Origine et évolution
Origine et évolution
Origine et évolution
Origine et évolution de la CSCE/ l'OSCE
VideoPrésentation de l'origine de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) en tant qu'instrument de la détente politique et militaire sur le continent européen au temps de la guerre froide et de son évolution dans l'Europe post-communiste en tant qu'organisation internationale consacrée notamment à la prévention et à la gestion des crises, rebaptisée en 1995 "Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe" (OSCE).
Le processus d'Helsinki: de la CSCE à l'OSCE
VideoPrésentation de l'origine et l'évolution du processus d'Helsinki, de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) à l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). La vidéo montre en particulier les buts de la conférence au moment de sa création pendant les années de la guerre froide, son influence comme instrument de la détente entre l'Est et l'Ouest et sa transformation en organisation aux nouvelles tâches suite à l'effondrement du bloc communiste.
Présentation de l'OSCE (2000)
VideoPrésentation générale de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE): sa composition, son organisation et fonctionnement, sa mission, sa nature et ses domaines d’activité.
Antécédents: l'idée d'une conférence paneuropéenne de sécurité
Projet de traité général de sécurité collective en Europe — Projet Molotov (Berlin, 10 février 1954)
TextÀ l'occasion de la conférence des ministres des Affaires étrangères des Quatre Puissances (URSS, États-Unis, France et Royaume-Uni), qui a lieu à Berlin du 25 janvier au 18 février 1954, le ministre soviétique, Viatcheslav Molotov, présente un projet de traité général de sécurité collective en Europe et propose de convoquer une conférence des États européens en vue de sa conclusion.
Caricature sur la politique internationale de l'URSS (13 février 1955)
Bild"Sécurité européenne à la Molotov" titre cette caricature autrichienne pour dénoncer la manière dont l'Union soviétique met la main sur l'Europe à coup de faucille.
Note du gouvernement soviétique au gouvernement français (31 mars 1954)
TextLe 31 mars 1954, dans une note adressée aux gouvernements de la France, des États-Unis et du Royaume-Uni, l'Union soviétique manifeste son opposition à la création de groupements militaires d'États européens et renouvelle sa proposition relative au "traité général européen de sécurité collective", lancée à l'occasion de la conférence des quatre ministres des Affaires étrangères du 25 janvier au 18 février à Berlin, en acceptant cette fois la participation des États-Unis.
Réponse du gouvernement français à la note soviétique du 31 mars 1954 (7 mai 1954)
TextDans sa réponse du 7 mai 1954 à la note du gouvernement soviétique du 31 mars, le gouvernement français rejette la proposition soviétique relative au "traité général européen de sécurité collective", défend les associations défensives des États occidentaux et appelle les Soviétiques à supprimer les causes de la division en Europe en permettant notamment le règlement des problèmes autrichien et allemand.
Le Plan Rapacki (Varsovie, 14 février 1958)
TextLe 14 février 1958, le gouvernement polonais adresse aux représentants à Varsovie de la Belgique, du Canada, du Danemark, de la France, du Royaume-Uni, des États-Unis, de la Tchécoslovaquie, de la République démocratique allemande (RDA) et de l’URSS, ainsi qu’au représentant de la Suède pour transmission à la République fédérale d’Allemagne (RFA), un mémorandum concernant sa proposition de création d’une zone dénucléarisée en Europe centrale.
Le Plan Rapacki II (Varsovie, 28 février 1964)
TextLe 28 février 1964, le gouvernement polonais renouvelle son plan de création d’une zone dénucléarisée en Europe centrale (Plan Rapacki) et présente une proposition visant au gel des armements nucléaires et thermonucléaires en Pologne, Tchécoslovaquie, République démocratique allemande (RDA) et République fédérale d’Allemagne (RFA).
Communiqué du Comité politique consultatif du Pacte de Varsovie (20 janvier 1965)
TextLe 20 janvier 1965, le comité politique consultatif du Pacte de Varsovie, s’opposant à la création d’une force nucléaire multilatérale de l’OTAN, donne son aval au second plan Rapacki de 1964 et relance l’idée de la mise en place d'une conférence paneuropéenne sur la sécurité en Europe.
Déclaration du Comité politique consultatif du Pacte de Varsovie sur le renforcement de la paix et de la sécurité en Europe (Bucarest, 5 juillet 1966)
TextLe 5 juillet 1966, dans la déclaration sur le renforcement de la paix et de la sécurité en Europe, le comité politique consultatif du Pacte de Varsovie propose la suppression simultanée des deux blocs militaires, la reconnaissance de l'existence des deux États allemands, le développement des accords portant sur le désarmement en Allemagne et en Europe et la convocation d'une conférence générale européenne en vue d'examiner les problèmes relatifs à la garantie de la sécurité en Europe et à l'établissement d'une coopération générale européenne.
Déclaration des partis communistes et ouvriers d'Europe sur la sécurité en Europe (Karlovy-Vary, 26 avril 1967)
TextRéunis à Karlovy-Vary le 26 avril 1967, les représentants des partis communistes et ouvriers d'Europe approuvent la proposition du Pacte de Varsovie sur la suppression simultanée des deux alliances militaires, demandent que tous les États reconnaissent le statu quo territorial de l’après-guerre et appellent à la création d’un système de sécurité collective fondée sur les principes de la coexistence pacifique entre États à systèmes sociaux différents.
Caricature de Geisen sur l'attitude du bloc de l'Est à l'égard de l'Europe occidentale (1967)
Bild"Se rapprocher ou pas - Telle est ici la question?" En 1967, le caricaturiste Geisen illustre les enjeux de la réunion, du 24 au 26 avril 1967 à Karlovy-Vary (Karlsbad), des représentants des partis communistes et ouvriers d'Europe, qui s’interrogent notamment sur la création d'un système de sécurité collective fondée sur les principes de la coexistence pacifique entre États à systèmes sociaux différents.
Rapport du Conseil, Les futures tâches de l'Alliance (Rapport Harmel) (Bruxelles, 13 et 14 décembre 1967)
TextEn décembre 1967, les ministres du Conseil de l’Atlantique Nord approuvent le rapport Harmel sur les futures tâches de l'Alliance atlantique. Le rapport encourage les Alliés à améliorer les relations avec l'Union soviétique et les pays d'Europe de l'Est, et les appelle à l'utilisation de l'Alliance dans l'intérêt de la détente.
Interview d'Egon Bahr (Metz, 10 juin 2006) – Extrait: le rapport Harmel
VideoEgon Bahr, ancien directeur du service analyse et prévision au ministère allemand des Affaires étrangères auprès de Willy Brandt, insiste sur l’appui du gouvernement allemand au rapport Harmel sur les futures tâches de l'Alliance atlantique. Le rapport encourage les Alliés à améliorer les relations avec l'Union soviétique et les pays d'Europe de l'Est et préconise l’engagement de l'Alliance atlantique en faveur de la détente.
Interview d'Étienne Davignon (Bruxelles, 11 décembre 2007) – Extrait: les objectifs du rapport Harmel
VideoDans cette interview, Étienne Davignon, chef de cabinet de 1966 à 1969 du ministre belge des Affaires étrangères Pierre Harmel, expose les motivations qui ont présidé à la rédaction du rapport Harmel sur les futures tâches de l'Alliance atlantique.
Interview d'Étienne Davignon (Bruxelles, 11 décembre 2007) – Extrait: l’accueil du rapport Harmel par les États membres de l’OTAN
VideoDans cette interview, Étienne Davignon, chef de cabinet du ministre belge des Affaires étrangères Pierre Harmel de 1966 à 1969, précise l'attitude des États membres de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), notamment des États-Unis d'Amérique et de la France, concernant le rapport Harmel sur les futures tâches de l'Alliance atlantique.
Communiqué final de la session ministérielle du Conseil de l'Atlantique Nord (Reykjavik, 24 et 25 juin 1968)
TextConnu sous le nom de "signal de Reykjavik", le communiqué final de la session ministérielle du Conseil de l'Atlantique Nord, des 24 et 25 juin 1968, réaffirme l'intention des Alliés de continuer à agir dans le sens de la détente et demande à l'Union soviétique et aux autres pays de l'Europe de l'Est de s'associer au processus conduisant à des réductions équilibrées et mutuelles de forces.
Message adressé par les États membres du Pacte de Varsovie à tous les pays européens (Budapest, 17 mars 1969)
TextLe 17 mars 1969, dans un message adressé à tous les pays européens, les États membres du Pacte de Varsovie se prononcent pour l'établissement de relations de bon voisinage avec l'Occident et appellent à la mise en place d'une conférence paneuropéenne sur la sécurité en Europe.
Communiqué de la conférence pour la sécurité et la coopération européennes (Vienne, 1er décembre 1969)
TextRéunissant 300 participants issus de différents mouvements politiques et socioculturels, la conférence pour la sécurité et la coopération européennes, à caractère non gouvernemental, qui se tient à Vienne du 29 novembre au 1er décembre 1969, plaide pour la convocation en 1970 à Helsinki d’une conférence des États européens, à laquelle participeraient les deux États allemands, ainsi que pour l’établissement d’un système de sécurité collective qui rendrait inutile l’existence des deux groupements militaires.
Communiqué final de la session ministérielle du Conseil de l'Atlantique Nord (Bruxelles, 4 et 5 décembre 1969)
TextÀ l’occasion de la session ministérielle du Conseil de l'Atlantique Nord tenue à Bruxelles les 4 et 5 décembre 1969, les gouvernements alliés acceptent la possibilité de tenir prochainement une conférence générale, ou une série de conférences, sur la coopération et la sécurité en Europe à laquelle participeraient les membres nord-américains de l’Alliance.
Antécédents: l'idée d'une conférence paneuropéenne de sécurité
Le traité de Moscou (12 août 1970)
TextSigné à Moscou le 12 août 1970, le traité germano-soviétique inaugure l'Ostpolitik en ce qu'il ouvre la voie à la normalisation diplomatique et confirme le statu quo pacifique territorial entre l'Union soviétique et la République fédérale d'Allemagne (RFA).
Communiqué final de la session ministérielle du Conseil de l'Atlantique Nord (Bruxelles, 3 et 4 décembre 1970)
TextÀ l'occasion de la session ministérielle du Conseil de l'Atlantique Nord tenue à Bruxelles les 4 et 5 décembre 1969, les gouvernements alliés se déclarent prêts à établir des contacts multilatéraux avec tous les gouvernements intéressés pour déterminer quand il sera possible de convoquer une conférence ou une série de conférences sur la sécurité et la coopération européennes dès l'instant où les pourparlers sur Berlin auront abouti de façon satisfaisante et pour autant que les autres conversations en cours se poursuivent favorablement.
"Conférence européenne: Pour quoi faire?" dans Le Figaro (25 novembre 1971)
TextDans un article paru le 25 novembre 1971 dans le quotidien français Le Figaro, le professeur Raymond Aron se montre très critique à l'égard de la convocation d'une conférence européenne qui, à cause de la domination soviétique en Europe de l'Est, ne remplit pas les conditions pour une négociation équilibrée dans un cadre multilatéral.
Rapport de la Commission des Affaires générales de l'Assemblée de l'UEO, Les implications politiques de la conférence sur la sécurité européenne (Rapport Nessler) (30 novembre 1971)
TextLe rapport sur les implications politiques de la conférence sur la sécurité européenne, présenté le 30 novembre 1971 par Edmond Nessler, au nom de la Commission des Affaires générales de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), retrace l'historique de la proposition soviétique relative à la convocation d'une conférence sur la sécurité européenne et considère les avantages que présente la conjoncture pour envisager son ouverture dans des brefs délais.
Communiqué final de la session ministérielle du Conseil de l'Atlantique Nord (Bonn, 30 et 31 mai 1972)
TextEn mai 1972, les gouvernements alliés, se félicitant des progrès constatés dans les relations Est-Ouest et en particulier de la conclusion d’accords et d’arrangements importants, donnent leur feu vert au lancement des conversations multilatérales liées aux préparatifs d’une conférence sur la sécurité et la coopération en Europe et acceptent l’offre du gouvernement finlandais de tenir ces pourparlers à Helsinki.
La Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE)
Recommandations finales des consultations d'Helsinki (8 juin 1973)
TextLes Recommandations finales des Consultations d'Helsinki (RFCH), adoptées lors des négociations diplomatiques qui se tiennent dans la capitale finlandaise du 22 novembre 1972 au 8 juin 1973, définissent les règles de procédure de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE).
"CSCE: La question des «mandats» a dominé les consultations préliminaires" dans Le Monde (30 juin 1973)
TextParu dans le quotidien français Le Monde le 30 juin 1973, l’article analyse les prises de position et les accords atteints par les États ayant participé aux consultations multilatérales préparatoires à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) qui se sont tenues à Helsinki du 22 novembre 1972 au 8 juin 1973.
Les trois phases de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (1973-1975)
SchemaSchéma sur les trois phases de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) qui se tiennent, successivement, au niveau des ministres des Affaires étrangères, des experts et des chefs d’État ou de gouvernement, à Helsinki, Genève et Helsinki de 1973 à 1975.
Caricature de Köhler sur le sommet d'Helsinki (30 juillet 1975)
Bild"Helsinki - le sommet de la non obligation": un sommet qui s'apparente à une farce et fragilement bâti sur un château de cartes, telle est la vision critique que porte le caricaturiste Köhler sur la phase de clôture de la Conférence sur la coopération et la sécurité en Europe (CSCE) qui se tient à Helsinki du 30 juillet au 1er août 1975.
Phase finale de la Conférence d'Helsinki sur la sécurité et la coopération en Europe (30 juillet-1er août 1975)
BildLa troisième phase de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), qui se déroule à Helsinki du 30 juillet au 1er août 1975, a comme résultat l'adoption de l'Acte final d'Helsinki par les chefs d'État ou de gouvernement des 35 États participants.
Urho Kekkonen lors du discours d'ouverture du sommet d'Helsinki (31 juillet 1975)
BildLe 31 juillet 1975, le président finlandais Urho Kekkonen prononce un discours à Helsinki ouvrant la troisième phase de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE).
Banquet de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (Helsinki, 31 juillet 1975)
BildUrho Kekkonen, président de la République de Finlande, offre un banquet à ses invités à l'occasion de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe, le 31 juillet 1975 à Helsinki.
Discours de Leonid Brejnev (Helsinki, 31 juillet 1975)
TextLe 31 juillet 1975, prenant part à Helsinki à la phase finale de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), Leonid Brejnev, premier secrétaire du parti communiste de l'Union soviétique, se félicite des compromis adoptés par la Conférence après des longues négociations.
La délégation soviétique lors de la conférence d'Helsinki (1975)
BildLe banc de la délégation soviétique lors de la troisième phase de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) qui se déroule dans le palais Finlandia à Helsinki du 30 juillet au 1er août 1975. Entre autres: Leonid Brejnev, premier secrétaire du Parti communiste soviétique; à sa gauche: Andrei Gromyko, ministre des Affaires étrangères de l'URSS.
Les dirigeants nord-américains et soviétiques lors de la conférence d'Helsinki (1975)
BildPhoto prise lors de la troisième phase de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) qui se déroule à Helsinki du 30 juillet au 1er août 1975. De g. à dr.: Henry Kissinger, Secrétaire d’État nord-américain, Leonid Brejnev, premier secrétaire du Parti communiste de l'URSS, Gerald R. Ford, président des États-Unis, et Andrei Gromyko, ministre soviétique des Affaires étrangères.
Séance de clôture de la troisième phase de la CSCE (Helsinki, 1er août 1975)
BildHelmut Schmidt, chancelier de la République fédérale d’Allemagne (à dr.) et Erich Honecker, président du Conseil d'État de la République démocratique allemande (à g.), le 1er août 1975 à Helsinki lors de la séance de clôture de la troisième phase de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE).
Acte final de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (Helsinki, 1er août 1975)
TextLe 1er août 1975, les chefs d'État et de gouvernement des trente-cinq participants à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) signent à Helsinki l'Acte final par lequel ils s'engagent à coopérer dans les domaines couverts par les ainsi dites "trois corbeilles": 1) la sécurité en Europe ; 2) les domaines de l'économie, de la science et de la technique et de l'environnement ; 3) les domaines humanitaires et autres.
Le Décalogue d’Helsinki (1er août 1975)
TabelleL'Acte final de la Conférence d'Helsinki, du 1er août 1975, établit dix principes que les États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) s'engagent à respecter et à mettre en pratique dans leurs relations mutuelles.
"Helsinki: ce qui est en jeu" dans L'Express (4-10 août 1975)
TextEn août 1975, après la clôture de la troisième phase de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), l’hebdomadaire français L’Express publie un dossier spécial sur le sommet d’Helsinki. Suite à la chronique de l’événement, plusieurs auteurs exposent leurs craintes et leurs espoirs à l’égard d’une conférence très controversée.
Interview de Leo Tindemans: la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (Bruxelles, 24 février 2006)
VideoDans cette interview, Leo Tindemans, ancien Premier ministre de Belgique de 1974 à 1979, évoque les enjeux de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) qui s'est déroulée en trois phases à Helsinki, Genève et Helsinki de 1973 à 1975.
La poursuite du processus de la CSCE
Chronologie des réunions de la CSCE (1972-1992)
TabelleChronologie des réunions de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) de 1972 à 1992, y compris les réunions principales de suivi et les réunions spéciales d’intersession.
Caricature de Behrendt sur la politique Est-Ouest (9 août 1976)
Bild"Un an après Helsinki - A la vôtre - à d'autres succès". Un an après la fin de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), Fritz Behrendt fustige la détente de façade entre l'Est et l'Ouest.
Caricature de Geisen sur la réunion de la CSCE à Belgrade et les droits de l'homme (1977)
Bild"Les droits de l'homme sont dans la troisième corbeille..." En 1977, à l’occasion de la 1ère réunion de suivi à Belgrade de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), le caricaturiste Hans Geisen se fait l'écho des positions irréconciliables entre les pays occidentaux, plutôt découragés, et l'Union soviétique, toujours triomphaliste et ignorant ses engagements dans le domaine des droits de l’homme.
Caricature d'Haitzinger sur la réunion de la CSCE à Belgrade et les droits de l'homme (février 1978)
Bild"Opération réussie, patient mort!" En février 1978, le caricaturiste Horst Haitzinger observe d'un œil critique le déroulement des travaux de la 1ère réunion de suivi de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) qui se tient à Belgrade. Lors du premier examen de la mise en œuvre des engagements de la CSCE, l'Union soviétique réussit en effet à extirper le "cœur" des accords d'Helsinki: la question fondamentale des droits de l'homme.
Document de clôture de la réunion de Belgrade sur les suites de la CSCE (8 mars 1978)
TextDans le document de clôture de la première réunion de suivi de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), tenue à Belgrade du 4 octobre 1977 au 9 mars 1978, les représentants des États participants constatent les difficultés et les obstacles rencontrés pour la mise en œuvre des dispositions de l'Acte final ainsi que l'absence de consensus sur les diverses propositions présentées à la réunion.
La poursuite du processus de la CSCE
Caricature de Hanel sur les résultats de la réunion de la CSCE à Belgrade (1978)
BildEn mars 1978, le caricaturiste allemand Walter Hanel illustre l'échec de la réunion de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) à Belgrade.
"Refuser la mascarade" dans Le Figaro (11 novembre 1980)
TextDans un article paru dans le quotidien français Le Figaro le 11 novembre 1980, jour de l'ouverture à Madrid de la deuxième réunion sur les suites de la CSCE, Alain Ravennes, secrétaire général du Comité des intellectuels pour l'Europe des libertés (CIEL), critique le manque d'équilibre et de réciprocité dans les négociations entre les Soviétiques et les Occidentaux et demande à ces derniers qu'ils exigent aux Soviétiques le respect rigoureux des engagements d'Helsinki comme préalable à toute discussion.
"Les monologues remplacent les débats à la CSCE" dans El País (18 novembre 1980)
TextParu dans le quotidien espagnol El País le 18 novembre 1980, une semaine après l’ouverture à Madrid de la deuxième réunion sur les suites de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), l’article commente les points de divergence entre les États participants de l’Est et de l’Ouest lors d’une négociation qui s’apparente à un dialogue de sourds.
Entretien avec Max Kampelman dans El País (15 mars 1981)
TextLe 15 mars 1981, plus de six mois après le début à Madrid des travaux préparatoires de la deuxième réunion de suivi de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), l’ambassadeur Max Kampelman, chef de la délégation des États-Unis à la Conférence, accorde un entretien au quotidien espagnol El País.
Point de vue de Leonid Ilichev dans El País (27 février 1982)
TextLe 27 février 1982, un an et demi après le début à Madrid des travaux préparatoires de la deuxième réunion de suivi de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), le vice-ministre soviétique des Affaires étrangères Leonid Ilichev, chef de la délégation de l'Union soviétique à la Conférence, présente dans le quotidien espagnol El País le point de vue de son pays sur l'état d'avancement de la négociation.
Document de clôture de la réunion de Madrid sur les suites de la CSCE (Madrid, 6 septembre 1983)
TextLe document de clôture de la deuxième réunion de suivi de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), qui se tient à Madrid du 11 novembre 1980 au 9 septembre 1983, constate des déficiences sérieuses dans la mise en œuvre de l’Acte final d’Helsinki et réaffirme l’engagement des États participants à respecter les principes qui régissent leurs relations mutuelles notamment en matière de règlement pacifique des différends, de désarmement et de droits de l’homme.
"La conférence de Vienne: sans tabou et sans illusion" dans Le Soir (4 novembre 1986)
TextParu dans le quotidien belge Le Soir le 4 novembre 1986, jour de l'ouverture à Vienne de la troisième réunion sur les suites de la CSCE, l'article retrace l'historique du processus d'Helsinki et commente le contexte dans lequel va se dérouler la nouvelle étape des négociations.
"Désarmement et droits de l’homme dominent la réunion «Helsinki»" dans De Volkskrant (4 novembre 1986)
TextParu dans le quotidien néerlandais De Volkskrant le 4 novembre 1986, jour de l'ouverture à Vienne de la troisième réunion sur les suites de la CSCE, l'article retrace l'historique du processus d'Helsinki et commente le contexte dans lequel va se dérouler la nouvelle négociation, dont le départ est marqué par l'échec du sommet de Reykjavik sur le désarmement nucléaire qui a eu lieu du 10 au 12 octobre entre les États-Unis et l'URSS.
"Les Occidentaux déplorent l'absence de nouvelles façons de penser dans les propositions de l'Est" dans Le Monde (14 avril 1987)
TextLe 14 avril 1987, à la fin de la deuxième session de la 3ème réunion sur les suites de la CSCE qui se tient à Vienne depuis le 4 novembre 1986, le quotidien français Le Monde commente le scepticisme des participants sur la possibilité de respecter le délai prévu pour la rédaction du document final en raison des controverses existantes entre l’Est et l’Ouest dans les domaines des droits de l’homme et du désarmement.
Document de clôture de la réunion de Vienne sur les suites de la CSCE (Vienne, 15 janvier 1989)
TextDans le document de clôture de la troisième réunion de suivi de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), qui se tient à Vienne du 4 novembre 1986 au 19 janvier 1989, les États participants constatent une évolution favorable des relations mutuelles, jugent insuffisante la mise en œuvre de certaines dispositions de l'acte final d'Helsinki et des autres documents de la CSCE, notamment en matière de respect des droits de l'homme, et décident de renforcer leur coopération dans le cadre des suites de la conférence.
De conférence diplomatique à organisation internationale
Mémorandum du ministère des Affaires étrangères de la RDA sur l’ancrage de l’unification des deux États allemands dans le procès d’unification de l’ensemble de l’Europe (mars 1990)
TextDébut mars 1990, dans son Mémorandum sur l'ancrage de l'unification des deux États allemands dans le procès d'unification de l'ensemble de l'Europe, le ministère des Affaires étrangères de la RDA se prononce pour la réalisation de la réunification allemande dans le cadre du processus de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) ainsi que pour l'établissement de toute une série de nouvelles structures de la CSCE.
Déclaration commune de vingt-deux États à l'occasion du sommet de la CSCE (Paris, 19 novembre 1990)
TextLe 19 novembre 1990, en marge du sommet de la CSCE à Paris, les 22 États membres de l'Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) et de l'Organisation du traité de Varsovie déclarent solennellement qu'au début d'une nouvelle ère dans les relations européennes ils établissent de nouvelles relations de partenaires et s'engagent à collaborer avec les autres États participants à la CSCE pour renforcer la sécurité et la stabilité en Europe.
Caricature d'Ironimus sur le sommet de Paris de la CSCE (20 novembre 1990)
Bild"La percée". Le 20 novembre 1990, commentant le sommet à Paris de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), le caricaturiste autrichien Ironimus illustre l'établissement de nouvelles relations de partenariat entre les blocs de l'Est et de l'Ouest en soulignant le rôle joué par l'Autriche dans ce processus de rapprochement économique et politique.
Charte de Paris pour une nouvelle Europe (Paris, 21 novembre 1990)
TextRéunis à Paris du 19 au 21 novembre 1990, les chefs d'État ou de gouvernement des États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) s'engagent à répondre aux objectifs de démocratie, de paix et d'unité d'une nouvelle Europe après la fin de la guerre froide. À souligner, le développement des structures de la CSCE par l'établissement d'institutions permanentes.
Signature de la Charte de Paris (Paris, 21 novembre 1990)
BildLa Charte de Paris pour une nouvelle Europe, nouvel engagement politique fondé sur le consensus des États participants, est signée à Paris le 21 novembre 1990 lors du second sommet de la CSCE.
Photo de famille lors du sommet de la CSCE à Paris (Palais de l'Élysée, 21 novembre 1990)
BildLe 21 novembre 1990, le sommet de Paris de la Conférence sur la sécurité et coopération en Europe (CSCE) décide l'institutionnalisation de la CSCE et adopte la charte de Paris pour une nouvelle Europe.
"Victor-Yves Ghebali: La CSCE dans l'Europe de l'après-guerre froide" dans Revue de l'OTAN
TextDans un article paru en avril 1991 dans la Revue de l’OTAN, Victor-Yves Ghebali, professeur à l’Institut universitaire de hautes études internationales à Genève, analyse les grands changements subis par la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) après le sommet de Paris de 1990 et souligne les atouts du processus d’Helsinki pour la nouvelle Europe née de l’effondrement du communisme: sa large composition, son vaste mandat et sa flexibilité institutionnelle.
"Christopher Anstis: CSCE Phase 2 - De Paris à Helsinki, via Berlin et Prague" dans Revue de l'OTAN
TextDans un article paru en avril 1992 dans la Revue de l’OTAN, Christopher Anstis, directeur de la division de la politique de sécurité internationale et des affaires de la CSCE au Département des affaires extérieures du Canada, analyse les transformations subies par la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) après le sommet de Paris de 1990, notamment en ce qui concerne ses structures et sa composition, et attire l’attention sur les difficultés liées à la mise en place d’un mécanisme de gestion des crises et de prévention des conflits propre à la CSCE qui impliquerait entre autres l’établissement d’une procédure de "consensus moins un".
Document du sommet de la CSCE, Les défis du changement (Helsinki, 9 et 10 juillet 1992)
TextRéunis à Helsinki les 9 et 10 juillet 1992, les chefs d'État ou de gouvernement des États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), se montrent préoccupés à l'égard des nouveaux conflits qui menacent la stabilité de la nouvelle Europe et décident de développer davantage les structures qui permettent d'assurer la prévention et la gestion des crises dans la région de la CSCE.
Troisième sommet de la CSCE (Helsinki, 9 et 10 juillet 1992)
BildMauno Henrik Koivisto (à dr.), président de la République de Finlande, préside le troisième sommet de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) des 9 et 10 juillet 1992 à Helsinki.
Photo de famille prise lors du troisième sommet de la CSCE (Helsinki, 9 et 10 juillet 1992)
BildLes chefs d'État ou de gouvernement des États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) décident, lors du troisième sommet des 9 et 10 juillet 1992 à Helsinki, de développer davantage les structures qui permettent d'assurer la prévention et la gestion des crises dans la région de la CSCE en créant notamment le poste de Haut Commissaire pour les minorités nationales
"Victor-Yves Ghebali: Les décisions de la réunion d'Helsinki 1992 sur les suites de la CSCE - Un pas dans la bonne direction" dans Revue de l'OTAN
TextDans un article paru en août 1992 dans la Revue de l’OTAN, Victor-Yves Ghebali, professeur à l'Institut universitaire de hautes études internationales à Genève, salue les progrès apportés par le Document d’Helsinki de juillet 1992 à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), notamment en ce qui concerne son renforcement institutionnel, l’attribution de fonctions opérationnelles avec des nouvelles compétences en matière de maintien de la paix, de prévention des conflits et de désarmement, et le développement des activités de la dimension humaine qui sont dorénavant reliées à la prévention des conflits.
Document du sommet de la CSCE, Vers un authentique partenariat dans une ère nouvelle (Budapest, 5 et 6 décembre 1994)
TextRéunis à Budapest les 5 et 6 décembre 1994, les chefs d'État ou de gouvernement des États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), décident de donner un nouvel élan politique à la CSCE en la renommant "Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe" et en la dotant de nouvelles ressources. Le but est de convertir la CSCE en instrument de premier recours pour l'alerte rapide, la prévention des conflits et la gestion des crises dans la région.
Sommet de la CSCE à Budapest (5 et 6 décembre 1994)
BildRéunis à Budapest les 5 et 6 décembre 1994, les chefs d'État ou de gouvernement des États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), décident de changer l'appellation de la CSCE en "Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe" (OSCE).
L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE)
"Les États-Unis et la Russie s'affrontent à Lisbonne sur le modèle de sécurité pour l'Europe" dans El País (30 novembre 1996)
TextParu le 30 novembre 1996 dans le quotidien espagnol El País, l’article analyse les divergences concernant le modèle de sécurité pour l’Europe du XXIème siècle sur lesquelles s’affrontent les États-Unis et la Russie à la veille du sommet de Lisbonne de l’OSCE et qui accordent un avantage à la proposition alternative de l’Union européenne sur la mise en place d’une plate-forme pour la sécurité coopérative.
L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE)
Document du sommet de l'OSCE (Lisbonne, 2-3 décembre 1996)
TextRéunis à Lisbonne les 2 et 3 décembre 1996, les chefs d’État ou de gouvernement des États participants de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), adoptent la déclaration de Lisbonne sur un modèle de sécurité commun et global pour l’Europe du XXI siècle et soulignent l’importance de l’activité du Forum pour la coopération en matière de sécurité (FCS) concernant la maîtrise des armements.
Sommet de l'OSCE à Lisbonne (2-3 décembre 1996)
BildPhoto du sommet des chefs d'État ou de gouvernement des États participants de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), qui se tient à Lisbonne les 2 et 3 décembre 1996.
Déclaration du sommet de l'OSCE (Istanbul, 18 et 19 novembre 1999)
TextRéunis à Istanbul les 18 et 19 novembre 1999, les chefs d’État ou de gouvernement des États participants de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), se félicitent de l’aptitude de l’organisation à développer rapidement et efficacement ses capacités opérationnelles et s’engagent à intensifier leurs efforts pour prévenir les conflits et pour les résoudre par des moyens pacifiques en collaboration avec les autres organisations et institutions internationales.
Sommet de l'OSCE à Istanbul (18 et 19 novembre 1999)
BildPhoto de groupe du sommet de chefs d'État ou de gouvernement des États participants de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), qui se tient à Istanbul les 18 et 19 novembre 1999.
"Le sommet d'Istanbul - un succès modéré" dans Helsinki Monitor
TextDans un article paru en 2000 dans la publication trimestrielle Helsinki Monitor, Hans van Santen, chef de la division Politique de sécurité et de défense au ministère d'Affaires étrangères néerlandais, résume les principaux apports du sommet de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) à Istanbul les 18 et 19 novembre 1999.
"Déjà entendu parler de l'OSCE?" dans Helsinki Monitor
TextDans un article paru en 1999 dans la publication trimestrielle Helsinki Monitor, Walter A. Kemp, conseiller supérieur du Haut commissaire pour les minorités nationales de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), explique les raisons principales de la méconnaissance de l’organisation de la part du grand public et des médias.
"Vingt-cinq bougies à souffler sur le gâteau d'Helsinki" dans Le Soir (19 juillet 2000)
TextLe 19 juillet 2000, à l’occasion du 25ème anniversaire de la décision de lancer à Helsinki la troisième et dernière phase de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), qui débouche le 1er août 1975 sur l’adoption de l’acte final, le quotidien belge Le Soir retrace l’origine et l’évolution de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
"Un instrument de l'Ouest? La réforme de l'OSCE divise la Russie et l'Europe" dans Frankfurter Allgemeine Zeitung (30 juin 2005)
TextParu dans le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung le 30 juin 2005, jour de la présentation au Conseil permanent de l'OSCE à Vienne du rapport du "groupe de personnes éminentes" sur le renforcement de l'efficacité de l'organisation, l'article analyse les raisons qui sous-tendent un tel projet de réforme et qui ont trait à la profonde divergence d'opinion entre les pays occidentaux et la Russie quant au rôle et aux domaines d'activité de l'organisation.
Discours de Dimitrij Rupel à l'occasion du 30ème anniversaire de l'Acte final d'Helsinki (Helsinki, 1er août 2005)
TextDiscours prononcé par Dimitrij Rupel, ministre slovène des Affaires étrangères et président en exercice de l’OSCE, le 1er août 2005, à l’occasion de l’ouverture à Helsinki du séminaire sur le 30ème anniversaire de l’Acte final de la Conférence sur la sécurité en la coopération en Europe (CSCE).
Intervention de Mary Kaldor à l'occasion du 30ème anniversaire de l'Acte final d'Helsinki (Helsinki, 1er août 2005)
TextDiscours prononcé le 1er août 2005 par Mary Kaldor, professeur et directeur du Centre for the Study of Global Governance de la London School of Economics and Political Science, à l'occasion de l'ouverture à Helsinki du séminaire sur le 30ème anniversaire de l'Acte final de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE).
"L'OSCE paralysée par le bras de fer russo-américain" dans Le Figaro (6 décembre 2005)
TextParu dans le quotidien français Le Figaro le 6 décembre 2005, jour de la clôture à Ljubljana du 13ème Conseil ministériel de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), l'article analyse la question principale sur laquelle les États-Unis et la Russie continuent de s'affronter trente ans après la signature de l'Acte final d'Helsinki et qui les empêche de se mettre d'accord sur le mandat de l'organisation: le respect de la démocratie et des droits de l'homme dans les anciennes républiques soviétiques.