Le 11 novembre 1989, commentant la chute du Mur de Berlin, le quotidien britannique The Guardian s'interroge sur la sécurité européenne et sur l'avenir de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et du Pacte de Varsovie.
Le 15 février 1990, le quotidien conservateur allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung décrit la décision du Parlement européen au sujet de la réunification allemande.
Le 21 juin 1990, le Bundestag allemand vote une résolution qui confirme le tracé de la frontière "Oder-Neisse" entre l'Allemagne unie et la République de Pologne.
"Épilogue. Puis-je éteindre moi-même la lumière ?" En juillet 1990, le caricaturiste néerlandais Opland décrit la disparition de la République démocratique allemande (RDA) en représentant Lothar de Maizière, le premier et dernier chef d'un gouvernement de la RDA démocratiquement élu.
Le 23 août 1990, au lendemain de la déclaration de la Chambre du peuple concernant l'adhésion de la République démocratique allemande (RDA) à la République fédérale d'Allemagne (RFA), le chancelier fédéral Helmut Kohl retrace devant le Bundestag les étapes de la réunification allemande et aborde la question de l'aide économique à la RDA.
Le 31 août 1990, Wolfgang Schäuble, ministre de l'Intérieur de la République fédérale d'Allemagne (RFA), et Günther Krause, secrétaire d'État auprès de Lothar de Maizière, ministre-président de la République démocratique allemande (RDA), signent à Berlin le traité d'union instituant un seul État fédéral démocratique.
Le 2 octobre 1990, à la veille de la réunification officielle de l'Allemagne, Lothar de Maizière, chef du gouvernement de la République démocratique allemande (RDA), prononce à Berlin un discours sur la portée historique de la création d'un État allemand réunifié.
Le 3 octobre 1990, jour de la réunification officielle de l'Allemagne, Roland Dumas, ministre français des Affaires étrangères, et son homologue allemand Hans-Dietrich Genscher réaffirment, dans un échange de lettres, l'importance de la réunification du pays et soulignent leur attachement à l'amitié franco-allemande.
Le 3 octobre 1990, commentant la réunification officielle de l'Allemagne, la Commission européenne exprime l'espoir que l'unité allemande retrouvée puisse ouvrir la voie vers l'unité de l'Europe entière.
Le 3 octobre 1990, commentant la réunification officielle allemande, le quotidien La Libre Belgique souligne l'importance historique de l'événement et s'interroge sur l'avenir politique d'une Allemagne démocratique réunifiée.
Le 4 octobre 1990, dans sa première déclaration gouvernementale devant le Bundestag de l'Allemagne réunifiée, le chancelier Helmut Kohl dresse un tableau de la situation économique du pays et indique les voies à suivre pour surmonter les difficultés liées à l'harmonisation de deux systèmes économiques longtemps séparés.
In his memoirs, German Chancellor Helmut Kohl describes the conversations he had in the early 1990s with Mikhail Gorbachev, President of the Soviet Union, concerning the process of German reunification.
Dans son Journal, Horst Teltschik, ancien conseiller diplomatique du chancelier fédéral allemand Helmut Kohl, se souvient de l'accord donné par Mikhaïl Gorbatchev, président de l'Union soviétique, à la réunification allemande.
"L'unité allemande : Viva Germania ? Un nouveau Reich ? Le grand accaparement ou la fin d'une longue séparation ?" En 1990, le caricaturiste Fritz Behrendt interprète à sa manière les sens divers que l'on peut attribuer à la réunification allemande.
En 1990, le caricaturiste allemand Walter Hanel ironise sur la manière dont le chancelier allemand Helmut Kohl et son ministre des Affaires étrangères Hans-Dietrich Genscher présentent ensemble au monde l'Allemagne réunifiée comme leur "nouveau-né".
Le 9 novembre 1989, la République démocratique allemande (RDA) ouvre ses frontières à Berlin-Ouest et au reste de la République fédérale d'Allemagne (RFA), ce qui provoque de nombreuses manifestations populaires devant la porte de Brandebourg.
Le 8 septembre 1994, dans la cour du château de Charlottenburg, une parade militaire est organisée à l'occasion du départ des troupes alliées occidentales de la ville de Berlin. Sont présents: Helmut Kohl, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), le secrétaire d'État américain Warren Christopher, John Major, Premier ministre britannique, et François Mitterrand, président de la République française.
Le 31 août 1994, Helmut Kohl, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), reçoit à Berlin Boris Eltsine, président de la Fédération de Russie, à l'occasion du départ des troupes de la Communauté des États indépendants (CEI) stationnées à Berlin. Une cérémonie a lieu à la Neue Wache, monument dédié à la mémoire des victimes de toutes les guerres et de toutes les dictatures.