En 1952, Fernand Dehousse, sénateur socialiste belge et militant pro-européen, détaille dans les colonnes de la revue française Notre Europe la position de la Belgique vis-à-vis du plan Schuman.
Le 19 mars 1951, Louis Pierson écrit à Fernand Dehousse, sénateur socialiste belge et très actif militant pro-européen, pour s'insurger contre l'attitude du gouvernement et des milieux charbonniers belges à l'égard du plan Schuman.
Le 11 octobre 1972 à Bruxelles, le Belge Fernand Dehousse, ancien président de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, donne une conférence à l'Institut royal des relations internationales (IRRI) sur les enjeux du sommet de Paris des 19, 20 et 21 octobre.
Le 22 octobre 1958, un groupe de travail pour les élections européennes est constitué au sein de la commission des Affaires politiques de l'Assemblée parlementaire européenne (APE). Le 30 avril 1960, il soumet un rapport, dit "Rapport Dehousse", sur l'élection de l'Assemblée au suffrage universel direct, qui sera adopté le 17 mai 1960.
Lors du deuxième congrès du Mouvement européen à la Haye du 8 au 10 octobre 1953, le socialiste belge Fernand Dehousse, membre actif de la commission constitutionnelle de l'Assemblée ad hoc en charge de la rédaction du projet de la Communauté politique européenne (CPE), présente un rapport détaillé sur la nature et sur le fonctionnement de ses institutions.
Jean Monnet, chargé en tant que Président de la Haute Autorité de la CECA de convoquer la première session de l'Assemblée commune, adresse le 5 septembre 1952 une lettre circulaire aux délégués de l'assemblée. Il leur annonce les décisions prises pour assurer le bon fonctionnement de cette première session, dont l'organisation du Secrétariat provisoire, de même que l'ordre du jour prévu par le Traité: l'élection du Président et du Bureau et l'élaboration du Règlement intérieur.
En avril 1953, Fernand Dehousse, représentant belge à l'Assemblée de la Communauté européenne du charbon et de l'acier et à l'Assemblée ad hoc commente dans le mensuel Europe Unie les travaux de la Commission constitutionnelle et de l'Assemblée ad hoc.