Le 19 juillet 1968, la Pravda, journal officiel du Parti communiste soviétique, dénonce la nouvelle orientation politique et les mesures de libéralisation entreprises en Tchécoslovaquie lors du "Printemps de Prague".
Le 1er août 1968, au lendemain du sommet soviéto-tchécoslovaque de Cierna, le général Ludvik Svoboda, président de la République socialiste tchécoslovaque, affirme que Prague poursuivra son expérience du socialisme à visage humain dans le cadre du Pacte de Varsovie.
En 1968, des manifestations sont régulièrement organisées sur la place Wenceslas, à Prague, pour soutenir les réformes politiques de démocratisation entreprises par Alexandre Dubcek, premier secrétaire du Parti communiste tchécoslovaque.
Quelques jours avant l'intervention - le 20 août 1968 - des troupes du pacte de Varsovie à Prague, les Tchécoslovaques soutiennent le mouvement national de démocratisation par des manifestes adressés au comité central du Parti communiste.
En 1968, le caricaturiste Behrendt dénonce l'acharnement des dirigeants du Kremlin et des pays du bloc communiste à vouloir réprimer toute tentative de démocratisation en Tchécoslovaquie dont le leader, Alexandre Dubcek, est présenté sous la forme d'un gibier à abattre.
On 21 August 1968, fearing a surge of protest in the country, members of the Communist Party’s Central Committee, of the government and of Czechoslovakia’s National Assembly call for help from governments and sister Communist Parties.
Le 21 août 1968, le ministère tchécoslovaque des Affaires étrangères adresse aux gouvernements soviétique, polonais, Est-allemand, hongrois et bulgare une note qui dénonce l'intervention de leurs troupes en Tchécoslovaquie.
Le 21 août 1968, au lendemain de l'intervention militaire soviétique à Prague, le président tchécoslovaque Ludvik Svoboda appelle ses concitoyens à faire face et à poursuivre l'oeuvre de libéralisation du socialisme.
Le 21 août 1968, l'agence de presse soviétique TASS justifie à sa manière l'intervention en Tchécoslovaquie des troupes des pays membres du pacte de Varsovie.
Le 22 août 1968, le quotidien socialiste autrichien Arbeiter-Zeitung illustre l'écrasement du "printemps de Prague" sous les chars de l'Armée rouge et dresse un parallèle avec les événements de Berlin en 1953 et de Budapest en 1956.
"...en Tchécoslovaquie..." Le 24 août 1968, le caricaturiste néerlandais Opland illustre la fin du "Printemps de Prague" sous le poids des chars de l'Armée rouge.
"Un coup contre l'impérialisme". Dans la nuit du 20 au 21 août 1968, le projet d'Alexandre Dubcek, premier secrétaire du Parti communiste tchécoslovaque, de créer un communisme à visage humain en Tchécoslovaquie est tué dans l'oeuf par l'intervention militaire soviétique.
Au lendemain de l'entrée - le 21 août 1968 - des troupes des pays du pacte de Varsovie en Tchécoslovaquie, le quotidien français Le Monde relate les tragiques événements de Prague.
"En direction de Prague". En août 1968, le caricaturiste Fritz Behrendt dresse un parallèle entre l'invasion de la Tchécoslovaquie par les troupes du Pacte de Varsovie et l'invasion du pays par les Nazis en 1939.
Le 28 août 1968, Radio-Prague commente l'intervention militaire soviétique en Tchécoslovaquie la semaine précédente en assurant ses auditeurs de son objectivité journalistique.
"La priorité "Dubcek:.."Oui, oui, oui j'ai roulé trop à droite !" En septembre 1968, commentant l'intervention militaire soviétique en Tchécoslovaquie, le caricaturiste allemand Ernst Maria Lang illustre le destin politique tragique d'Alexandre Dubcek obligé d'accepter le diktat de Moscou.
Le 10 septembre 1968, le quotidien conservateur français Le Figaro publie la lettre qu'une habitante de Prague, membre du parti communiste tchécoslovaque, adresse aux lecteurs français et qui témoigne de la peur provoquée chez ses concitoyens par l'intervention militaire soviétique.
Le 14 septembre 1968, Alexandre Dubcek, Premier secrétaire du Parti communiste tchécoslovaque, prononce un discours radiotélévisé sur les conséquences politiques des accords de Moscou.
Dans ses Mémoires, Alexandre Dubcek, ancien premier secrétaire du Parti communiste de Tchécoslovaquie, explique son refus de croire, en été 1968, à l'éventualité d'une intervention militaire de l'Union soviétique pour mettre fin aux réformes dites du "Printemps de Prague".
Dans ses Mémoires, Alexandre Dubcek, ancien premier secrétaire du Parti communiste tchécoslovaque, explique la portée des réformes apportées, à partir d'avril 1968, au système politique national et plus connues sous le nom "Printemps de Prague".
Le 21 août 1968, le quotidien Luxemburger Wort condamne les agissements de Moscou et l'entrée, dans la nuit du 20 au 21 août 1968, des troupes des États membres du Pacte de Varsovie en Tchécoslovaquie.
Le 21 août 1968, Kurt Georg Kiesinger, chancelier de la RFA, et Henry Cabot Lodge, ambassadeur américain à Bonn, ont une entrevue à Bonn sur les événements récents en Tchécoslovaquie.
Le 22 août 1968, le quotidien français Le Monde analyse les réactions occidentales au sujet de l'intervention militaire de cinq États membres du Pacte de Varsovie, dont l'Union soviétique, en Tchécoslovaquie dans la nuit du 21 au 22 août 1968.
Au lendemain de l'entrée, le 21 août 1968, des troupes du Pacte de Varsovie en Tchécoslovaquie, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung s'interroge sur les motivations de Moscou à vouloir écraser le "Printemps de Prague" et sur l'impact de l'intervention militaire au sein des pays du bloc de l'Est.
Le 22 août 1968, au lendemain de l'invasion de la Tchécoslovaquie par les troupes du Pacte de Varsovie, Pierre Werner, Premier ministre luxembourgeois, étale la position de son gouvernement vis-à-vis des événements.
Le 22 août 1968, au lendemain de l'invasion de la Tchécoslovaquie par les troupes du Pacte de Varsovie, le quotidien français Le Figaro détaille les conséquences politiques et internationales de l'agression soviétique et parle d'un retour aux heures les plus sombres de la guerre froide.
Le 22 août 1968, le quotidien français Combat dénonce l'invasion de la Tchécoslovaquie par les troupes du pacte de Varsovie et analyse les motivations de Moscou à écraser le soulèvement populaire de Prague.
Le 23 août 1968, le quotidien communiste est-allemand Neues Deutschland soutient l'entrée des troupes du pacte de Varsovie en Tchécoslovaquie comme un signe de solidarité envers le peuple tchécoslovaque.
Le 23 août 1968, au lendemain des événements tragiques de Tchécoslovaquie, le Département d'État américain dément toute rumeur circulant dans la presse, concernant une collusion entre les États-Unis et l'URSS relative à une répartition des "sphères d'influence" en Europe.
Dans une interview accordée le 25 août 1968 à la chaîne télévisée allemande (ZDF), Willy Brandt, ministre Ouest-allemand des Affaires étrangères, commente l'invasion de la Tchécoslovaquie par les troupes soviétiques.
Le 29 août 1968, le leader socialiste Pietro Nenni condamne devant la Chambre des députés italienne l'invasion de la Tchécoslovaquie par les troupes de l'URSS et insiste sur la nécessité d'une politique volontaire des Six en faveur de l'unité européenne.
Le 10 septembre 1968, le quotidien socialiste français Le Populaire s'interroge sur les répercussions géopolitiques de la crise tchécoslovaque et fustige l'absence de réaction commune des Six en termes de politique étrangère.
Le 23 septembre 1968, Mario Scelba, rapporteur de la commission politique du Parlement européen, soumet au vote une proposition de résolution sur les conséquences politiques des derniers événements survenus en Tchécoslovaquie.
Le 16 octobre 1968, Pierre Grégoire, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, fait à la Chambre des députés de son pays une déclaration sur la situation internationale après l'invasion de la Tchécoslovaquie par les troupes soviétiques.
Le 1er octobre 1968, le commissaire européen Gaetano Martino condamne devant le Parlement européen l'intervention militaire de l'Union soviétique en Tchécoslovaquie.
Le 24 octobre 1968, une note confidentielle du Ministère des Affaires étrangères luxembourgeois s'interroge sur l'avenir des relations du Grand-Duché avec les pays de l'Est après les événements tragiques de Tchécoslovaquie.
Les 5-6 janvier 1969, commentant les événements de Prague de l'été 1968, le quotidien français Le Monde retrace la carrière politique d'Alexandre Dubcek, premier secrétaire du parti communiste tchécoslovaque.
Le 15 janvier 1969, l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale publie un rapport qui analyse la question de la sécurité européenne après l'invasion de la Tchécoslovaquie.