Le 3 mai 1995, le quotidien Luxemburger Wort dresse avec Jacques Santer, président de la Commission européenne, un bilan des cent premiers jours de travail de la nouvelle Commission et pointe les prochains défis de la construction européenne.
Le 5 juin 1996, la Commission européenne rend publique une communication qui définit le cadre et les objectifs du Pacte européen de confiance pour l'emploi, notamment en ce qui concerne les engagements des partenaires sociaux et des autorités publiques pour mieux lutter contre le chômage.
Le 5 juin 1996, Jacques Santer, président de la Commission européenne, décrit devant le Parlement européen les objectifs du Pacte européen de confiance pour l'emploi adopté le jour-même par la Commission pour mieux lutter contre le chômage.
Le 19 juin 1996, à la veille du Conseil européen de Florence des 21 et 22 juin, Ramón de Miguel, secrétaire d'État espagnol chargé des relations avec l'Union européenne, souligne dans le quotidien madrilène El País la nécessité de trouver une solution à la crise politique provoquée par la maladie de la "vache folle".
Les 21 et 22 juin 1996, le Conseil européen de Florence détaille les actions à mener en faveur de l'emploi et de la croissance en Europe sur la base, notamment, du Pacte européen de confiance pour l'emploi adopté le 5 juin par la Commission pour mieux lutter contre le chômage.
Les 21 et 22 juin 1996, les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze, réunis lors du Conseil européen de Florence, adoptent une série de mesures relatives notamment à l'emploi, à la réforme du marché du travail, à l'aide aux petites et moyennes entreprises (PME) et à la sécurité alimentaire.
"Photo de groupe avec bœuf". Pour le caricaturiste allemand Hanel, la crise de la "vache folle" monopolise les débats entre les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze lors du Conseil européen de Florence des 21 et 22 juin 1996.
Le 24 juin 1996, commentant les résultats du Conseil européen de Florence des 21 et 22 juin, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung fustige la politique européenne britannique et l'attitude du Premier ministre John Major.
Le 24 juin 1996, commentant les résultats du Conseil européen de Florence des 21 et 22 juin, le quotidien La Libre Belgique dénonce la politique européenne de John Major, Premier ministre britannique, dans le contexte de la crise provoquée par la maladie de la "vache folle".
Le 4 novembre 1996, le quotidien français Le Monde dresse le portrait de Jacques Delors, président de la Commission européenne, et décrit les enjeux du Pacte européen de confiance pour l'emploi adopté le 5 juin par la Commission pour mieux lutter contre le chômage.
Le 12 novembre 1997, Jacques Santer, président de la Commission européenne, tient à Bruxelles une conférence de presse au cours de laquelle il détaille les enjeux du Conseil extraordinaire sur l'emploi qui doit s'ouvrir à Luxembourg le 20 novembre 1997.
Le 28 avril 1999, la Commission européenne décide de créer l'Office européen de lutte antifraude (OLAF) afin notamment de combattre la fraude, la corruption et toute autre activité illégale portant atteinte aux intérêts financiers des Communautés européennes.
Le 14 janvier 1999, le quotidien communiste français L'Humanité décrit la crise politique qui oppose une partie du Parlement européen à la Commission européenne que préside Jacques Santer.
Le 15 mars 1999, le Comité d'experts indépendants chargé d'enquêter sur les allégations de fraude, de mauvaise gestion ou de népotisme au sein de la Commission européenne remet son premier rapport.
Le 16 mars 1999, Jacques Santer, président de la Commission européenne, fait une déclaration relative à la démission, la veille, de tous les membres du collège suite au rapport du Comité des experts indépendants.
Le 17 mars 1999, les membres de la Commission européenne expliquent quelles sont leur intentions suite à leur démission collective, deux jours plus tôt, en réaction au rapport du Comité des experts indépendants.
Le 17 mars 1999, commentant l'annonce par Jacques Santer de la démission collective de la Commission européenne qu'il préside, le quotidien français Le Monde examine la teneur du rapport du Comité des experts indépendants.
Le 17 mars 1999, commentant la démission collective de la Commission européenne présidée par Jacques Santer, le quotidien français Libération dresse le bilan de l'action menée à Bruxelles par l'ancien Premier ministre luxembourgeois.
En mars 1999, Karel Van Miert, commissaire européen en charge de la concurrence, explique dans l'hebdomadaire allemand Die Zeit les raisons de la démission collective de la Commission européenne présidée par Jacques Santer en réaction au rapport du Comité des experts indépendants.
Le 23 mars 1999, le Parlement européen adopte une résolution sur la démission de la Commission européenne présidée par Jacques Santer et sur la nomination d'une nouvelle Commission.
En avril 1999, la Revue du Marché commun et de l'Union européenne commente la démission collective de la Commission européenne présidée par Jacques Santer et évoque les accusations portées à son encontre.
En avril 1999, commentant la démission collective de la Commission européenne présidée par Jacques Santer, Bernard Cassen insiste dans le mensuel français Le Monde diplomatique sur la nécessité d'une plus grande implication des parlements nationaux pour combler le "déficit démocratique" qui, selon lui, affecte le fonctionnement des institutions communautaires.
Le 17 mars 1999, Édith Cresson, membre de la Commission européenne présidée par Jacques Santer, s'explique dans les colonnes du quotidien La Libre Belgique sur son implication dans les révélations qui ont conduit, deux jours plus tôt, à la démission collective du collège.
Ancien Premier ministre français et membre depuis janvier 1995 de la Commission européenne présidée par Jacques Santer, Édith Cresson est mise en cause dans les allégations de fraude qui conduisent, en mars 1999, à la démission collective de la Commission.
Vice-président depuis janvier 1995 de la Commission européenne présidée par Jacques Santer, l'Espagnol Manuel Marín est mis en cause dans les allégations de fraude qui conduisent, en mars 1999, à la démission collective de la Commission.
Le 14 juillet 1999, Jacques Santer, président démissionnaire de la Commission européenne, tient à Bruxelles une conférence de presse au cours de laquelle il dresse le bilan des travaux réalisés par son équipe depuis son entrée en fonction en janvier 1995.
Le 17 mars 1999, commentant la démission collective, deux jours plus tôt, de la Commission européenne présidée par Jacques Santer, le quotidien La Libre Belgique dresse le bilan des travaux du collège et retrace les événements qui ont conduit à sa démission.
Le 14 juillet 1999, la Commission européenne que préside Jacques Santer tient à Bruxelles sa réunion de travail hebdomadaire afin de traiter les affaires courantes et urgentes suite à sa démission collective et dans l'attente de la désignation d'un nouveau collège.
"Là se trouve l'erreur !" En 1999, le caricaturiste allemand Fritz Behrendt illustre la crise que traverse la Commission européenne présidée par Jacques Santer et critiquée pour sa mauvaise gestion financière et administrative.
En 1999, le caricaturiste allemand Walter Hanel ironise sur l'attentisme de Jacques Santer pour imposer son autorité sur la Commission européenne qu'il préside et qui doit faire face à des soupçons croissants de corruption.
Dans cette interview, Jacques Santer, ancien président de la Commission européenne, évoque les raisons et les circonstances qui l'ont amené à présenter, le 15 mars 1999, la démission collective du collège.
Dans cette interview, Nicole Fontaine, députée au Parlement européen de 1984 à 2002, retrace les circonstances ayant mené à l'adoption, le 23 mars 1999, par le Parlement européen, d'une résolution sur la démission de la Commission européenne présidée par Jacques Santer et sur la nomination d'une nouvelle Commission.
A l'issue du Conseil européen extraordinaire de Berlin des 24 et 25 mars 1999, les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze adoptent une déclaration sur la désignation de Romano Prodi, ancien président du Conseil italien, à la présidence de la Commission européenne.
Le 25 mars 1999, le quotidien français Libération commente la décision, lors du Conseil européen extraordinaire de Berlin, de désigner Romano Prodi, ancien président du Conseil italien, à la présidence de la Commission européenne.
Le 25 mars 1999, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung décrit l'action du chancelier allemand Gerhard Schröder au Conseil européen extraordinaire de Berlin des 24 et 25 mars pour obtenir la désignation de Romano Prodi, ancien président du Conseil italien, à la présidence de la Commission européenne.
Le 25 mars 1999, le quotidien Luxemburger Wort salue la désignation le jour même de Romano Prodi, ancien président du Conseil italien, à la présidence de la Commission européenne à l'issue du Conseil européen extraordinaire de Berlin.
Le 25 mars 1999, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung dresse le portrait de Romano Prodi, ancien président du Conseil italien, suite à sa désignation par les Quinze au poste de président de la Commission européenne.
Le 27 mars 1999, suite à la démission collective de la Commission européenne présidée par Jacques Santer, le quotidien français Le Monde dresse le portrait de Romano Prodi, ancien président du Conseil italien, désigné deux jours plus tôt par les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze pour lui succéder.
Le 3 mai 1999, à la veille de la décision du Parlement européen sur la désignation de Romano Prodi, ancien président du Conseil italien, à la présidence de la Commission européenne, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung rappelle les défis à relever par les membres de la prochaine Commission.
Le 5 mai 1999, le Parlement européen adopte une résolution par laquelle il approuve la désignation de Romano Prodi, ancien président du Conseil italien, à la présidence de la Commission européenne.
Le 11 juillet 1999, le quotidien français Le Monde dresse le portrait de la nouvelle Commission européenne présidée par Romano Prodi, ancien président du Conseil italien, et commente le problème de légitimité auquel se trouve confronté le collège.
Le 14 septembre 1999, Romano Prodi, président désigné de la Commission européenne, s'adresse aux membres du Parlement européen pour leur demander de lui octroyer, le lendemain, l'investiture pour la période 1999-2004.
Le 18 septembre 1999, lors de leur première réunion officielleà Bruxelles, les vingt membres de la Commission européenne présidée par Romano Prodi posent pour une photo de famille. Assis, de g. à dr.: Neil Kinnock, Romano Prodi, Loyola de Palacio del Valle-Lersundi. Debout, de g. à dr.: Günter Verheugen, Chris Patten, Frits Bolkestein, Pedro Solbes Mira, Michel Barnier, Anna Diamantopoulou, Viviane Reding, Michaele Schreyer, António Vitorino, Erkki Liikanen, Margot Wallström, Mario Monti, Pascal Lamy, Franz Fischler, David Byrne, Philippe Busquin et Poul Nielson.
Le 15 septembre 1999, le Parlement européen réuni à Strasbourg sous la présidence de Nicole Fontaine vote l'investiture à la Commission européenne présidée par l'Italien Romano Prodi.
Le 15 septembre 1999, le Parlement européen approuve la nomination de Romano Prodi, ancien président du Conseil italien, à la tête de la Commission européenne en remplacement de Jacques Santer démissionnaire.