Le 14 juin 1985, Paul De Keersmaeker, secrétaire d'État belge aux Affaires européennes, Waldemar Schreckenberger, secrétaire d'État auprès du chancelier fédéral allemand, Catherine Lalumière, secrétaire d'État française aux Affaires européennes, Robert Goebbels, secrétaire d'État luxembourgeois aux Affaires étrangères, et Willem Frederik van Eekelen, secrétaire d'État néerlandais aux Affaires étrangères, signent à bord du bateau de plaisance "Princesse Marie-Astrid" accosté à Schengen (Luxembourg) l'accord relatif à la suppression graduelle des contrôles à leurs frontières communes.
Le 14 juin 1985, Robert Goebbels, secrétaire d'État luxembourgeois aux Affaires étrangères, se félicite de la signature, le jour même à Schengen, de l'accord relatif à la suppression graduelle des contrôles aux frontières communes entre la République fédérale d'Allemagne (RFA), la Belgique, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas.
Le 14 juin 1985, Paul De Keersmaeker, secrétaire d'État belge aux Affaires européennes, Waldemar Schreckenberger, secrétaire d'État auprès du chancelier fédéral allemand, Catherine Lalumière, secrétaire d'État française aux Affaires européennes, Robert Goebbels, secrétaire d'État luxembourgeois aux Affaires étrangères, et Willem Frederik van Eekelen, secrétaire d'État néerlandais aux Affaires étrangères, signent à bord du bateau de plaisance "Princesse Marie-Astrid" accosté à Schengen (Luxembourg) l'accord relatif à la suppression graduelle des contrôles à leurs frontières communes.
Am 14. Juni 1985 unterzeichnen Paul de Keersmaeker, belgischer Staatssekretär für europäische Angelegenheiten, Waldemar Schreckenberger, Staatssekretär beim deutschen Bundeskanzler, Catherine Lalumière, französische Staatssekretärin für europäische Angelegenheiten, Robert Goebbels, luxemburgischer Staatssekretär für auswärtige Angelegenheiten, und Willem Frederik van Eekelen, niederländischer Staatssekretär für Auswärtige Angelegenheiten, an Bord der „Princesse Marie-Astrid“ in Schengen (Luxemburg) das Abkommen über den schrittweisen Abbau der Personenkontrollen an den Binnengrenzen.
In diesem Interview schildert die ehemalige französische Staatssekretärin für Europäische Angelegenheiten Catherine Lalumière die Chancen und Risiken bei der Umsetzung des Schengener Abkommens über den schrittweisen Abbau der Personenkontrollen an den Binnengrenzen, das am 14. Juni 1985 von den Vertretern der Bundesrepublik Deutschlands, Belgiens, Frankreichs, Luxemburgs und der Niederlande unterzeichnet worden war.
Das Übereinkommen zur Durchführung des Schengener Abkommens (19. Juni 1990)
Le 19 juin 1990, Paul De Keersmaeker, secrétaire d'État belge aux Affaires européennes, Lutz Stavenhagen, ministre d'État auprès du chancelier fédéral d'Allemagne, Edith Cresson, ministre française des Affaires européennes, Georges Wohlfahrt, secrétaire d'État luxembourgois aux Affaires étrangères, Piet Dankert, secrétaire d'État néerlandais aux Affaires étrangères, et Aad Kosto, secrétaire d'État néerlandais à la Justice, signent à bord du bateau de plaisance "Princesse Marie-Astrid" accosté à Schengen (Luxembourg) la convention d'application de l'accord relatif à la suppression graduelle des contrôles aux frontières communes signé à Schengen le 14 juin 1985.
Le 19 juin 1990, lors de la cérémonie de signature à Schengen de la convention d'application de l'accord relatif à la suppression graduelle des contrôles aux frontières communes signé à Schengen le 14 juin 1985, Piet Dankert, secrétaire d'État des Affaires étrangères des Pays-Bas et président de la réunion, prononce un discours dans lequel il se félicite, malgré les difficultés, de cet accord sur la suppression des frontières intérieures des cinq pays signataires.
Während der feierlichen Unterzeichnung des Übereinkommens zur Durchführung des Schengener Abkommens über den schrittweisen Abbau der Personenkontrollen an den Binnengrenzen vom 14. Juni 1985, die am 19. Juni 1990 in Schengen stattfindet, hält Piet Dankert, niederländischer Staatssekretär für Auswärtige Angelegenheiten und Vorsitzender der Sitzung, eine Rede und begrüßt trotz aller Schwierigkeiten dieses Abkommen zur Abschaffung der Binnengrenzen der fünf Unterzeichnerstaaten.
Am 19. Juni 1990 findet in Schengen die feierliche Unterzeichnung des Übereinkommens zur Durchführung des Schengener Abkommens über den schrittweisen Abbau der Personenkontrollen an den Binnengrenzen vom 14. Juni 1985 statt. Der belgische Staatssekretär für europäische Angelegenheiten Paul de Keersmaeker spricht über die Bedeutung des Übereinkommens.
Le 19 juin 1990, Piet Dankert, secrétaire d'État des Affaires étrangères des Pays-Bas (à g.), Edith Cresson, ministre française des Affaires européennes (au centre), et Georges Wohlfahrt, secrétaire d'État luxembourgois aux Affaires étrangères ( à dr.), signent à Schengen la convention d'application de l'accord relatif à la suppression graduelle des contrôles aux frontières communes signé à Schengen le 14 juin 1985.
Le 20 juin 1990, commentant la signature, la veille, par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, du Luxembourg et des Pays-Bas de la convention de Schengen qui définit les conditions d'application et les garanties de mise en oeuvre de la libre circulation des personnes, le quotidien français Le Monde en examine les enjeux et les contraintes pour les pays signataires.
Am 19. Juni 1990 unterzeichnen die Vertreter der Bundesrepublik Deutschland (BRD), Belgiens, Frankreichs, Italiens, Luxemburgs und der Niederlande in Schengen das Übereinkommen zur Durchführung des Schengener Abkommens vom 14. Juni 1985 über den schrittweisen Abbau der Personenkontrollen an den Binnengrenzen. Am 20. Juni stellt die belgische Tageszeitung Le Soir die praktischen Schwierigkeiten dar, die bei der Realisierung des freien Personenverkehrs in Europa auftreten können.
Im Juni 1991 illustriert der französische Karikaturist Plantu die Folgen der Unterzeichnung des Schengener Durchführungsübereinkommens, das die Anwendungsbedingungen des freien Personenverkehrs zwischen der Bundesrepublik Deutschland (BRD), Belgien, Frankreich, Luxemburg und den Niederlanden festlegt, und zum schrittweisen Abbau der Kontrollen an den gemeinsamen Grenzen der Mitgliedstaaten führt.
Suite à l'accord de Schengen, signé le 14 juin 1985 par la République fédérale d'Allemagne (RFA), la Belgique, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas, la convention de Schengen du 19 juin 1990 définit les conditions d'application de la libre circulation des personnes entre les États signataires.
Dans cette interview, Édith Cresson, ancienne ministre des Affaires européennes de 1988 à 1990, revient sur les enjeux liés à l'application des accords de Schengen signés en 1990.
Le 27 novembre 1990, l'Italie signe à Paris l'accord d'adhésion à la convention d'application (du 19 juin 1990) de l'accord signé à Schengen (Luxembourg) le 14 juin 1985 par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, du Luxembourg et des Pays-Bas sur la suppression graduelle des contrôles aux frontières communes.
Le 3 juin 1991, lors des débats à l'Assemblée nationale française sur la ratification de la convention d'application de l'accord de Schengen du 27 novembre 1990 et du projet de loi autorisant l'approbation de l'accord d'adhésion de l'Italie à ladite convention, Élisabeth Guigou, ministre déléguée aux Affaires européennes, expose les enjeux de la libre circulation des personnes en Europe.
Le 25 juin 1991, l'Espagne signe à Bonn l'accord d'adhésion à la convention d'application (du 19 juin 1990) de l'accord signé à Schengen (Luxembourg) le 14 juin 1985 par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, du Luxembourg et des Pays-Bas sur la suppression graduelle des contrôles aux frontières communes.
Le 25 juin 1991, le Portugal signe à Bonn la convention d'application (du 19 juin 1990) de l'accord signé à Schengen (Luxembourg) le 14 juin 1985 par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, du Luxembourg et des Pays-Bas sur la suppression graduelle des contrôles aux frontières communes.
Am 12. Februar 1992, anläßlich der Verabschiedung des Entwurfs eines Ratifizierungsgesetzes zum Schengener Abkommen durch das Bundeskabinett, gibt Bundesinnenminister Rudolf Seiters eine Erklärung ab über die Tragweite des Schengener Vertragswerks.
Le 3 mai 1993, le quotidien français Le Monde analyse les raisons qui conduisent la France à vouloir maintenir un contrôle à ses postes frontières en contradiction avec l'accord de 1985 et avec la convention de Schengen du 19 juin 1990 sur la suppression graduelle des contrôles aux frontières communes.
Le 22 novembre 1994, lors des débats à l'Assemblée nationale, Alain Lamassoure, ministre délégué aux Affaires européennes, répond aux questions des parlementaires français sur la mise en œuvre de la convention de Schengen.
Le 23 mars 1995, en prévision de l'application par la France de la convention de Schengen, le ministère français des Affaires étrangères rédige une brochure d'information détaillant les principales dispositions du futur espace de Schengen.
Le 25 mars 1995, le quotidien La Libre Belgique se réjouit de l'entrée en vigueur, le lendemain en Allemagne, en Belgique, en France, en Espagne, au Luxembourg, aux Pays-Bas et au Portugal, de la convention de Schengen qui vise à supprimer progressivement les contrôles aux frontières communes et à instaurer un régime de libre circulation des personnes.
Le 25 mars 1995, quelques militants du Front National, parti d'extrême droite français, manifestent à Menton, au poste de frontière franco-italien, contre l'entrée en vigueur, le lendemain, de l'Accord de Schengen dont ils craignent les retombées sur le marché du travail en France.
Am 26. März 1995, Datum des Inkrafttretens des Schengener Abkommens, werden die Grenzkontrollen der teilnehmenden Länder verschärft und lange Autoschlangen bilden sich an verschiedenen Orten wie hier in Frankfurt (Oder) zwischen Deutschland und Polen.
Le 27 mars 1995, le quotidien britannique The Guardian commente l'entrée en vigueur, la veille dans la République fédérale d'Allemagne (RFA), en Belgique, en Espagne, en France, au Luxembourg, aux Pays-Bas et au Portugal de la convention de Schengen du 19 juin 1990.
Signée le 19 juin 1990 par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, du Luxembourg et des Pays-Bas suite à l'accord de Schengen du 14 juin 1985, la convention de Schengen définit les conditions d'application et les garanties de mise en oeuvre de la libre circulation des personnes dans les pays signataires.
Le 7 octobre 1995, dans un discours prononcé à l'Assemblée nationale, Michel Barnier, ministre français délégué aux Affaires européennes, insiste sur les enjeux relatifs à l'application des accords de Schengen.
Le 5 décembre 1996, Michel Barnier (à g.), ministre français délégué aux Affaires européennes, et Kurt Schelter, secrétaire d'État à la Sécurité de la République fédérale d'Allemagne (RFA), découvrent ensemble les installations et les instruments techniques du Centre informatique interdépartemental (Système d'information Schengen) à Strasbourg.
Le 2 avril 1998, le quotidien français Le Figaro décrit la situation au point de passage du col du Brenner entre l'Italie et l'Autriche suite à l'entrée en vigueur de la convention de Schengen du 19 juin 1990.
Le 16 septembre 1998 à Königswinter, le Comité exécutif des États signataires des accords de Schengen décide de la création d'une Commission permanente d'évaluation et d'application de Schengen.
In diesem Interview spricht Alain Lamassoure, ehemaliger französischer Minister für europäische Angelegenheiten von 1993 bis 1995, über die Verhandlungen, die am 26. März 1995 in Deutschland, Belgien, Frankreich, Luxemburg, den Niederlanden und in Portugal zum Inkrafttreten des Schengener Durchführungsübereinkommens geführt haben, das den schrittweisen Abbau der Grenzkontrollen und die Schaffung des freien Personenverkehrs vorsieht.