Le 6 mai 1956, en marge d'une réunion à Paris du Conseil de l'Atlantique Nord, les ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) fixent les procédures et les objectifs de la conférence de Venise des 29 et 30 mai 1956.
Le 16 mai 1956, en marge des travaux sur la relance européenne, une note confidentielle du secrétariat du comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine examine l'organisation, les objectifs et les enjeux de la conférence de Venise des 29 et 30 mai 1956.
Le 17 mai 1956, Christian Calmes, secrétaire général du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), insiste auprès de Johan Willem Beyen, ministre néerlandais des Affaires étrangères, sur la nécessité de mettre en place un poste de coordinateur politique pour les prochaines discussions diplomatiques sur le Marché commun et l'Euratom qui, à ses yeux, devraient faire l'objet d'une conférence unique.
Le 26 mai 1956, Ludwig Erhard, ministre allemand de l'Économie, communique à Heinrich von Brentano, son collègue aux Affaires étrangères, les priorités de la délégation allemande pour la conférence sur la relance européenne qui doit se tenir à Venise les 29 et 30 mai 1956.
Le 29 mai 1956, lors de la conférence de Venise sur la relance européenne, Joseph Bech, Président du gouvernement et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, expose la position de son pays vis-à-vis du rapport Spaak et des projets de Marché commun et d'Euratom.
Le 29 mai 1956, le bureau de liaison des syndicats libres des pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) adresse au président de la conférence des ministres des Affaires étrangères réunie à Venise une résolution dans laquelle elle rappelle ses désidératas en ce qui concerne le Marché commun et l'Euratom.
Le 29 mai 1956, lors de la conférence de Venise sur la relance européenne, Christian Pineau (debout), ministre français des Affaires étrangères et président de la conférence, explique à ses partenaires européens les positions de la France en ce qui concerne le Marché commun et l'Euratom.
Les 29 et 30 mai 1956, les ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) se réunissent à Venise pour examiner les enjeux du rapport Spaak et les projets de Marché commun et d'Euratom.
Les 29 et 30 mai 1956, les ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) se réunissent à Venise pour examiner le rapport Spaak et les projets de Marché commun et d'Euratom. Joseph Bech, Président du gouvernement et ministre des Affaires étrangères du Luxembourg, profite de l'occasion pour tourner des images en couleur de la Cité des Doges avec sa caméra personnelle.
Le 8 juin 1956, les ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) adoptent un projet de procès-verbal qui rend compte des positions de chacune des délégations nationales sur le Marché commun et sur l'Euratom telles que définies le 29 mai 1956 en ouverture de la conférence de Venise sur la relance européenne.
Composition des délégations des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) lors de la conférence de Venise du 29 et 30 mai 1956 sur la relance européenne.
Le 30 mai 1956, à la veille des négociations de Val Duchesse, le chargé d'affaires de l'ambassade de France en Belgique, Bernard Dufournier adresse une lettre à Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères, dans laquelle il rend compte de la position de la Confédération internationale des syndicats chrétiens (CISC) à l'égard de la relance européenne et des projets de marché commun et d'Euratom.
Les 29 et 30 mai 1956, les ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) se réunissent à Venise pour examiner le rapport Spaak et les projets de Marché commun et d'Euratom. A l'issue de la rencontre, ils font part de leurs conclusions à la presse.
Le 30 mai 1956, à l'issue de la conférence de Venise sur la relance européenne, Walter Hallstein, secrétaire d'État des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA), communique à son gouvernement les décisions prises par les Six et la position des délégations nationales au cours des négociations.
Le 7 juin 1956, Johan Willem Beyen, ministre néerlandais des Affaires étrangères, rend compte devant la commission des Affaires étrangères de la Deuxième Chambre des Pays-Bas des débats lors de la conférence, les 29 et 30 mai, des ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) sur la relance européenne.
Le 8 juin 1956, Bernard Dufournier, premier conseiller à l'ambassade de France à Bruxelles, adresse à Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères, un télégramme dans lequel il décrit la satisfaction de Paul-Henri Spaak, président du Comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine, par rapport au déroulement de la conférence de Venise et son optimisme quant à la poursuite de la relance européenne.
Dans cette interview, Charles Rutten, ancien membre de la délégation néerlandaise auprès de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, précise les enjeux et le déroulement de la réunion, les 29 et 30 mai 1956 à Venise, des ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien directeur adjoint du cabinet de Maurice Faure alors secrétaire d'État français aux Affaires étrangères, évoque les enjeux de la réunion, les 29 et 30 mai 1956 à Venise, des ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) pour la relance européenne.
Le 29 mai 1956, le quotidien français Combat pointe le peu d'intérêt suscité en France par la conférence de Venise pour la relance européenne et affiche son scepticisme quant aux chances de succès de l'Euratom ou d'un marché commun européen.
Le 26 mai 1956, commentant l'ouverture prochaine de la conférence de Venise sur la relance européenne, le quotidien Luxemburger Wort décrit la position de la Confédération internationale des syndicats chrétiens (CISC) à l'égard du Marché commun et de l'Euratom.
Le 29 mai 1956, commentant la conférence de Venise réunissant les ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), le quotidien Luxemburger Wort évoque les enjeux d'Euratom et pointe les difficultés que pose la mise en place d'un marché commun européen.
Le 30 mai 1956, commentant la conférence de Venise, André François-Poncet, membre de l'Académie française et ancien ambassadeur de France en République fédérale d'Allemagne (RFA), analyse dans le quotidien français Le Figaro les enjeux, notamment militaires, de la mise en place d'une Communauté atomique européenne.
Le 31 mai 1956, commentant les conclusions de la réunion à Venise des ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), le quotidien conservateur La Nation belge met l'accent sur la satisfaction de la délégation belge emmenée par Paul-Henri Spaak.
Le 1er juin 1956, le quotidien français Le Monde examine la portée des décisions adoptées par les ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) réunis les 29 et 30 mai à Venise pour étudier le rapport Spaak et les projets de Marché commun et d'Euratom.
Le 2 juin 1956, commentant la conférence à Venise des ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), le quotidien Luxemburger Wort décrit les difficultés propres à la mise en place d'un marché commun par rapport à la création d'une communauté atomique en Europe.
Le 5 juin 1956, le Bulletin de l'Office de presse et d'information du gouvernement de la République fédérale d'Allemagne (RFA) se félicite des décisions adoptées par les ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) réunis les 29 et 30 mai à Venise pour étudier le rapport Spaak et les projets de Marché commun et d'Euratom.
Le 6 juin 1956, commentant la conférence de Venise, l'hebdomadaire allemand Rheinischer Merkur décrit les efforts poursuivis par les ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) pour relancer le processus d'intégration européenne.
Le 8 juin 1956, un an après la conférence de Messine sur la relance européenne, le quotidien milanais Il nuovo Corriere della Sera dresse un bilan du chemin parcouru par les six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) sur la voie de l'intégration européenne.
Le 9 juin 1956, commentant les résultats de la conférence de Venise sur la relance européenne, le bimestriel italien Relazioni internazionali rend compte de la complexité des négociations entre les Six sur les projets de Marché commun et d'Euratom.
Le 20 juin 1956, dans le cadre des négociations autour d'un marché commun européen, le quotidien français Le Monde publie un article de François Walter qui analyse les idées économiques du projet. Regrettant que l'opinion publique française ne soit pas très informée des négociations en cours, il souhaite qu'un débat public ait lieu rapidement afin d'éviter une répétition de l'échec de la Communauté européenne de défense (CED).