Dans cette interview, Pierre Moscovici, ancien député et vice-président du Parlement européen et ancien ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes, revient sur l'origine de son engagement en politique influencé par ses convictions en matière de construction européenne.
Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Jospin de 1997 à 2002, commente le discours du Premier ministre sur l'avenir de l'Europe élargie du 28 mai 2001.
Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Jospin de 1997 à 2002 et vice-président du Parlement européen de 2004 à 2007, nous livre son point de vue sur les moyens à mettre en oeuvre afin de réaliser le concept l'Europe-puissance.
Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Jospin de 1997 à 2002, évoque l’importance des années passées à ce poste pour sa vocation européenne.
Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Jospin de 1997 à 2002, représentant des autorités françaises à la Convention européenne et vice-président du Parlement européen de 2004 à 2007, s'exprime sur les causes et les conséquences du rejet par la France du traité constitutionnel.
Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Jospin de 1997 à 2002, représentant des autorités françaises à la Convention européenne et vice-président du Parlement européen de 2004 à 2007, s'exprime sur les perspectives de l'Union européenne suite à l'échec du traité constitutionnel.
Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Jospin de 1997 à 2002 et représentant des autorités françaises à la Convention européenne commente le rôle prépondérant joué par la France au sein de la Convention sur l'avenir de l'Europe.
Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Jospin de 1997 à 2002, représentant des autorités françaises à la Convention sur l'avenir de l'Europe et vice-président du Parlement européen de 2004 à 2007, revient sur le rejet du traité constitutionnel par les Français en 2005 et les perspectives de l'Union européenne.
Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Jospin de 1997 à 2002, livre ses impressions sur les travaux au sein des institutions de l'Union européenne.
Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Jospin de 1997 à 2002, s'exprime sur les similitudes et les différences existant entre les gouvernements sociaux-démocrates qui sont au pouvoir en Europe à la fin des années quatre-vingt-dix.
Pierre Moscovici, député européen de 1994 à 1997, ministre délégué chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Jospin de 1997 à 2002 et vice-président du Parlement européen de 2004 à 2007 souligne l'importance de cette institution.
Dans cette interview, Pierre Moscovici, député au Parlement européen de 1994 à 1997 et vice-président de cette institution de 2004 à 2007, décrit l'évolution des pouvoirs du Parlement européen entre ces deux périodes et aborde la question du déficit démocratique des institutions européennes.
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002, critique les résultats du Conseil européen de Berlin des 24 et 25 mars 1999 au cours duquel est adopté l'Agenda 2000 qui fixe un programme d'action relatif au fonctionnement interne de l'Union européenne, à la mise en place d'un nouveau cadre financier, à la réforme de la Politique agricole commune (PAC) et au processus de préadhésion des pays candidats avant le cinquième élargissement de l'UE.
Le 26 mars 1999, à l'issue du Conseil européen extraordinaire de Berlin, Jacques Chirac, président de la République française, et Pierre Moscovici, ministre délégué chargé des Affaires européennes de la France, tiennent une conférence de presse au cours de laquelle ils dressent le bilan des négociations entre les Quinze au sujet, notamment, de l'Agenda 2000.
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002, décrit les négociations au cours de la présidence française du Conseil de l'Union européenne ainsi que lors du Conseil européen de Nice des 7, 8 et 9 décembre 2000 ayant abouti par la signature du traité de Nice le 26 février 2001.
Am 13. November 2000 berichtet Pierre Moscovici, französischer delegierter Minister für europäische Angelegenheiten, über den Fortschritt der Verhandlungen über die Reform der europäischen Institutionen und beantwortet die Fragen der Journalisten über die deutsch-französische Zusammenarbeit.
Am 26. Februar 2001 findet die feierliche Unterzeichnung des Vertrags von Nizza statt. Der französische Staatspräsident Jacques Chirac, der französische Premierminister Lionel Jospin, der schwedische Premierminister und amtierende Ratspräsident der Europäischen Union Göran Persson, die Präsidentin des Europäischen Parlaments Nicole Fontaine und der Präsident der Europäischen Kommission Romano Prodi ergreifen nacheinander das Wort, um die Unterzeichnung des Vertrages zu begrüßen und an die zukünftigen Herausforderungen für die Europäische Union zu erinnern.
Valéry Giscard d'Estaing et la convention sur l'avenir de l'Europe
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002 et représentant du gouvernement français à la Convention sur l'avenir de l'Europe en 2002, décrit les circonstances de la nomination de Valéry Giscard d'Estaing à la présidence de cette convention.
Valéry Giscard d'Estaing, président de la Convention européenne, pose sur la table de la présidence sa tortue chinoise en porcelaine. Symbole de longévité, cette mascotte à tête de dragon représente pour le président la démarche prudente qui aboutit à son objectif. Comme la Convention, la tortue dragon avance de manière progressive pour saisir dans ses griffes, lorsqu'il le faudra, le texte final.
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ancien député et vice-président du Parlement européen, ancien ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes et ancien représentant du gouvernement français à la Convention sur l'avenir de l'Europe, revient sur les résultats des référendums organisés en 2005 en France et aux Pays-Bas sur la ratification du traité établissant une Constitution pour l'Europe.
"Euro-Tristesse". En 2005, le caricaturiste allemand Hanel illustre la crise qui affecte l'Union européenne après le rejet par les citoyens français et néerlandais du traité établissant une Constitution pour l'Europe.
In diesem Interview analysiert Jacques Santer, als persönlicher Vertreter des luxemburgischen Premierministers Jean-Claude Juncker ehemaliges Mitglied des Europäischen Konvents, die negativen Ergebnisse der Volksabstimmungen zum Vertrag über eine Verfassung für Europa im Frühjahr 2005 in Frankreich und den Niederlanden.
La méthode de la Convention sur l'avenir de l'Europe
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002 et représentant du gouvernement français à la Convention sur l'avenir de l'Europe en 2002, exprime sa préférence pour cette méthode qu'il juge plus efficace en la comparant à celle de la Conférence intergouvernementale (CIG).
Dans cette interview, António Vitorino, représentant de la Commission à la Convention européenne de 2002 à 2003 et participant aux travaux de la CIG en tant que représentant de la Commission de 2003 à 2004, souligne l'originalité de la méthode de la Convention basée notamment sur la diversité de sa composition et l'ouverture et la transparence des débats.
Le Parti socialiste français et la construction européenne
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ancien député et vice-président du Parlement européen, ancien ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes et Secrétaire national aux relations internationales au Parti socialiste (PS), souligne l'importance pour le PS de définir une ligne politique claire concernant l'avenir de la construction européenne, notamment après les débats au sein du parti au sujet du traité de Lisbonne.