Le 10 septembre 1971, la Commission européenne dresse à l'attention du Conseil de ministres des Communautés européennes les mesures envisagées par l'Europe pour faire face à la décision américaine de mettre fin à la convertibilité du dollar en or.
Le 30 janvier 1975, la Commission adopte une communication sur le « mécanisme correcteur » qui serait applicable aux termes du communiqué final de la réunion des chefs de gouvernement à Paris, les 9 et 10 décembre 1974, au cas où la participation de certains États membres au budget de la Communauté serait inappropriée, compte tenu de leur situation économique.
Dans son rapport annuel relatif au programme TACIS pour les années 1991 et 1992, la Commission insiste sur l'importance du soutien technique des Communautés européennes pour aider les pays de l'ex-Union soviétique à assainir leurs structures nucléaires civiles et militaires.
Le 1er juillet 2003, la Commission européenne présente dans une communication les éléments et les étapes pour la mise en œuvre de la politique européenne de voisinage.
Le 31 juillet 1992, la Commission des Communautés européennes adopte un avis favorable sur la demande d'adhésion de la Suède à l'Union européenne et dresse un tableau détaillé des structures économiques du pays.
Le 14 juillet 2004, la Commission adopte un rapport sur le fonctionnement du système des ressources propres. Elle y souligne la complexité et le manque de transparence de ce système pour les citoyens, mais aussi une autonomie financière de l'Union de plus en plus limitée ainsi que la nécessité de réformer le mécanisme de correction des déséquilibres budgétaires.
Le 31 juillet 1991, la Commission européenne rend un avis circonstancié et positif sur la demande d'adhésion de l'Autriche aux Communautés européennes sur la base, notamment, d'un bilan de la situation économique du pays.
Le 6 octobre 2004, considérant que la Turquie satisfait suffisamment aux critères politiques de Copenhague et sous réserve de la mise en vigueur de certaines législations, la Commission européenne recommande l’ouverture des négociations d'adhésion.
Le 10 décembre 1969, la Cour de justice des Communautés européennes rend son jugement dans le recours en manquement engagé par la Commission contre la France. En cause: les mesures de sauvegarde prise par la France à l'été 1968. Paris en a prolongé l'application au-delà de la période autorisée par le Conseil. Rendu à peine une semaine après le sommet européen de La Haye, cet arrêt rappelle aux institutions communautaires que le régime de coordination des politiques monétaires n'exclut pas l'attribution de pouvoirs d'autorisation et d'intervention. Il est aussi rappelé aux Etats membres l'impossibilité de déroger aux obligations communautaires, sous prétexte de leur autonomie monétaire.
En vue du Conseil européen de juin, la Commission propose, le 12 avril 2005, un document de travail sur les ajustements techniques à effectuer à sa proposition initiale sur les perspectives financières 2007-2013.