Photo de famille des chefs d'État ou de gouvernement réunis lors du Conseil européen de Bruxelles des 29 et 30 mars 1985. De g. à dr. sur la photo: 1er rang: Andréas Papandréou (Premier ministre grec), Jacques Santer (Premier ministre luxembourgeois), Helmut Kohl (Chancelier de la République fédérale d'Allemagne), Wilfried Martens (Premier ministre belge), Margaret Thatcher (Premier ministre britannique), Bettino Craxi (Président du Conseil des ministres italien et président en exercice du Conseil de l'Union européenne), François Mitterrand (président de la République française), Poul Schlüter (Premier ministre danois), Garret Fitzgerald (Premier ministre irlandais) et Ruud Lubbers (Premier ministre néerlandais); 2e rang (de g. à dr.): Hans van den Broek (ministre néerlandais des Affaires étrangères), Yannis Charalambopoulos (ministre grec des Affaires étrangères), Léo Tindemans (ministre belge des Relations extérieures), Giulio Andreotti (ministre italien des Affaires étrangères), Roland Dumas (ministre français des Relations extérieures), Sir Geoffrey Howe (ministre britannique des Affaires étrangères et du Commonwealth), Lorenzo Natali (vice-président de la Commission des Communautés européennes chargé de la Coopération et du Développement et de l'Elargissement), Jacques Delors (président de la Commission des Communautés européennes), Hans-Dietrich Genscher (ministre fédéral Ouest-allemand des Affaires étrangères), Jacques Poos (ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et de la Coopération), Uffe Ellemann-Jensen (ministre danois des Affaires étrangères) et Peter Barry (ministre irlandais des Affaires étrangères).
À l’issue de sa première réunion, tenue à Luxembourg le 29 novembre 1952, la commission des questions de politique commerciale adresse un rapport au Conseil spécial de ministres de la CECA sur les négociations avec le GATT. Par ces négociations, les États membres de la CECA visent à obtenir les dérogations nécessaires à l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce pour l’établissement d’un marché commun.
Procès-verbal de la première session du Conseil spécial de ministres de la CECA, tenue à Luxembourg du 8 au 10 septembre 1952, dans la rédaction soumise au Conseil le 22 septembre 1952 et approuvée à l'unanimité lors de sa deuxième session les 1 et 2 décembre 1952.
Cette note interne du 22 octobre 1954 décrit les principes ayant présidé à l’établissement de la structure du secrétariat du Conseil spécial de ministres de la CECA et en particulier ceux ayant présidé à l’organisation des activités de caractère administratif.
Ce sommaire des décisions intervenues lors de la neuvième session du Conseil spécial de ministres de la CECA, tenue à Luxembourg les 12 et 13 octobre 1953, illustre plusieurs pouvoirs et compétences de l'institution, notamment son pouvoir de conclure des accords internationaux, son pouvoir de nomination ainsi que son pouvoir de rendre des avis et de procéder à des échanges d'informations et à des consultations réciproques avec la Haute Autorité.
Communiqué de presse publié à l’issue de la première session du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA), tenue à Luxembourg du 8 au 10 septembre 1952.
Le 8 septembre 1952, le chancelier allemand Konrad Adenauer prononce à Luxembourg le discours d'ouverture du Conseil spécial de ministres de la CECA - que l'ordre alphabétique le désigne à présider - et dont il décrit par ailleurs la mission.
Dans cette interview, André Dubois, ancien attaché au secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), raconte ses souvenirs de la mise en place du secrétariat à Luxembourg et de l'ambiance de travail au sein de l’équipe.
Paru le 21 avril 1959 dans le quotidien belge Le Soir, à l’occasion du dixième anniversaire du Conseil de l’Europe, l’article évoque la constitution de l’organisation sous le parrainage d’illustres hommes politiques européens. Après avoir rappelé l’influence de l’Assemblée consultative dans la promotion de l’idée européenne ainsi que l’action du Comité des ministres dans l’élaboration de conventions, la Convention européenne des droits de l’homme mérite une mention spéciale comme l’œuvre la plus remarquable du Conseil de l’Europe.