Am 10. Mai 1950 analysiert die Luxemburger Tageszeitung Luxemburger Wort die verschiedenen Apekte der Erklärung Robert Schumans und kommentiert die Reaktion der Vereinigten Staaten, des Vereinigten Königreichs und Deutschlands.
Am 10. Mai 1950 befasst sich die Luxemburger Tageszeitung Luxemburger Wort mit den Motiven des französischen Außenministers Robert Schuman, der am Tag zuvor der Öffentlichkeit sein Vorhaben einer europäischen Kohle- und Stahlgemeinschaft vorgestellt hatte.
Am 13. Mai 1950 analysiert die Tageszeitung Luxemburger Wort die Reaktionen Luxemburgs und des Auslands auf den Vorschlag Robert Schumans, die europäische Kohle- und Stahlproduktion zusammenzulegen.
Am 23. Mai 1950 fragt der Fachverband der luxemburgischen Eisen- und Stahlindustrie, die Arbeitgeberorganisation der ARBED, der S.A. Hauts-Foruneaux et Aciéries Differdange-St.Ingbert-Rumelange sowie der Minière et Métallurgique de Rodange, nach den Bedingungen für die praktische Umsetzung der französischen Ideen.
Le 31 mai 1950, l'ambassade du Luxembourg à Paris informe le ministère français des Affaires étrangères, de la volonté du gouvernement luxembourgeois de participer à des négociations sur les bases de la proposition française du 9 mai dernier, visant à la mise en place d'un pool européen du charbon et de l'acier.
Am 3. Februar 1951 verfasst die niederländische Botschaft in Luxemburg einen Vermerk über die Reaktionen der luxemburgischen Öffentlichkeit auf die Herausforderungen des Schuman-Plans.
Le 10 mai 1950, au lendemain de la déclaration Schuman, le quotidien néerlandais Het Parool détaille les enjeux économiques et politiques de la mise en commun des industries du charbon et de l'acier de l'Allemagne et de la France.
Le 10 mai 1950, au lendemain de la conférence de presse de Robert Schuman sur la mise en commun du charbon et de l'acier en Europe, le quotidien néerlandais Het Vrije Volk se félicite de l'initiative du gouvernement français.
Le 10 mai 1950, le quotidien néerlandais Algemeen Handelsblad mesure l'importance du plan Schuman pour l'avenir de la coopération économique européenne.
Le 13 mai 1950, le quotidien néerlandais Het Parool évoque les commentaires en France et au Royaume-Uni à l'encontre de la proposition Schuman de mise en commun de la production européenne de charbon et d'acier et souligne l'effet de surprise du plan français.
Am 13. Mai 1950 begrüßt die niederländische Tageszeitung De Volkskrant die Ankündung des Schuman-Plans, dem zufolge die deutsche und die französische Kohle- und Stahlproduktion unter die Aufsicht einer supranationalen europäischen Organisation gestellt werden sollen.
Le 14 mai 1950, la revue néerlandaise Internationale Spectator analyse en détail la proposition du ministre français des Affaires étrangères Robert Schuman sur la mise en commun du charbon et de l'acier en Europe.
Le 14 mai 1950, la revue néerlandaise Internationale Spectator analyse en détail la proposition du ministre français des Affaires étrangères Robert Schuman sur la mise en commun du charbon et de l'acier en Europe.
Le 20 mai 1950, le périodique néerlandais Vrij Nederland s'interroge sur la faisabilité et les différences du plan Schuman par rapport aux autres initiatives d'intégration européenne en cours.
"Amor vincit Omnia (L'amour triomphe de tout)". Le 20 mai 1950, le caricaturiste néerlandais Roc illustre l'idylle franco-allemande pouvant naître de la proposition de Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, visant à la mise en commun des productions de charbon et d'acier en Europe.
Le 31 mai 1950, l'ambassade des Pays-Bas à Paris transmet une note au ministère français des Affaires Etrangères dans laquelle le gouvernement néerlandais accepte l’invitation de participer aux futures négociations sur le plan Schuman.
Dirk Stikker, ministre néerlandais des Affaires étrangères de 1948 à 1952, se souvient dans ses Mémoires de la réaction aux Pays-Bas à la déclaration de Robert Schuman du 9 mai 1950.
Dans ses Mémoires, le diplomate néerlandais Johannes Linthorst Homan rappelle la réaction des milieux politiques des Pays-Bas face à la proposition française de créer une organisation européenne supranationale pour contrôler la production allemande et française du charbon et d'acier.
In diesem Interview beschreibt spricht Max Kohnstamm, ehemaliger Leiter des Büros für deutsche Angelegenheiten im niederländischen Außenministerium, die Umstände, unter denen er von der Schuman-Erklärung vom 9. Mai 1950 erfuhr.
Dans cette interview, Edmund Wellenstein, chef de la division « Allemagne » et directeur général des Affaires européennes au ministère néerlandais des Affaires étrangères entre 1950 et 1952, décrit la manière dont les milieux diplomatiques et économiques des Pays-Bas ont accueilli la déclaration Schuman du 9 mai 1950.
Dans cette interview, Edmund Wellenstein, chef de la division « Allemagne » et directeur général des Affaires européennes au ministère néerlandais des Affaires étrangères entre 1950 et 1952, décrit l'importance aux Pays-Bas du clivage générationnel entre ceux qui étaient favorables ou hostiles à l'approche supranationale de la déclaration Schuman du 9 mai 1950.
Am 13. Mai 1950 beschreibt die belgische Zeitschrift Agence industrielle et économique die Tragweite des französischen Vorschlags zur Zusammenlegung der deutschen und französischen Kohle- und Stahlerzeugung unter der Aufsicht einer europäischen supranationalen Organisation.
Am 20. Mai 1950 zeigt die belgische kommunistische Tageszeitung Le Drapeau rouge die Gefahren des Schuman-Plans für die Bergbau- sowie die Eisen- und Stahlindustrie des Landes auf.
Le 23 mai 1950, le quotidien La Libre Belgique publie la déclaration du ministre belge des Affaires étrangères Paul van Zeeland qui adopte un point de vue prudent sur le plan Schuman.
Commandité à une firme d'ingénieurs-conseils américaine par l'Economic Cooperation Administration (ECA), chargée de contrôler l'utilisation de l'aide Marshall en Europe, le Rapport Robinson dresse, en mai 1950, un bilan sévère de la gestion des charbonnages belges et préconise leur modernisation.
Le 15 juin 1950, la sidérurgie belgo-luxembourgeoise commente la proposition française de placer la production allemande et française du charbon et de l'acier sous l'autorité d'une organisation européenne supranationale.
Am 3. Februar 1951 verfasst die niederländische Botschaft in Brüssel einen Vermerk, in dem sie die Reaktionen der belgischen Öffentlichkeit und Presse auf die Chancen und Risiken des Schumanplans beschreibt.