Le 7 mai 1957, saluant la signature le 25 mars à Rome des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), le Comité d'action pour les États-Unis d'Europe (CAEUE) adopte une résolution dans laquelle il invite les parlements des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) à ratifier au plus vite les traités que ceux-ci ont signés.
Le 13 mai 1957, Jean Monnet, président du Comité d'action pour les États-Unis d'Europe (CAEUE), adresse à Cornelius Wilhelmus van Wingerden, président de la Fédération des syndicats néerlandais et membre du CAEUE, une lettre dans laquelle il plaide pour une ratification rapide des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) signés le 25 mars 1957 à Rome par les représentants des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
En avril 1957, Heinrich von Brentano, ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA), livre ses impressions sur les enjeux que représentent pour l'avenir de l'Allemagne et de l'Europe les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 9 mai 1957, décidé à analyser en détail les traités de Rome, le Bundestag décide en première lecture de créer une commission parlementaire spéciale Marché commun/Euratom.
En juillet 1957, la direction Europe du ministère français des Affaires étrangères commente la procédure de ratification en République fédérale d'Allemagne (RFA) - le 3 mai 1957 par le Bundesrat et le 5 juillet par le Bundestag - des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) signés le 25 mars 1957 à Rome par les représentants des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 4 juillet 1957, à l'occasion de la troisième lecture au Bundestag du projet de loi sur les traités du 25 mars 1957 instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), les groupes parlementaires du parti chrétien-démocrate (CDU), du parti chrétien-social (CSU) et du parti allemand déposent ensemble une proposition de résolution qui fixe les objectifs à respecter par le gouvernement de Bonn dans la participation de la République fédérale d'Allemagne (RFA) au Marché commun.
Le 5 juillet 1957, suite à l'avis favorable du 28 juin de la Commission parlementaire spéciale instituée le 9 mai, le Bundestag adopte en deuxième et en troisième lectures les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom).
Le 6 juillet 1957, Maurice Couve de Murville, ambassadeur de France à Bonn adresse à Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères, un télégramme dans lequel il évoque les débats au Bundestag sur la ratification des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 13 juillet 1957, le Bulletin de l'Office de presse et d'information du gouvernement de la République fédérale d'Allemagne (RFA) salue la ratification par le Bundestag des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 27 juillet 1957, le Bundestag, en accord avec le Bundesrat, arrête la loi de ratification des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
"Le long du monument. Est-ce qu'avec le Marché commun européen tout deviendra meilleur marché, comme cela est le cas pour le charbon, depuis que je suis dans la CECA ?" Le 19 octobre 1957, le caricaturiste allemand Köhler illustre dans le quotidien Deutsche Zeitung les espoirs suscités en République fédérale d'Allemagne (RFA) par la mise en œuvre de la Communauté économique européenne (CEE).
"Adenauer fait son marché commun". Le 4 avril 1957, le quotidien communiste belge Le Drapeau rouge fustige les dangers de la Communauté économique européenne (CEE) et dénonce une complaisance du chancelier Konrad Adenauer à l'égard des cartels industriels de la République fédérale d'Allemagne (RFA).
Le 12 avril 1957, Gaston Moulin, député communiste belge, publie dans Le Drapeau rouge, organe central du Parti communiste de Belgique, un article sur la menace que fait peser, selon lui, la Communauté économique européenne (CEE) sur la classe ouvrière.
Le 26 novembre 1957, à l'occasion des débats parlementaires au Sénat de Belgique, Fernand Dehousse, sénateur socialiste liégeois et militant fédéraliste européen, explique de façon détaillée pourquoi il est favorable à la ratification par l'Assemblée des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 décembre 1957, le Moniteur belge publie la loi du 2 décembre 1957 qui porte approbation par le Parlement de Belgique (Chambre et Sénat) des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) et autres actes connexes.
En décembre 1957, Raymond Scheyven, député catholique de Bruxelles, déplore la manière dont les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA) ont été soumis à ratification par le Parlement belge et formule une série de critiques à l'encontre des traités.
En février 1957, dans la perspective des futurs débats à l'Assemblée nationale française pour la ratification des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom), Jean François-Poncet, secrétaire général de la délégation française chargée de négocier les traités instituant le Marché commun et l'Euratom, adresse aux membres de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée une note dans laquelle il décrit les avancées de la négociation de Val Duchesse et les prises de position de la délégation française.
En 1957, à l'occasion des débats à l'Assemblée nationale sur la ratification des traités de Rome, l'organisation française du mouvement européen rédige un document qui analyse les arguments présentés par les détracteurs du marché commun européen et met en évidence les avantages du traité CEE pour la France.
Le 4 avril 1957, à l'occasion des débats à l'Assemblée nationale sur la ratification des traités de Rome, le quotidien français L'Aurore pose la question de l'état de préparation de la France aux nouvelles exigences du futur marché commun européen.
Le 15 mai 1957, dans le cadre du processus de ratification des traités de Rome, Bernard Lavergne, professeur honoraire à la faculté de droit de Paris, économiste et militant dans les mouvements socialistes français dénonce avec virulence les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Le 29 juin 1957, évoquant la ratification par le Parlement français des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), l'hebdomadaire régional français Le Nord industriel et commercial fait part de ses inquiétudes par rapport aux dangers potentiels du Marché commun sur l'économie du pays.
Le 3 juillet 1957, commentant les débats de ratification à l'Assemblée nationale française, Pathé Journal (Paris) explique l'importance économique et agricole du traité signé à Rome le 25 mars 1957 par les Six qui créent ainsi la Communauté économique européenne (CEE).
Le 4 juillet 1957, sur la base des travaux menés par le ministère français de l'Industrie et du Commerce, le mensuel économique français L'Usine nouvelle détaille les problèmes que pose à l'économie nationale la mise en place de la future Communauté économique européenne (CEE), notamment en ce qui concerne l'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM).
Tirant les enseignements économiques et politiques de la crise de Suez et des problèmes d'approvisionnement pétrolier qu'elle a engendrés dès la fin de l'année 1956, les Six, et singulièrement la France, décident la mise en oeuvre d'Euratom qui vise, dans l'avenir, à faire du secteur nucléaire une source d'énergie abondante et bon marché.
Le 9 juillet 1957, le quotidien français Combat expose les risques d'une ratification trop hâtive des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) compte tenu notamment de l'état d'impréparation de la France.
Le 9 juillet 1957, l'Assemblée nationale française vote le projet de loi autorisant le président de la République à ratifier le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) et ses annexes, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA) et la convention relative à certaines institutions communes aux Communautés européennes signés à Rome le 25 mars 1957.
Le 9 juillet 1957, le caricaturiste français Pinatel illustre dans le quotidien parisien Combat la crainte des Français face au risque d'un retour de la puissance économique de la République fédérale d'Allemagne (RFA) en cas de ratification du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE).
"J'espère que ce n'est pas destiné qu'aux sorties !... Est-ce que ça m'amènera aussi quelques rentrées ?" Le 10 juillet 1957, commentant les débats de ratification par le Parlement français des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA), le caricaturiste Pinatel illustre dans le quotidien parisien Combat le fossé qui sépare les dirigeants politiques (de g. à dr.: Pierre Mendès France, Christian Pineau et Robert Schuman) et la population par rapport aux avantages des nouveaux traités européens.
Le 10 juillet 1957, l'Assemblée nationale française adopte, par 342 voix contre 239, le projet de loi qui autorise René Coty, président de la République française, à ratifier les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) signés le 25 mars 1957 à Rome par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 2 août 1957, est promulguée dans le Journal officiel de la République française la loi qui autorise René Coty, président de la République française, à ratifier le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) et ses annexes, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) et la convention relative à certaines institutions communes aux Communautés européennes, signés à Rome le 25 mars 1957 par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
En juillet-août 1957, évoquant leur ratification par le Parlement français, la revue d'obédience socialiste Cahiers internationaux dresse un tableau critique des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
En juillet-août 1957, évoquant la ratification par le Parlement français des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA), Jean Duret, directeur du Centre d'études économiques de la Confédération générale du travail (CGT) et membre du Conseil économique français, critique les options économiques du gouvernement français et pointe les menaces qu'elles font peser sur la classe ouvrière.
Dans une interview réalisée le 26 mars 1997, à Bruxelles, à l'occasion de la commémoration du quarantième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Jean-François Deniau, ancien membre de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque les réactions de certaines catégories de la société française lors du débat sur la ratification des traités.
Lors du colloque organisé du 25 au 28 mars 1987 à Rome pour commémorer le trentième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Christian Pineau, ancien ministre français des Affaires étrangères, rend compte de la volonté du gouvernement de Paris de faire ratifier au plus vite par l'Assemblée nationale les traités CEE et CEEA.
Le 26 juillet 1957, Randolfo Pacciardi, député républicain italien, prononce devant la Chambre des députés un discours dans lequel il invite l'Assemblée à ratifier les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 26 juillet 1957, Gaetano Martino, ancien ministre italien des Affaires étrangères, prononce devant la Chambre des députés italienne un discours dans lequel il plaide en faveur de l'adoption du projet de loi visant à autoriser Giovanni Gronchi, président de la République italienne, à ratifier le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) et ses annexes, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) et la convention relative à certaines institutions communes aux Communautés européennes, signés à Rome le 25 mars 1957 par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 30 juillet 1957, Attilio Piccioni, ancien ministre italien des Affaires étrangères et président du groupe parlementaire démocrate chrétien, prononce devant la Chambre des députés italienne un discours dans lequel il plaide en faveur de l'adoption du projet de loi visant à autoriser Giovanni Gronchi, président de la République italienne, à ratifier le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) et ses annexes, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) et la convention relative à certaines institutions communes aux Communautés européennes, signés à Rome le 25 mars 1957 par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 14 octobre 1957, est promulguée dans la Gazzetta ufficiale la loi qui autorise Giovanni Gronchi, président de la République italienne, à ratifier le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) et ses annexes, le traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) et la convention relative à certaines institutions communes aux Communautés européennes, signés à Rome le 25 mars 1957 par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Dans cette interview, Bino Olivi, ancien fonctionnaire auprès de la Direction générale de la concurrence de la Commission de la Communauté économique européenne (CEE), explique les enjeux économiques des traités de Rome pour l'Italie et revient sur le débat politique de l'époque entre les différents partis politiques italiens sur cette question.
Le 6 août 1957, Pierre Saffroy, ambassadeur de France au Luxembourg, adresse à Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères, une lettre dans laquelle il décrit les projets de loi déposés par le gouvernement grand-ducal en vue de la ratification par la Chambre des députés luxembourgeoise des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (Euratom).
Le 10 septembre 1957, à l'occasion des débats de ratification des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) à la Chambre des députés du Luxembourg, la Chambre de commerce luxembourgeoise rend son avis sur les points essentiels du Marché commun et notamment ses répercussions sur l'économie nationale.
Le 27 septembre 1957, le Conseil d'État luxembourgeois exprime son opinion sur les points majeurs du projet de loi portant approbation des traités instituant la Communauté économique européenne et la Communauté européenne de l'énergie nucléaire.
En 1957, à l'occasion des débats de ratification des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) à la Chambre des députés du Luxembourg, la Centrale paysanne luxembourgeoise se prononce sur les aspects essentiels de la CEE et étudie les répercussions du Marché commun sur l'agriculture nationale.
Le 19 novembre 1957, en ouverture des débats de ratification à la Chambre des députés du Luxembourg, Pierre Werner, ministre des Finances, prononce au nom du Premier ministre absent un discours sur les aspects économiques et institutionnels des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 19 novembre 1957, à l'occasion des débats de ratification des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) à la Chambre des députés du Luxembourg, le quotidien socialiste luxembourgeois Tageblatt se félicite du renouveau de la solidarité européenne.
Le 20 novembre 1957, à l'occasion des débats à la Chambre des députés du Luxembourg sur la ratification des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Eugène Schaus, membre du Parti démocratique luxembourgeois, passe en revue les possibles répercussions des traités sur le Luxembourg.
Le 21 novembre 1957, à l'occasion des débats de ratification des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) à la Chambre des députés du Luxembourg, le quotidien Luxemburger Wort expose les avantages pour l'Europe et pour le Luxembourg du Marché commun et de l'union douanière.
Le 26 novembre 1957, la Chambre des députés du Luxembourg adopte le projet de loi autorisant la Grande-Duchesse Charlotte à ratifier les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) signés le 25 mars 1957 à Rome par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 3 décembre 1957, est publiée au Mémorial du Grand-Duché de Luxembourg la loi du 30 novembre 1957 portant approbation du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE), de ses annexes, de ses protocoles et de sa convention additionnels signés à Rome le 25 mars 1957 et à Bruxelles le 17 avril 1957 par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 3 décembre 1957, est publiée au Mémorial du Grand-Duché de Luxembourg la loi du 30 novembre 1957 portant approbation par le pays du traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), de ses annexes et de ses protocoles additionnels signés à Rome le 25 mars 1957 et à Bruxelles le 17 avril 1957 par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 7 décembre 1957, le journal syndical luxembourgeois Arbecht commente la ratification par la Chambre des députés nationale des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
En juillet 1957, les organisations patronales néerlandaises rendent publiques leurs positions par rapport aux traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
En 1957, le Conseil économique et social néerlandais, qui rassemble les représentants du patronat et des syndicats, rend public son avis sur la Communauté économique européenne (CEE) et sur la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 1er octobre 1957, lors des débats de la Deuxième Chambre des Pays-Bas sur la ratification du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE), la majorité des députés soutient la ratification malgré le caractère imparfait du traité au regard des exigences néerlandaises.
Le 3 octobre 1957, Joseph Luns, ministre néerlandais des Affaires étrangères, prononce devant la Deuxième Chambre des Pays-Bas un discours dans lequel il explique aux députés les raisons de son engagement en faveur de la ratification, malgré ses lacunes, du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE).
Le 5 octobre 1957, le quotidien libéral néerlandais Nieuwe Rotterdamse Courant commente l'adoption, la veille, par la Chambre des députés néerlandaise de la loi de ratification du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) par 114 voix contre 12.
Le 5 octobre 1957, le quotidien catholique néerlandais De Volkskrant commente l'adoption la veille par la Deuxième Chambre néerlandaise de la loi de ratification des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Le 12 octobre 1957, commentant l'adoption, le 4 octobre, de la loi de ratification du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) par la Chambre des députés néerlandaise, le périodique amstellodamois Vrij Nederland décrit les enjeux du futur Marché commun.
Le 5 décembre 1957, paraît au Staatsblad van het Koninkrijk der Nederlanden la loi de ratification par les Pays-Bas du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE), de ses annexes, de ses protocoles et de sa convention additionnels signés à Rome le 25 mars 1957 et à Bruxelles le 17 avril 1957 par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 5 décembre 1957, paraît au Staatsblad van het Koninkrijk der Nederlanden la loi de ratification par les Pays-Bas du traité instituant la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), de ses annexes et de ses protocoles additionnels signés à Rome le 25 mars 1957 et à Bruxelles le 17 avril 1957 par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 5 décembre 1957, le quotidien libéral néerlandais Nieuwe Rotterdamse Courant commente l'adoption par le Sénat néerlandais de la loi de ratification des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) signés le 25 mars 1957 à Rome par les représentants des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Les 3 et 4 décembre 1957, lors des débats de la Première Chambre des Pays-Bas sur la ratification du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE), la majorité des sénateurs, hormis Harm van Riel et Geert de Grooth, se prononce en faveur de la ratification malgré le caractère imparfait du traité au regard des exigences néerlandaises.