Le 13 juin 1989, Mikhaïl Gorbatchev, Premier secrétaire du comité central du Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS), et le chancelier allemand Helmut Kohl signent à Bonn une déclaration commune concernant le droit des peuples et des États à l'autodétermination.
Le 13 juin 1989, réunis à Bonn, Mikhaïl Gorbatchev, Premier secrétaire du comité central du Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS), et le chancelier allemand Helmut Kohl signent une déclaration commune affirmant le droit des peuples et des États à l'autodétermination.
Le 8 novembre 1989, Helmut Kohl, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), prononce devant le Bundestag un discours sur l'état de la nation dans l'Allemagne divisée.
Le 28 novembre 1989, Helmut Kohl, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), présente au Bundestag son plan en dix points devant conduire à la réunification de l'Allemagne.
Le 28 novembre 1989, Wolfgang Meyer, porte-parole du gouvernement de la République démocratique allemande (RDA), émet des réserves à l'égard du plan en dix points mis au point par le chancelier ouest-allemand Helmut Kohl pour faciliter la réunification de l'Allemagne.
Dans ses Mémoires, Hans-Dietrich Genscher, ancien ministre ouest-allemand des Affaires étrangères, décrit les réactions provoquées par la présentation, le 28 novembre 1989 au Bundestag, du plan en dix points du chancelier fédéral Helmut Kohl sur la réunification de l'Allemagne.
Dans ses Mémoires, Horst Teltschik, ancien responsable de la politique extérieure et de la sécurité à la chancellerie fédérale allemande, décrit la préparation du plan en dix points sur la réunification allemande et la surprise qu'il a suscitée lors de sa présentation le 28 novembre 1989 par le chancelier Helmut Kohl devant le Bundestag.
Le 30 novembre 1989, l'hebdomadaire allemand Die Zeit se demande si l'application du programme en dix points du chancelier fédéral Helmut Kohl peut aboutir à terme à une réunification de l'Allemagne.
Le 28 novembre 1989, Helmut Kohl, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), propose un plan en dix points pour préparer la réunification de l'Allemagne.
Ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA) en 1974 puis à nouveau de 1982 à 1992, le libéral Hans-Dietrich Genscher figure est un des artisans de la réunification allemande.
«Hymne national – Plan en dix points». En 1989, le caricaturiste allemand Walter Hanel ironise sur les craintes qu'éprouvent les dirigeants des quatre «Grands» (États-Unis, Royaume-Uni, France et Union soviétique) à l'égard du plan en dix points du chancelier Helmut Kohl sur la réunification de l'Allemagne. De gauche à droite: le président américain Georges Bush, le Premier ministre britannique Margaret Thatcher, le président français François Mitterrand et le Premier secrétaire du comité central du Parti communiste de l'Union soviétique Mikhaïl Gorbatchev. À la manivelle de l'orgue de barbarie, Helmut Kohl, le chancelier allemand accompagné de son ministre des Affaires étrangères Hans-Dietrich Genscher.
Le 6 avril 1990, l'hebdomadaire allemand Die Zeit analyse les arguments pour et contre l'application de l'échelle 1=1 pour la reconversion du mark est-allemand en mark ouest-allemand après la réunification de l'Allemagne.
Le 24 avril 1990, le quotidien bavarois Süddeutsche Zeitung commente la décision d'Helmut Kohl, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), d'appliquer à l'échelle 1=1 la reconversion du mark est-allemand en mark ouest-allemand.
Le 18 mai 1990, la République fédérale d'Allemagne (RFA) et la République démocratique allemande (RDA) signent à Bonn le traité instituant entre elles une Union monétaire, économique et sociale.
En présence de Helmut Kohl, chancelier de la RFA et de Lothar de Maizière, chef du gouvernement est-allemand, les ministres des finances Walter Romberg (RDA) et Theodor Waigel (RFA) signent le 18 mai 1990 à Bonn le traité portant création d'une Union monétaire, économique et sociale entre les deux Allemagnes. De g. à dr.: 1er rang: Walter Romberg, Theodor Waigel. Derrière: Lothar de Maizière, Helmut Kohl.
Sous les applaudissements de Helmut Kohl, chancelier de la RFA et de Lothar de Maizière, président du gouvernement est-allemand, les ministres des finances Theodor Waigel (RFA) et Walter Romberg (RDA) signent le 18 mai 1990 à Bonn le traité instituant une Union monétaire, économique et sociale. De g. à dr.: Lothar de Maizière, Walter Romberg, Helmut Kohl, Theodor Waigel.
Le 18 mai 1990, à l'occasion de la signature du traité instituant une Union économique, monétaire et sociale entre la République fédérale d'Allemagne (RFA) et la République démocratique allemande (RDA), le chancelier fédéral Helmut Kohl fait une déclaration dans laquelle il souligne la portée historique de l'accord.
Le 18 mai 1990, lors de la signature du traité d'Union économique, monétaire et sociale entre la République fédérale d'Allemagne (RFA) et la République démocratique allemande (RDA), Lothar de Maizière, président du gouvernement est-allemand, souligne l'importance de l'accord pour la réunification de l'Allemagne.
Le 29 juin 1990, le quotidien britannique de gauche The Guardian exprime ses craintes face à l'optimisme affiché par la Banque centrale allemande, la Bundesbank, et par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) au sujet de l'Union monétaire, économique et sociale entre la République fédérale d'Allemagne (RFA) et la République démocratique allemande (RDA).
In his memoirs, Helmut Kohl, Chancellor of the Federal Republic of Germany (FRG), recalls the signing of the Treaty establishing a Monetary, Economic and Social Union between the FRG and the German Democratic Republic (GDR) on 18 May 1990.
"Par ici, Helmut ..." En 1990, face à des pays et partenaires européens dépités, Helmut Kohl, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), pèse de tout son poids sur la décision d'introduire le «deutsche mark» dans les territoires de la République démocratique allemande (RDA) pour y remplacer l'ancien mark est-allemand.
Le 11 novembre 1989, commentant la chute du Mur de Berlin, le quotidien britannique The Guardian s'interroge sur la sécurité européenne et sur l'avenir de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et du Pacte de Varsovie.
Le 15 février 1990, le quotidien conservateur allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung décrit la décision du Parlement européen au sujet de la réunification allemande.
Le 21 juin 1990, le Bundestag allemand vote une résolution qui confirme le tracé de la frontière "Oder-Neisse" entre l'Allemagne unie et la République de Pologne.
"Épilogue. Puis-je éteindre moi-même la lumière ?" En juillet 1990, le caricaturiste néerlandais Opland décrit la disparition de la République démocratique allemande (RDA) en représentant Lothar de Maizière, le premier et dernier chef d'un gouvernement de la RDA démocratiquement élu.
Le 23 août 1990, au lendemain de la déclaration de la Chambre du peuple concernant l'adhésion de la République démocratique allemande (RDA) à la République fédérale d'Allemagne (RFA), le chancelier fédéral Helmut Kohl retrace devant le Bundestag les étapes de la réunification allemande et aborde la question de l'aide économique à la RDA.
Le 31 août 1990, Wolfgang Schäuble, ministre de l'Intérieur de la République fédérale d'Allemagne (RFA), et Günther Krause, secrétaire d'État auprès de Lothar de Maizière, ministre-président de la République démocratique allemande (RDA), signent à Berlin le traité d'union instituant un seul État fédéral démocratique.
Le 2 octobre 1990, à la veille de la réunification officielle de l'Allemagne, Lothar de Maizière, chef du gouvernement de la République démocratique allemande (RDA), prononce à Berlin un discours sur la portée historique de la création d'un État allemand réunifié.
Le 3 octobre 1990, jour de la réunification officielle de l'Allemagne, Roland Dumas, ministre français des Affaires étrangères, et son homologue allemand Hans-Dietrich Genscher réaffirment, dans un échange de lettres, l'importance de la réunification du pays et soulignent leur attachement à l'amitié franco-allemande.
Le 3 octobre 1990, commentant la réunification officielle de l'Allemagne, la Commission européenne exprime l'espoir que l'unité allemande retrouvée puisse ouvrir la voie vers l'unité de l'Europe entière.
Le 3 octobre 1990, commentant la réunification officielle allemande, le quotidien La Libre Belgique souligne l'importance historique de l'événement et s'interroge sur l'avenir politique d'une Allemagne démocratique réunifiée.
Le 4 octobre 1990, dans sa première déclaration gouvernementale devant le Bundestag de l'Allemagne réunifiée, le chancelier Helmut Kohl dresse un tableau de la situation économique du pays et indique les voies à suivre pour surmonter les difficultés liées à l'harmonisation de deux systèmes économiques longtemps séparés.
In his memoirs, German Chancellor Helmut Kohl describes the conversations he had in the early 1990s with Mikhail Gorbachev, President of the Soviet Union, concerning the process of German reunification.
Dans son Journal, Horst Teltschik, ancien conseiller diplomatique du chancelier fédéral allemand Helmut Kohl, se souvient de l'accord donné par Mikhaïl Gorbatchev, président de l'Union soviétique, à la réunification allemande.
"L'unité allemande : Viva Germania ? Un nouveau Reich ? Le grand accaparement ou la fin d'une longue séparation ?" En 1990, le caricaturiste Fritz Behrendt interprète à sa manière les sens divers que l'on peut attribuer à la réunification allemande.
En 1990, le caricaturiste allemand Walter Hanel ironise sur la manière dont le chancelier allemand Helmut Kohl et son ministre des Affaires étrangères Hans-Dietrich Genscher présentent ensemble au monde l'Allemagne réunifiée comme leur "nouveau-né".
Le 9 novembre 1989, la République démocratique allemande (RDA) ouvre ses frontières à Berlin-Ouest et au reste de la République fédérale d'Allemagne (RFA), ce qui provoque de nombreuses manifestations populaires devant la porte de Brandebourg.
Le 8 septembre 1994, dans la cour du château de Charlottenburg, une parade militaire est organisée à l'occasion du départ des troupes alliées occidentales de la ville de Berlin. Sont présents: Helmut Kohl, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), le secrétaire d'État américain Warren Christopher, John Major, Premier ministre britannique, et François Mitterrand, président de la République française.
Le 31 août 1994, Helmut Kohl, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), reçoit à Berlin Boris Eltsine, président de la Fédération de Russie, à l'occasion du départ des troupes de la Communauté des États indépendants (CEI) stationnées à Berlin. Une cérémonie a lieu à la Neue Wache, monument dédié à la mémoire des victimes de toutes les guerres et de toutes les dictatures.