
Le 26 mars 1999, le quotidien madrilène El País décrit les négociations entre les quinze États membres de l’Union européenne lors du Conseil européen de Berlin des 24 et 25 mars 1999. Après de longs et difficiles débats sur l’Agenda 2000, les Quinze parviennent à un «compromis global».
Le 26 mars 1999, le quotidien britannique The Guardian commente la lutte de Tony Blair, Premier ministre britannique, au Conseil européen de Berlin des 24 et 25 mars pour maintenir les réductions accordées au Royaume-Uni dans le financement du budget communautaire.
Le 26 mars 1999, commentant les résultats du Conseil européen de Berlin des 24 et 25 mars, le quotidien allemand Die Welt rend compte de la tentative des quatre États contributeurs nets de l'Union européenne (Pays-Bas, Autriche, Suède et Allemagne) de réduire leur apport au budget communautaire.
Le 26 mars 1999, à l'issue du Conseil européen extraordinaire de Berlin, Jacques Chirac, président de la République française, et Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes de la France, tiennent une conférence de presse au cours de laquelle ils dressent le bilan des négociations entre les Quinze au sujet, notamment, de l'Agenda 2000.
Le 27 mars 1999, évoquant le sommet de Berlin, le quotidien français Le Monde se félicite de l'adoption par les Quinze des propositions avancées par la Commission européenne pour appliquer l'Agenda 2000 qui fixe le cadre financier de l'Union européenne pour la période 2000-2006.
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002, critique les résultats du Conseil européen de Berlin des 24 et 25 mars 1999 au cours duquel est adopté l'Agenda 2000 qui fixe un programme d'action relatif au fonctionnement interne de l'Union européenne, à la mise en place d'un nouveau cadre financier, à la réforme de la Politique agricole commune (PAC) et au processus de préadhésion des pays candidats avant le cinquième élargissement de l'UE.
Accord interinstitutionnel, du 6 mai 1999, entre le Parlement européen, le Conseil et la Commission sur la discipline budgétaire et l'amélioration de la procédure budgétaire.
Le 26 novembre 2003, Noëlle Lenoir, ministre française déléguée aux Affaires européennes, présente au Sénat à Paris le projet de budget de l'Union européenne pour l'année 2004 et ses conséquences sur le budget national français.
Le 25 octobre 2004, Claudie Haigneré, ministre française déléguée aux Affaires européennes, présente à l'Assemblée nationale le projet de contribution de la France au budget de l'Union européenne pour l'année 2005.