"Tirs de perturbation à Camp David". En 1977, le caricaturiste Fritz Behrendt présente l'action de Yasser Arafat, chef de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), comme une tentative de sabotage du rapprochement israélo-égyptien en cours et marqué l'année suivante par la conclusion des Accords de paix de Camp David (Maryland).
Du 5 au 17 septembre 1978, le président américain Jimmy Carter (au centre) réunit dans sa résidence de Camp David le président égyptien Anouar al-Sadate (à dr.) et le Premier ministre israélien Menahem Begin (à g.) pour des négociations de paix.
Le 12 septembre 1978, les délégations américaine, égyptienne et israélienne, réunies à Camp David, négocient un projet de plan de paix entre Israël et l'Égypte pour résoudre la crise au Proche-Orient.
Le 9 septembre 1978, le président égyptien Anouar al-Sadate négocie avec Israël à Camp David, résidence du président des États-Unis, pour l'établissement de la paix au Moyen-Orient.
Le 9 septembre 1978, Menahem Begin, Premier ministre israélien, négocie avec l'Égypte à Camp David, résidence du président des États-Unis, pour l'établissement de la paix au Moyen-Orient.
Le 17 septembre 1978, le président égyptien Anouar al-Sadate, le président des États-Unis Jimmy Carter et le Premier ministre israélien Menahem Begin signent à Washington les Accords de Camp David censés mettre un terme au conflit israélo-égyptien.
Le 17 septembre 1978, la signature à Washington des Accords de Camp David marque la réconciliation entre l'Égypte et Israël. De g. à dr.: le président égyptien Anouar al-Sadate, le président américain Jimmy Carter et le Premier ministre israélien Menahem Begin.
Le 19 septembre 1978, le quotidien français Le Monde rend compte des difficiles négociations de paix entre Israël et l'Égypte et exprime ses doutes quant à l'application effective d'un accord de paix entre les anciens belligérants.
Le 21 septembre 1978, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung salue l'initiative et le rôle de médiateur joué par le président américain Jimmy Carter en faveur de la conclusion, quatre jours plus tôt à Camp David (Maryland), des Accords de paix au Proche-Orient entre l'Égypte et Israël.
Le 28 septembre 1978, au lendemain de la conclusion des Accords de paix au Proche-Orient de Camp David (Maryland), le caricaturiste Fritz Behrendt représente l'action décisive du président américain Jimmy Carter pour faire pencher la balance en faveur du président égyptien Anouar al-Sadate et du Premier ministre israélien Menahem Begin malgré l'hostilité de nombreux responsables arabes.
"L'accord Sadate et Begin: ...les deux parties sont d'accord sur un cadre relatif à la conclusion d'un traité de paix..." En 1979, le caricaturiste néerlandais Opland illustre les accords de paix de Camp David à l'origine de la réconciliation entre l'Égyptien Anouar al-Sadate et l'Israélien Menahem Begin.
En mars 1979, évoquant les accords de Camp David et le rôle de médiateur du président américain Jimmy Carter dans le règlement du conflit israélo-égyptien, le caricaturiste allemand Felix Mussil illustre la fragilité du traité de paix signé par Israël et par l'Égypte le 26 mars 1979 à Washington (de g. à dr., le président égyptien Anouar al-Sadate et le Premier ministre israélien Menahem Begin).
Jimmy Carter, président démocrate des États-Unis entre 1976 et 1980 et artisan des Accords de paix au Moyen-Orient, négociés en septembre 1978 dans sa résidence officielle de Camp David (Maryland), entre le président égyptien Anouar al-Sadate et le Premier ministre israélien Menahem Begin.
Au milieu des années soixante-dix, l'essentiel de la défense européenne repose sur une importante présence militaire américaine sur le Vieux Continent. Pour le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, les Européens semblent se dire : "Tant que tu es là..." nous n'avons rien à craindre.
La guerre froide continue ! En 1975, la méfiance qui oppose les États-Unis à l'URSS alimente la course aux armements entre les deux superpuissances et plonge le monde dans une profonde inquiétude.
Ce document, daté du 22 mars 1983, est une ébauche du texte prononcé par le président américain Ronald Reagan lors de l'allocution télévisée au cours de laquelle il a dévoilé l'existence du projet militaire de "guerre des étoiles".
Le 15 janvier 1980, les ministres des Affaires étrangères des Neuf réunis à Bruxelles adoptent une déclaration commune condamnant l'intervention armée soviétique en Afghanistan.
Le 17 janvier 1980, le chancelier allemand Helmut Schmidt s'exprime devant le Bundestag au sujet de la situation politique internationale et condamne l'invasion armée de l'Afghanistan par l'Union soviétique.
Le 18 janvier 1980, le Comité des ministres du Conseil de l'Europe condamne l'intervention militaire soviétique en Afghanistan et appelle au retrait immédiat des troupes étrangères du sol afghan.
En février 1980, le mensuel 30 jours d'Europe décrit les réactions des Neuf face à l'intervention des troupes soviétiques en Afghanistan en décembre 1979.
En décembre 1980, soit un an après le début de leur intervention armée en Afghanistan, les troupes soviétiques se heurtent à la résistance des "rebelles" qui parviennent ici à s'emparer d'un char ennemi.
Le 28 janvier 1980, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel examine l'état des relations Est-Ouest suite à l'intervention militaire de l'Union soviétique en Afghanistan en décembre 1979.
"L'armée du salut". En décembre 1980, un an après l'intervention militaire soviétique en Afghanistan qui suscite des protestations de la part du monde occidental, Leonid Brejnev, Premier secrétaire du Parti communiste d'Union soviétique, et son ministre des Affaires étrangères Andrei Gromyko appellent au « soutien de leur bonne oeuvre en Afghanistan ».