Entrée principale du palais Cecilienhof à Potsdam qui accueille, le 17 juillet 1945, la Conférence des chefs d'État américain (H. Truman), britannique (W. Churchill puis C. Attlee) et soviétique (J. Staline) afin notamment de régler le sort de l'Allemagne vaincue.
Le 17 juillet 1945, commentant l'ouverture de la Conférence de Potsdam, le quotidien anglais de gauche The Guardian décrit la méfiance réciproque qui s'est instaurée entre les Alliés occidentaux et l'Union soviétique.
La Conférence de Potsdam s'ouvre le 17 juillet 1945. Le président américain Harry S. Truman remplace Franklin D. Roosevelt, décédé le 12 avril, tandis que Winston Churchill sera remplacé, le 28 juillet, par Clement Attlee, récent vainqueur des élections législatives britanniques.
Les leaders des trois Grands (de g. à dr. Clement Attlee, Harry S. Truman et Joseph Staline) participent à la conférence de Potsdam du 17 juillet au 2 août 1945.
Réunies à Potsdam du 17 juillet au 2 août 1945, les délégations américaine, britannique et soviétique négocient sur le sort de l'Allemagne et sur la configuration de l'Europe d'après-guerre.
Convoquée du 17 juillet au 2 août 1945, la conférence de Potsdam est marquée par les premières tensions entre l'URSS et les États-Unis, particulièrement lors des pourparlers concernant l'occupation de l'Allemagne vaincue.
Battu lors des élections législatives du 26 juillet 1945, Winston Churchill se voit remplacé à la tête du gouvernement britannique par le travailliste Clement Attlee qui poursuivra, deux jours plus tard, les discussions avec les États-Unis et l'Union soviétique à Potsdam sur le sort de l'Allemagne.
Le 9 août 1945, le président américain Harry S. Truman livre, dans un discours radiodiffusé, un compte-rendu de la Conférence de Potsdam et de ses principales décisions.