Dans sa communication du 11 février 1992, De l'Acte unique à l'après-Maastricht: les moyens de nos ambitions, aussi appelée « paquet Delors II », la Commission propose les adaptations à mettre en œuvre pour que la structure du financement communautaire corresponde mieux à la capacité contributive des États membres.
Le 26 mai 1992, le quotidien La Libre Belgique analyse les enjeux communautaires et nationaux du paquet Delors II sur les mesures financières nécessaires pour permettre l'entrée en vigueur du traité de Maastricht.
En juin 1992, Joan Colom i Naval, député européen et membre de la commission des Budgets du Parlement européen, critique dans le mensuel Crocodile l'attitude restrictive adoptée par le Conseil européen de Lisbonne pour financer les objectifs convenus à Maastricht.
En décembre 1992, la revue néerlandaise Internationale Spectator commente le paquet Delors II, notamment les mesures financières nécessaires pour permettre l'entrée en vigueur du traité de Maastricht.
In einem Kommentar der zwei Tage zuvor verabschiedeten Schlussfolgerungen des Europäischen Rates von Edinburgh berichtet die französische Tageszeitung Le Monde am 14. Dezember 1992 über die Schwierigkeiten, einen Kompromiss zur Finanzierung des Gemeinschaftshaushalts in den folgenden sieben Jahren zu finden.
Am 14. Dezember 1992 kommentiert die französische Tageszeitung Le Monde die schwierige Frage der Finanzierung Europas und analysiert die von Kommissionspräsident Jacques Delors auf dem Gipfel von Edinburgh vorgebrachten genauen Finanzierungspläne.
En avril 1993, Philippe Jouret, administrateur à la Commission des Communautés européennes, direction générale des budgets, analyse dans le mensuel Revue du Marché commun et de l'Union européenne la question du financement du budget communautaire et les propositions contenues dans le « paquet Delors II ».