Le 7 mai 1965, à l'occasion du quinzième anniversaire de la déclaration Schuman, Pierre Werner, ministre d’État et président du gouvernement luxembourgeois, souligne l'importance historique de la proposition du ministre des Affaires étrangères de la France et insiste sur l'obligation et la nécessité de poursuivre son œuvre.
Le 9 mai 1980, à l'occasion du 30e anniversaire de la déclaration Schuman, Pierre Werner, ministre d’État et président du gouvernement luxembourgeois, souligne l'importance historique de la proposition du ministre des Affaires étrangères de la France et insiste sur l'obligation et la nécessité de poursuivre son œuvre.
Notes de Pierre Werner, ancien Premier ministre et ministre des Finances du Luxembourg, pour préparer une session d’études à la Katholische Akademie à Trèves sur l’homme d’État et le pionnier de l’unification européenne Robert Schuman.
Le 17 septembre 1960, à l'occasion d'entretiens avec le chef du gouvernement luxembourgeois, Pierre Werner à l'Élysée, le président français De Gaulle détaille la politique européenne de son pays.
Le 18 septembre 1960, le gouvernement luxembourgeois publie un communiqué relatif aux conversations ministérielles franco-luxembourgeoises sur la coopération politique européenne tenues la veille à l'Élysée.
Le 19 juin 1961, le représentant luxembourgeois auprès des Communautés européennes, Albert Borschette adresse une lettre à Eugène Schaus, ministre des Affaires étrangères, dans laquelle il marque sa déception quant au contenu du mémorandum de Paul-Henri Spaak sur la coopération politique européenne.
Le 18 juillet 1961, réunis à Bad Godesberg, près de Bonn, les chefs d'État ou de gouvernement des Six réitèrent leur intention de poursuivre leurs efforts en faveur d'une Europe politique.
Les 19 octobre et 2 novembre 1961, conformément à la mission confiée le 18 juillet 1961 par la conférence des chefs d'État et de gouvernement des Six réunis à Bonn, la commission Fouchet présente un premier projet de traité d'Union politique européenne (Plan Fouchet I).
Le 8 novembre 1961, Albert Borschette, représentant permanent du Luxembourg auprès des Communautés européennes, adresse une lettre à son ministre des Affaires étrangères, dans laquellle il évoque les positions de l'Italie, de la Belgique et de la République fédérale d'Allemagne à l'égard du projet français de traité d'Union politique européenne (Plan Fouchet I).
Le 22 décembre 1961, le quotidien Luxemburger Wort se penche sur le déroulement des négociations intergouvernementales consacrées à l'examen du Plan Fouchet.
Le 12 février 1962, Albert Borschette, représentant permanent du Luxembourg auprès des Communautés européennes, adresse à Eugène Schaus, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, une lettre dans laquelle il met en lumière les raisons institutionnelles qui ont conduit, le 18 janvier 1962, la France à proposer à ses partenaires européens un nouveau projet (Plan Fouchet II) d'Union d'États européens en retrait sur les projets précédents.
Le 16 février 1962, Pierre Pescatore, directeur politique au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères, rédige une note relative aux entretiens entre le général de Gaulle et le chancelier Konrad Adenauer à Baden-Baden sur la coopération politique européenne.
Le 27 avril 1962, lors d'une conférence de presse, le ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, Eugène Schaus, espère une relance des négociations sur la question de l'Europe politique.
Le 4 mai 1964, lors de sa visite officielle au Luxembourg, le chancelier fédéral allemand Ludwig Erhard (à dr.) rencontre Pierre Werner, ministre d'État et président du gouvernement luxembourgeois (à g.).
Le 24 février 1965, Pierre Werner, ministre d’État et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, prononce devant la Chambre des députés un discours dans lequel il définit la position du gouvernement luxembourgeois au sujet des principales questions européennes et internationales.
Paul-Henri Spaak (à gauche), ministre belge des Affaires étrangères, et Pierre Werner (à droite), ministre d'État et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, lors de la réunion de la Communauté économique européenne (CEE) le 2 mars 1965 à Bruxelles.
Le 30 septembre 1965, Pierre Werner, ministre d’État et ministre des Affaires étrangères luxembourgeois, expose devant la Chambre de commerce belge à New York la position du Luxembourg au sein de la Communauté européenne.
Le 15 février 1966, l'ambassade du Luxembourg à Bruxelles adresse à Pierre Werner, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, une note dans laquelle elle l'informe des positions de Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, sur l'opportunité d'une relance de la coopération politique entre les Six.
Le 23 février 1966, l'ambassadeur du Luxembourg à Bruxelles adresse à Pierre Werner, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, une note dans laquelle il l'informe des positions de Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, sur l'opportunité d'une relance de consultations politiques entre les Six en présence du Royaume-Uni.
Le 5 juin 1966, Pierre Werner, ministre d’État et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, expose devant l’American and Common Market Club à Bruxelles quelques aspects de l’évolution récente de la construction européenne.
Le 28 juin 1966, Pierre Werner, ministre d’État et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, expose devant le Parlement européen, en sa qualité de président en exercice du Conseil des Communautés européennes (CE), les activités entreprises par le Conseil au cours de ce mandat.
Le 23 juillet 1966, Pierre Pescatore, secrétaire général du ministère luxembourgeois des Affaires étrangères, rend compte des idées échangées entre Pierre Harmel, ministre belge des Affaires étrangères, et ses homologues néerlandais, Joseph Luns, et luxembourgeois, Pierre Werner, au sujet de l'opportunité d'une éventuelle adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 18 novembre 1966, Pierre Werner, ministre d’État et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, prononce devant la Chambre des députés un discours dans lequel il définit la position du gouvernement luxembourgeois au sujet des principales questions européennes et internationales.
Le 8 mars 1967, (de g. à dr.) George Brown, ministre britannique des Affaires étrangères, Harold Wilson, Premier ministre britannique et Pierre Werner, ministre d'État et président du gouvernement luxembourgeois, se rencontrent au Luxembourg.
Les 29 et 30 mai 1967, les chefs d'État européens se réunissent à Rome pour célébrer le 10e anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
A l'occasion de la réunion ministérielle de l'OTAN, les 13 et 14 juin 1967 au Luxembourg, le chancelier fédéral allemand Willy Brandt (à g.) rencontre Pierre Werner, ministre d'État et président du gouvernement luxembourgeois (à dr.), le 12 juin.
À l’occasion du sommet Benelux en 1968, la reine Juliana des Pays-Bas reçoit les délégations belge, luxembourgeoise et néerlandaise. Au premier rang (de g. à dr.) : Gaston Eyskens, Premier ministre de la Belgique, la reine Juliana des Pays-Bas, Pierre Werner, ministre d’État et président du gouvernement luxembourgeois, Piet de Jong, Premier ministre des Pays-Bas.
Entre octobre et novembre 1969, La Gazette de Lausanne consacre un important reportage au Grand-Duché de Luxembourg et interviewe Pierre Werner, ministre d'État et ministre des Finances du Luxembourg, au sujet de la place financière internationale du pays.