Le 24 novembre 1989, quelques semaines avant le soulèvement populaire dans le pays, Nicolae Ceausescu est réélu à l'unanimité au poste de secrétaire général à l'issue du quatorzième congrès du Parti communiste roumain (PCR).
Le 22 décembre 1989, le quotidien français Le Monde expose l'inefficacité de l'état d'urgence, décrété la veille par le président Nicolae Ceausescu, pour contenir l'expansion du mouvement révolutionnaire en Roumanie.
Le 24 décembre 1989, des chars de l'armée roumaine participent dans les rues de Bucarest à l'insurrection populaire contre le régime dictatorial de Nicolae Ceausescu.
Le 24 décembre 1989, Alain Peyrefitte, ancien ministre français, analyse dans le quotidien français Le Figaro les causes et les conséquences de l'insurrection populaire et du renversement du régime dictatorial de Nicolae Ceausescu en Roumanie.
Le 27 décembre 1989, deux jours après l'exécution du dictateur roumain Nicolae Ceausescu et de son épouse Elena, le quotidien luxembourgeois Tageblatt décrit la poursuite de la chasse aux collaborateurs du régime totalitaire communiste, notamment les agents du service secret Securitate.
En 1989, le caricaturiste allemand Fritz Behrendt illustre la chute du régime communiste et dictatorial de Nicolae Ceausescu en Roumanie dans la foulée de la disparition du marxisme et du stalinisme en Union soviétique et dans l'ensemble du bloc de l'Est.