Le 18 avril 1951, Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, signe à Paris le traité instituant la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).

Le lendemain de la signature, le 18 avril 1951 à Paris, du traité instituant la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), le chancelier allemand Konrad Adenauer exprime dans une lettre adressée à Robert Schuman son espoir que le plan Schuman devienne le fondement de la réconciliation franco-allemande.

Dès 1950, Robert Schuman encourage la création de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA). Parmi ses motivations, il évoque la faiblesse des organisations européennes intergouvernementales telles que le Conseil de l'Europe.

Dans ses Mémoires, Robert Schuman, ancien ministre des Affaires étrangères, rappelle les raisons qui ont motivé son engagement en faveur du pool charbon-acier européen et sa décision d'en endosser la responsabilité politique.

Robert Schuman et Paul-Henri Spaak, lors de l'inauguration de la Maison de l'Europe à Strasbourg, le 7 août 1950.

Le 9 mai 1953, à l'issue d'une cérémonie commémorative de la "Déclaration Schuman", Jean Monnet (à g.), président de la Haute Autorité, et Robert Schuman (à dr.), député de la Moselle, sortent du siège de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) à Luxembourg.

Le 30 août 1954, Sennep croque l'histoire d'amour entre "Robert Schuman et la CED".

Dans ses Mémoires, Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, évoque les raisons de la position négative du Royaume-Uni vis-à-vis du projet français de mise en commun de la production du charbon et de l'acier en Europe occidentale.

Le 24 août 1948, Carlo Sforza, ministre italien des Affaires étrangères, expose à son homologue français, Robert Schuman, sa conception chrétienne de l'unité européenne.

Le 1er mai 1950, Jean Monnet adresse à Robert Schuman une longue note de réflexion dans laquelle il attire l'attention du ministre français des Affaires étrangères sur le rôle de la France dans la formulation d'une solution européenne au problème allemand.