Recommandation du Conseil, du 3 mai 1998, concernant la nomination du président de la Banque centrale européenne, de son vice-président ainsi que des autres membres de son directoire.
Les chefs d'État ou de gouvernement des États membres, ayant pris en considération la recommandation du Conseil de l'Union européenne, du 3 mai 1998, concernant la nomination des membres de la Banque centrale européenne (BCE), ont manifesté leur accord pour nommer Wim Duisenberg au titre de président de la BCE. Extrait de la conférence de presse de Tony Blair, Premier ministre britannique et président du Conseil réuni au niveau des chefs d'État ou de gouvernement, sur la nomination de Wim Duisenberg et sur sa succession.
Décision prise d'un commun accord par les gouvernements des États membres au niveau des chefs d'État ou de gouvernement adoptant la monnaie unique, du 26 mai 1998, portant nomination du président de la Banque centrale européenne, de son vice-président ainsi que des autres membres de son directoire (98/345/CE).
Décision prise d’un commun accord, au niveau des chefs d’État ou de gouvernement, par les gouvernements des États membres dont la monnaie est l’euro, du 20 mai 2005, portant nomination d’un membre du directoire de la Banque centrale européenne (2005/391/CE).
Le 1er novembre 2003, à l’occasion de la prise de fonction de Jean-Claude Trichet comme nouveau président de la Banque centrale européenne (BCE), le quotidien français Le Monde brosse un tableau général de l’organisation et le fonctionnement de l’institution.
Sirkka Hämäläinen, membre du directoire de la BCE et ancien gouverneur de la Banque de Finlande, évoque les missions des membres du directoire ainsi que les objectifs principaux du Système européen de banques centrales (SEBC).
Réunion des membres du directoire de la Banque centrale européenne. De gauche à droite: Eugenio Domingo Solans, Christian Noyer, Tommaso Padoa-Schioppa, Sirkka Hämäläinen, Otmar Issing, Willem F. Duisenberg
Dans cet article du quotidien belge Le Soir, on retrouve les arguments des défenseurs et des détracteurs de la politique monétaire poursuivie par la Banque centrale européenne afin d'atteindre son objectif: maintenir la stabilité des prix.
Dans un entretien accordé au quotidien Le Figaro, Otmar Issing, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), défend la politique monétaire de l'institution. L'objectif de la BCE de maintenir la stabilité des prix constituerait à moyen terme la principale contribution de la politique monétaire à la croissance économique. Partant de la conviction qu'à long terme il n'existe pas une conciliation optimale entre les deux facteurs, Otmar Issing ne voit pas de raison pour que la BCE fasse dépendre son mandat de la situation conjoncturelle.
Extrait de l'entretien avec l'ancien gouverneur de la Banque centrale allemande, Karl Otto Pöhl, paru dans l'hebdomadaire Der Spiegel le 29 octobre 2001. Pöhl se prononce sur la politique de la Banque centrale européenne (BCE) en matière de taux et sur la possibilité d'effectuer une interprétation plus extensive de l'article 2 des Statuts de la Banque.