En juin 1997, Marcelino Oreja, membre de la Commission européenne en charge notamment des Questions institutionnelles et de la préparation de la Conférence intergouvernementale (CIG) de 1996 (en accord avec le président Jacques Santer), pointe dans les colonnes du mensuel fédéraliste Crocodile les avancées et les faiblesses du traité d'Amsterdam en ce qui concerne notamment les droits des citoyens, la politique extérieure et de sécurité commune (PESC) et les institutions de l'Union européenne.
Le 19 juin 1997, le quotidien La Libre Belgique analyse la portée du traité adopté par les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze lors du Conseil européen d'Amsterdam des 16 et 17 juin 1997.
Le 29 septembre 1997, commentant la signature le 2 octobre 1997 du traité d'Amsterdam, le quotidien madrilène El País critique l'absence de véritables avancées sur le plan institutionnel par rapport au traité sur l'Union européenne signé à Maastricht le 7 février 1992.
En 1997, l'Italien Biagio De Giovanni, président du comité des Affaires institutionnelles du Parlement européen, critique dans le périodique fédéraliste Crocodile la faiblesse des avancées du traité d'Amsterdam pour répondre aux nouveaux défis de l'Union européenne.
Le 1er octobre 1997, à la veille de la signature du traité d'Amsterdam, les parlementaires européens Jean-Louis Bourlanges (Parti populaire européen), Daniel Cohn-Bendit (Groupe des Verts), Gianfranco Dell'Alba (Alliance radicale européenne), Olivier Duhamel (Parti des socialistes européens), José María Mendiluce Pereiro (Parti des socialistes européens) et Antoinette Spaak (Parti européen des libéraux, démocrates et réformateurs) dressent dans les colonnes du quotidien madrilène El País un sombre tableau de la situation économique, sociale et politique de l'Union européenne et fustigent son incapacité à relever certains nouveaux défis.
Le 2 octobre 1997, les ministres des Affaires étrangères des Quinze signent le traité d'Amsterdam modifiant le traité sur l’Union européenne, les traités instituant les Communautés européennes et certains actes connexes et qui entre en vigueur le 1er mai 1999.
Le 2 octobre 1997, lors de la cérémonie de signature par les ministres des Affaires étrangères des Quinze du traité d'Amsterdam modifiant le traité sur l'Union européenne, les traités instituant les Communautés européennes et certains actes connexes, Wim Kok, Premier ministre des Pays-Bas, José María Gil-Robles, président du Parlement européen, Jean-Claude Juncker, Premier ministre luxembourgeois et président en exercice du Conseil européen et Jacques Santer, président de la Commission européenne, prononcent successivement un discours dans lequel ils pointent les avancées du nouveau traité.
Le 2 octobre 1997, en marge de la cérémonie de signature par les ministres des Affaires étrangères des Quinze du traité d'Amsterdam modifiant le traité sur l'Union européenne, les traités instituant les Communautés européennes et certains actes connexes, des citoyens européens manifestent dans les rues d'Amsterdam pour dénoncer les lacunes du traité en ce qui concerne la politique sociale.
Le 2 octobre 1997, lors de la cérémonie de signature par les ministres des Affaires étrangères des Quinze du traité d'Amsterdam modifiant le traité sur l’Union européenne, les traités instituant les Communautés européennes et certains actes connexes, Jacques Santer, président de la Commission européenne, prononce un discours dans lequel il pointe les avancées et les faiblesses du texte en ce qui concerne notamment les droits des citoyens, l'espace de liberté, de sécurité et de justice, la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) et les questions institutionnelles.
Le 2 octobre 1997, lors de la cérémonie de signature du traité d’Amsterdam, Jean-Claude Juncker, Premier ministre luxembourgeois et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, prononce un discours dans lequel il détaille notamment les avancées du nouveau traité.
Le 2 octobre 1997, les ministres des Affaires étrangères des Quinze signent le traité d'Amsterdam en présence des autorités communautaires. De g. à dr.: Jacques Santer, président de la Commission européenne; Jean-Claude Juncker, Premier ministre du Luxembourg; Wim Kok, Premier ministre des Pays-Bas, et José María Gil Robles Gil Delgado, président du Parlement européen.
Le 3 octobre 1997, au lendemain de la signature du traité d'Amsterdam par les ministres des Affaires étrangères des Quinze, le quotidien français Le Monde évoque les insuffisances et les faiblesses du texte.
Le 6 octobre 1997, commentant dans les colonnes du quotidien français Le Figaro la signature, le 2 octobre, du traité d'Amsterdam par les ministres des Affaires étrangères des Quinze, Michel Barnier, ministre français délégué aux Affaires européennes, exprime sa déception par rapport à la portée du traité et déplore le report de la réforme des institutions.
Le 5 mars 1998, Klaus Kinkel, ministre allemand des Affaires étrangères, détaille devant le Bundestag les enjeux politiques et institutionnels du traité d'Amsterdam modifiant le traité sur l'Union européenne, les traités instituant les Communautés européennes et certains actes connexes.
Dans cette interview, Jacques Santer, ancien président de la Commission européenne, décrit les avancées et les lacunes, notamment en matière de sécurité intérieure, du traité d'Amsterdam entré en vigueur le 1er mai 1999.
Dans cette interview, Jean-Jacques Kasel, représentant permanent du Luxembourg auprès du Conseil des Communautés européennes, puis du Conseil de l'Union européenne, de 1992 à 1998, énumère les difficultés rencontrées pour finaliser le traité d'Amsterdam signé le 2 octobre 1997.
Dans cette interview, Hubert Védrine, ancien ministre français des Affaires étrangères, évoque les lacunes que présente, selon lui, le traité d'Amsterdam modifiant le traité sur l'Union européenne, les traités instituant les Communautés européennes et certains actes connexes, signé le 2 octobre 1997.
En octobre 1997, Cesidio Guazzaroni, ancien directeur général des affaires économiques au ministère italien des Affaires étrangères et ancien commissaire européen, revient sur la Conférence intergouvernementale (CIG) pour la révision du traité sur l'Union européenne et pointe les faiblesses du traité d’Amsterdam.
En juillet 1997, Silvio Fagiolo, représentant du ministère italien des Affaires étrangères à la Conférence intergouvernementale (CIG) pour la révision du traité sur l'Union européenne, explique les dispositions du nouveau traité d’Amsterdam.
"Piste de décollage Amsterdam-Traité de réforme UE". En 1997, le caricaturiste allemand Tomicek ironise sur la réelle efficacité du traité d'Amsterdam et s’interroge si les nouvelles réformes adoptées vont vraiment dans le sens d’un rapprochement entre l’Union européenne et ses citoyens. Pour l’instant, le doute subsiste sur un envol vers une UE plus efficace, réformée et plus proche des peuples.
"Sous l'impulsion d'Amsterdam". En 1997, le caricaturiste Fritz Behrendt ironise sur les résultats jugés décevants du traité d'Amsterdam et espère que l'arrivée de l'euro donnera l'élan nécessaire aux dirigeants européens pour renouer avec des projets plus ambitieux. (De g. à dr.: Tony Blair, Premier ministre britannique; Wim Kok, Premier ministre néerlandais; Jacques Santer, président de la Commission européenne; Helmut Kohl, chancelier allemand; Lionel Jospin, Premier ministre français et Jacques Chirac, président français.)
Le 2 octobre 1997, tandis que les exemplaires signés du traité d'Amsterdam sont emportés en dehors du Palais Royal, des opposants manifestent de l'autre côté de la place du Dam contre les dispositions de ce traité.