Le 30 août 1954, Sennep croque l'histoire d'amour entre "Robert Schuman et la CED".

Le 31 août 1954, le quotidien communiste français L'Humanité salue la décision de l'Assemblée nationale française de ne pas ratifier le traité instituant la Communauté européenne de défense (CED) comme une victoire du peuple de France.

Le 31 août 1954, le quotidien communiste français L'Humanité se félicite de l'échec de la Communauté européenne de défense (CED) et avance des chiffres différents des résultats officiels.

Le 31 août 1954, André Philip, président du Mouvement socialiste pour les États-Unis d'Europe (MSEUE), analyse l'impact de la politique intérieure française et le rôle joué par la presse du pays dans les débats relatifs à la Communauté européenne de défense (CED).

Sous le pseudonyme de Sirius, Hubert Beuve-Méry, fondateur du quotidien français Le Monde, commente les événements du 30 août 1954 à l'Assemblée nationale française.

Le 4 septembre 1954, Pierre Mendès France, président du Conseil des ministres français et ministre des Affaires étrangères, prononce une allocution dans laquelle il explique les raisons qui ont conduit l'Assemblée nationale française à rejetter, le 31 août 1954, le traité de la Communauté européenne de défense (CED).

«Tous au bois. Pour fêter la victoire du petit chaperon rouge!» Le 5 septembre 1954, s'inspirant du conte du petit chaperon rouge, le caricaturiste Effel illustre dans le quotidien communiste français L'Humanité, la décision de l'Assemblée nationale française de ne pas ratifier le traité instituant la Communauté européenne de défense (CED). Le grand méchant loup coiffé du casque de la Wehrmacht avec l'inscription CED est défait par une jeune et dynamique Marianne (en petit chaperon rouge).

Le 20 septembre 1954, le Comité central de l'Union européenne des fédéralistes (UEF) fustige la responsabilité politique de la France dans l'échec de la Communauté européenne de défense (CED) et plaide pour la création d'une Europe fédérale.